Amelie word

« Barème : Narrateur interne : /1 Descritption : /6 Organisation du texte : /2 Langue : /5 Vocabulaire connoté et sentiments : /6 Une matinée à la plage . Un matin d’été, je décide de me rendre à cette paisible plage de l’armanarre accompagné de ma petite-fille Camille.

Avec elle, nous avons l’habitude de nous s’y rendre parce que cette plage est si belle… Et voila, les touristes ! Les touristes ! Nous sommes à peine le 2 Juillet et voila qu’ils sont dèjà la et envahissent toute les routes de la côte.

Après 25 minutes d’attente dans les embouitaillages et 10 minutes pour trouver une place, nous voila entrain de marcher pour rejoindre la plage, le sable blanc, l’eau turquoise. Sayez, on vient d’arriver, comment une plage est-elle aussi remplie de touristes a 9h30 du matin ? Trouver une place ou faire demie-tour ?Non, je ne veux pas décevoir Camille, je décide donc de trouver une place.

Après quelques longues minutes de marche, on trouve enfin un endroit pour se poser et je décide de m’y installer.

Après avoir tartiner de crème solaire ma petite fille et la laissant jouer tranquillement, je prend quelques minutes pour scruter l’envirronement ou j’ai l’habitude de me promener, et je remarque deux mètres plus loin, des touristes, qui jètent leur megots dans le sable où jouent des milliers d’enfants… Ceci est honteux, les gens devraient savoir par eux-même qu’il est interdit de jeter des détritus dans le sable mais personne n’y prête attention aux et a cause d’eux ce sable est devenu dégeulasse, le mot n’est peut-être pas assez fort, pour montrer l’état des lieux sans compter tous ses enfant qui creusent d’énorme trou dans le sable jusqu’aarriver au algues qui sent très mauvais !Même l’eau qui devrait rester à peu près propre compte quelque sacs plastiques à la surface. Au loin j’apperçois une petite cabane, ou ils vendent des boissons ainsi qu des sandwichs et je m’y rend accompagné de Camille.

Sur le chemin, ce n’était plus le sable ni l’eau qui m’interpelé mais les touristes ! Ils se promonent a moitié nu sur la plage, ceci est signe de vulagarité. Juste quelques mètres et nous arriveront a cette cabane, et déjà une ordeur de graillon envahie mon nez, je décide quand même de commander quelque chose a grignoter.

le pain est mou, les sauces sont chimiques, le poulet décongés ! Habituellement, je prend plutôt du pain très cuit et bien craquant, mais ce n’est pas la cas de ce dégueulasse sandwich qui a un gout de plastique ! Camille, elle, a voulu un beignet au Nutella, mais en réalité ceci est juste du pain rasi avec de la pâte a tartiner premier prix.

Même les restaurateurs s’y mettent aujourd’hui ! De retour, a nos serviettes, je remarque que la place était plus petite qu’vant..

Ce n’était pas une impression, mais une réaltité ! Des Allemands se sont collès a nos deux petites serviettes, et maintenant ils doient nous rester même pas 1m²…. »