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aérien, transport.

Publié le 26/04/2013

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aérien, transport. 1 PRÉSENTATION aérien, transport, transport par avion, hélicoptère ou dirigeable, de personnes ou de marchandises. 2 HISTORIQUE 2.1 Naissance de l'aviation civile À la différence du chemin de fer qui se développa sous la pression des besoins de l'industrie, le transport aérien fit son apparition à la demande des armées. Jusqu'en 1918, l'avion fut en effet utilisé à des fins essentiellement militaires, même si quelques services de poste aérienne avaient été déjà expérimentés. Les premières lignes régulières de passagers ne furent créées qu'au lendemain de la Première Guerre mondiale, supplantant progressivement les dirigeables, dont l'usage commercial s'était développé dans l'Atlantique Nord, grâce aux appareils conçus par l'ingénieur allemand Ferdinand von Zeppelin. Ainsi, un service quotidien entre Paris et Londres fut inauguré le 8 février 1919. Cependant, l'avion n'assurait encore qu'un transport très marginal, chaque appareil ne pouvant contenir que 5 à 10 personnes. Les premiers vols aéropostaux réguliers furent créés sensiblement à la même époque. 2.2 Après 1945 Grâce aux progrès de l'aviation durant la Seconde Guerre mondiale (voir Aviation militaire), l'avion prit son essor en tant que moyen de transport civil. Disposant d'instruments de navigation performants et de cabines pressurisées, les appareils devinrent plus sûrs et plus confortables, la pressurisation leur permettant de voler à très haute altitude, de l'ordre de 10 000 m. Toutefois, l'avion demeura encore un moyen de transport très minoritaire, loin derrière le train ou le transport maritime, en raison de la capacité limitée des appareils. Ainsi, les nouveaux quadrimoteurs comme le Lockheed Constellation, mis en service en 1947, ne pouvaient embarquer que quelques dizaines de passagers. Il fallut attendre le début des années 1950 pour que les avions à réaction viennent modifier totalement les données du trafic aérien (voir Aviation). En 1952 fut instauré le premier service régulier par jet, entre Londres et Johannesburg, assuré par un Comet de la firme De Havilland. En France, les Caravelle furent les premiers avions de ce type à transporter des passagers, à partir de 1959. Les avions à réaction permirent d'opérer un véritable saut technologique, grâce à leur vitesse élevée et à leur grande capacité. En effet, à la différence des avions à hélices, qui ne peuvent voler qu'à 400 ou 500 km/h, les avions à réaction peuvent facilement atteindre une vitesse de 1 000 km/h. En outre, ils peuvent transporter plusieurs centaines de passagers, jusqu'à 500 pour les gros-porteurs qui apparurent dans les années 1970. Le transport aérien supersonique vit le jour à la même époque, illustré par l'avion franco-britannique Concorde, dont la mise en exploitation régulière débuta en 1976. Toutefois, le remarquable succès technique de cet appareil se transforma rapidement en échec commercial (15 exemplaires construits, le dernier en 1980). 3 AVIATION COMMERCIALE En moins de dix ans, au cours des années 1960, le transport aérien a acquis le monopole des transports intercontinentaux au détriment des paquebots. Désormais, il prend également en charge la quasi-totalité des liaisons internationales intracontinentales, ainsi qu'une part croissante des liaisons intérieures supérieures à 500 km. Aujourd'hui, l'avion transporte annuellement près de 2 milliards de passagers. Au cours des années 1970, le transport aérien mondial s'est accru de 82 p. 100 en nombre de passagers transportés. En Europe, cette prédominance s'opère au détriment du train, même si cette évolution est aujourd'hui susceptible d'être remise en cause par la mise en place progressive du réseau européen de trains à grande vitesse. 3.1 Types de liaison aérienne On distingue aujourd'hui trois types de lignes aériennes. Les avions long-courriers volent sur une distance supérieure à 3 500 km (soit quatre heures de vol au minimum), ne desservant que quelques escales intermédiaires (1, 2 ou 3, parfois aucune). Les avions moyen-courriers, qui couvrent des distances comprises entre 700 et 3 500 km (soit entre une et quatre heures de vol), sont souvent directs et assurent en Europe les liaisons internationales les plus rapides, par-dessus les frontières, les détroits et les mers fermées. Ce type de vol présente un grand intérêt commercial en raison du volume des flux concernés ; il traduit l'écrasante supériorité de l'avion sur tous les autres moyens de transport terrestres, et en premier lieu le train. Enfin, les avions court-courriers, qui correspondent au troisième type de liaison aérienne, garantissent des durées de vol n'excédant pas une heure. Ils se placent en rivalité directe avec le chemin de fer traditionnel, mais sont également fortement concurrencés par le TGV. 3.2 Compagnies aériennes Les compagnies aériennes (au nombre de 222 en 1994) sont regroupées au sein de l'International Air Transport Association (IATA), fondée en 1919 et réorganisée en 1945. Le transport aérien est régi par l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), créée provisoirement lors de la conférence de Chicago le 7 décembre 1944, et définitivement instaurée en avril 1947. Réunissant plus de 150 États membres, elle a son siège à Montréal. Elle est notamment à l'origine de l'établissement des normes internationales relatives à la sécurité et à la navigation. 3.2.1 Vols charters À côté des compagnies régulières se développèrent à partir des années 1970 les compagnies de charters auxquelles les agences de voyages achètent l'ensemble d'un vol, qu'elles sont ensuite chargées de remplir. Cependant, la distinction entre vols charters et vols réguliers tend à se réduire de nos jours, de nombreuses compagnies régulières pratiquant, à l'aide d'une filiale de charters ou en sous-traitance, une activité charter parallèle. À l'inverse, la plupart des compagnies de charters actuelles pratiquent également une activité régulière plus ou moins importante. Née avec le développement du grand tourisme international, et en particulier tropical, l'aviation charter y demeure très étroitement attachée, notamment par l'intermédiaire des voyagistes. 3.2.2 Compagnies nationales Pendant longtemps, la plupart des États tinrent à disposer de leur propre compagnie aérienne nationale. Largement subventionnée, celle-ci était souvent plus ou moins concurrencée par des compagnies privées de même nationalité à caractère plus commercial. Donnant l'exemple, les États-Unis libéralisèrent entièrement leur transport aérien en 1978 par une déréglementation qui entraîna, notamment, la disparition de la Pan American Airlines. Aujourd'hui, la plupart des monopoles intérieurs des compagnies nationales sont remis en cause, le processus de déréglementation s'étant désormais généralisé, tant au niveau international qu'à l'intérieur de l'Union européenne. Cette évolution se traduit par une multiplication des alliances entre les compagnies : environ 400 alliances existaient ainsi en 1995. 3.3 Aéroports Si le transport aérien ne nécessite pas de réseau d'infrastructures linéaires continues, en revanche les infrastructures ponctuelles, à savoir les aéroports, requièrent une grande étendue et entraînent des nuisances considérables (bruit, pollution de l'air et des sols, etc.). La surface exigée par un grand aéroport est proportionnelle au trafic : 1 km2 pour 1 million de passagers ou pour 100 000 t de fret. Par rapport au nombre de places offertes, les installations terminales de l'aviation sont de très loin les plus consommatrices d'espace : 50 m2 pour l'avion dans un aéroport contre moins de 20 m2 pour un navire dans un port, et 2 m2 pour un train dans une gare. Les nuisances de l'aéroport concernent en premier lieu le bruit. Même si le bruit des avions s'est considérablement réduit (la zone de nuisance sonore d'un Boeing 707 s'étend sur 120 km 2, celle d'un DC 10 sur 20 km2 seulement), le bruit d'un aéroport demeure suffisamment gênant pour que la plupart d'entre eux soient fermés la nuit, ce qui limite fortement le domaine commercial de l'aviation. Les premiers aéroports civils furent aménagés sur des aérodromes militaires, à proximité plus ou moins immédiate de la ville. Face à la croissance du trafic, les aéroports les plus importants durent être transférés sur de nouveaux sites, plus vastes, mais aussi plus éloignés du centre des agglomérations. Les prévisions d'accroissement du trafic aérien mondial sont de près de 60 p. 100 entre 1995 et 2005. C'est pourquoi plus de 200 aéroports sont en cours de construction ou de rénovation dans le monde entier, pour tenter de remédier à la saturation de ceux déjà existants. En effet, les plus grands aéroports actuels connaissent une croissance annuelle de l'ordre de 5 à 10 p. 100. Les États-Unis concentrent les trois premiers aéroports mondiaux : Chicago (66 millions de passagers en 1994), Atlanta (54 millions) et Dallas (53 millions). En Europe, les deux plus grandes plates-formes aéroportuaires sont celles de Londres (77 millions de passagers à la fin des années quatre-vingt-dix, répartis entre les quatre aéroports de Heathrow, Gatwick, City et Stansted, le premier cumulant les deux tiers de l'ensemble) et Paris (55 millions partagés de manière sensiblement égale entre les deux sites de Roissy - Charles-de-Gaulle et Orly, ce dernier assurant plus de 60 p. 100 du trafic de l'ensemble des aéroports français métropolitains). 4 FRET AÉRIEN Le transport aérien est de loin le moyen de transport de fret le plus rapide, mais c'est également le plus onéreux et le plus grand consommateur d'énergie. S'il est vrai que le transport du courrier a constitué à l'origine -- avant même le transport de passagers -- la raison d'être de l'aviation civile, le fret aérien demeure néanmoins très marginal dans l'ensemble du fret international et intérieur, bien qu'après une longue période de développement régulier mais discret il connaisse désormais une croissance accélérée pour une gamme de produits à haute valeur ajoutée. En trafic intérieur, les grandes sociétés de messagerie express recourent de plus en plus à l'avion. Dans ce domaine, les premiers aéroports mondiaux sont ceux de Memphis, Tokyo et Los Angeles, suivis par ceux de Paris, Londres et Francfort. D'une manière générale, et contrairement à ce que l'on pourrait croire, les flux aériens intercontinentaux tendent à se concentrer sur un nombre toujours plus réduit de routes aériennes aux flux de plus en plus volumineux. À la suite de la loi de déréglementation du transport aérien américain en 1978, les compagnies abandonnèrent en effet la desserte directe de la plupart des villes pour se recentrer sur un unique (parfois deux ou trois) centre de correspondance avec l'extérieur, créant un réseau en étoile à partir de ce noeud central. Par exemple, la desserte de l'ensemble des États-Unis est assurée par Delta Airlines à partir d'Atlanta, tandis que, en France, l'ensemble du fret aérien acheminé par Air France transite par Roissy - Charlesde-Gaulle. Dans cette application de la théorie du hub and spokes (« moyeu et rayons «), l'essentiel de ces trafics s'opère donc entre quelques grands aéroports qui en concentrent une part toujours croissante, et à partir desquels s'opère la redistribution à l'intérieur des continents vers les autres destinations. Les compagnies maîtresses d'un territoire aérien s'efforcent d'établir de nouveaux hubs en dehors de leur propre territoire, sorte de têtes de pont à partir desquelles elles peuvent desservir par correspondance l'ensemble de ce nouvel espace, sous réserve de s'allier avec la compagnie maîtresse de ce dernier. Paris fait ainsi fonction de hub européen pour Delta Airlines grâce à ses alliances avec Air France. 5 AVIATION GÉNÉRALE Outre le transport de voyageurs sur des lignes régulières ou charter, il faut mentionner le secteur de l'aviation générale qui regroupe toutes les activités aériennes civiles telles que l'aviation d'affaires, les écoles de pilotage et les vols de loisir. L'aviation d'affaires met à disposition des entreprises ou des particuliers des avions généralement d'une dizaine de places, parfois davantage. Ces avions peuvent être livrés en propriété, en crédit-bail ou en affrètement. C'est au lendemain de la Seconde Guerre mondiale que l'aviation d'affaires prit son essor aux États-Unis, en particulier dans les petites villes non desservies par les compagnies régulières. Aujourd'hui, la plupart des vols d'affaires sont assurés par des avions à réaction spécialement équipés pour ce type d'activité, dotés de tous les équipements que peut réunir un bureau moderne, et garantissant tout le confort souhaitable. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.

« charters et vols réguliers tend à se réduire de nos jours, de nombreuses compagnies régulières pratiquant, à l’aide d’une filiale de charters ou en sous-traitance, une activité charter parallèle.

À l’inverse, la plupart des compagnies de charters actuelles pratiquent également une activité régulière plus ou moins importante.

Née avec le développement du grand tourisme international, et en particulier tropical, l’aviation charter y demeure très étroitement attachée, notamment par l’intermédiaire des voyagistes. 3.2. 2 Compagnies nationales Pendant longtemps, la plupart des États tinrent à disposer de leur propre compagnie aérienne nationale.

Largement subventionnée, celle-ci était souvent plus ou moins concurrencée par des compagnies privées de même nationalité à caractère plus commercial.

Donnant l’exemple, les États-Unis libéralisèrent entièrement leur transport aérien en 1978 par une déréglementation qui entraîna, notamment, la disparition de la Pan American Airlines.

Aujourd’hui, la plupart des monopoles intérieurs des compagnies nationales sont remis en cause, le processus de déréglementation s’étant désormais généralisé, tant au niveau international qu’à l’intérieur de l’Union européenne.

Cette évolution se traduit par une multiplication des alliances entre les compagnies : environ 400 alliances existaient ainsi en 1995. 3. 3 Aéroports Si le transport aérien ne nécessite pas de réseau d’infrastructures linéaires continues, en revanche les infrastructures ponctuelles, à savoir les aéroports, requièrent une grande étendue et entraînent des nuisances considérables (bruit, pollution de l’air et des sols, etc.).

La surface exigée par un grand aéroport est proportionnelle au trafic : 1 km 2 pour 1 million de passagers ou pour 100 000 t de fret.

Par rapport au nombre de places offertes, les installations terminales de l’aviation sont de très loin les plus consommatrices d’espace : 50 m 2 pour l’avion dans un aéroport contre moins de 20 m 2 pour un navire dans un port, et 2 m 2 pour un train dans une gare. Les nuisances de l’aéroport concernent en premier lieu le bruit.

Même si le bruit des avions s’est considérablement réduit (la zone de nuisance sonore d’un Boeing 707 s’étend sur 120 km 2, celle d’un DC 10 sur 20 km 2 seulement), le bruit d’un aéroport demeure suffisamment gênant pour que la plupart d’entre eux soient fermés la nuit, ce qui limite fortement le domaine commercial de l’aviation. Les premiers aéroports civils furent aménagés sur des aérodromes militaires, à proximité plus ou moins immédiate de la ville.

Face à la croissance du trafic, les aéroports les plus importants durent être transférés sur de nouveaux sites, plus vastes, mais aussi plus éloignés du centre des agglomérations. Les prévisions d’accroissement du trafic aérien mondial sont de près de 60 p.

100 entre 1995 et 2005.

C’est pourquoi plus de 200 aéroports sont en cours de construction ou de rénovation dans le monde entier, pour tenter de remédier à la saturation de ceux déjà existants.

En effet, les plus grands aéroports actuels connaissent une croissance annuelle de l’ordre de 5 à 10 p.

100.

Les États-Unis concentrent les trois premiers aéroports mondiaux : Chicago (66 millions de passagers en 1994), Atlanta (54 millions) et Dallas (53 millions).

En Europe, les deux plus grandes plates-formes aéroportuaires sont celles de Londres (77 millions de passagers à la fin des années quatre-vingt-dix, répartis entre les quatre aéroports de Heathrow, Gatwick, City et Stansted, le premier cumulant les deux tiers de l’ensemble) et Paris (55 millions partagés de manière sensiblement égale entre les deux sites de Roissy - Charles-de-Gaulle et Orly, ce dernier assurant plus de 60 p.

100 du trafic de l’ensemble des aéroports français métropolitains). 4 FRET AÉRIEN Le transport aérien est de loin le moyen de transport de fret le plus rapide, mais c’est également le plus onéreux et le plus grand consommateur d’énergie.

S’il est vrai que le transport du courrier a constitué à l’origine — avant même le transport de passagers — la raison d’être de l’aviation civile, le fret aérien demeure néanmoins très marginal dans l’ensemble du fret international et intérieur, bien qu’après une longue période de développement régulier mais discret il connaisse désormais une croissance accélérée pour une gamme de produits à haute valeur ajoutée.

En trafic intérieur, les grandes sociétés de messagerie express recourent de plus en plus à l’avion.

Dans ce domaine, les premiers aéroports mondiaux sont ceux de Memphis, Tokyo et Los Angeles, suivis par ceux de Paris, Londres et Francfort. D’une manière générale, et contrairement à ce que l’on pourrait croire, les flux aériens intercontinentaux tendent à se concentrer sur un nombre toujours plus réduit de routes aériennes aux flux de plus en plus volumineux.

À la suite de la loi de déréglementation du transport aérien américain en 1978, les compagnies abandonnèrent en effet la desserte directe de la plupart des villes pour se recentrer sur un unique (parfois deux ou trois) centre de correspondance avec l’extérieur, créant un réseau en étoile à partir de ce nœud central.

Par exemple, la desserte de l’ensemble des États-Unis est assurée par Delta Airlines à partir d’Atlanta, tandis que, en France, l’ensemble du fret aérien acheminé par Air France transite par Roissy - Charles- de-Gaulle.

Dans cette application de la théorie du hub and spokes (« moyeu et rayons »), l’essentiel de ces trafics s’opère donc entre quelques grands aéroports qui en concentrent une part toujours croissante, et à partir desquels s’opère la redistribution à l’intérieur des continents vers les autres destinations.

Les compagnies maîtresses d’un territoire aérien s’efforcent d’établir de nouveaux hubs en dehors de leur propre territoire, sorte de têtes de pont à partir desquelles elles peuvent desservir par correspondance l’ensemble de ce nouvel espace, sous réserve de s’allier avec la compagnie maîtresse de ce dernier.

Paris fait ainsi fonction de hub européen pour Delta Airlines grâce à ses alliances avec Air France. 5 AVIATION GÉNÉRALE Outre le transport de voyageurs sur des lignes régulières ou charter, il faut mentionner le secteur de l’aviation générale qui regroupe toutes les activités aériennes civiles telles que l’aviation d’affaires, les écoles de pilotage et les vols de loisir. L’aviation d’affaires met à disposition des entreprises ou des particuliers des avions généralement d’une dizaine de places, parfois davantage.

Ces avions peuvent être livrés en propriété, en crédit-bail ou en affrètement.

C’est au lendemain de la Seconde Guerre mondiale que l’aviation d’affaires prit son essor aux États-Unis, en particulier dans les petites villes non desservies par les compagnies régulières.

Aujourd’hui, la plupart des vols d’affaires sont assurés par des avions à réaction spécialement équipés pour ce type d’activité, dotés de tous les équipements que peut réunir un bureau moderne, et garantissant tout le confort souhaitable. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation.

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