Devoir de Philosophie

Alexia: "Croire en soi"

Publié le 06/02/2011

Extrait du document

Alexia était une jeune femme venue au monde le 04 mars 1988. Elle était sous le signe du poisson. Elle était de taille moyenne. Ces yeux étaient d’un bleu tropicales en forme d’amandes et des cils longs et fournies suivant magnifiquement les courbes, ils sont aussi très trompeurs car ils savent mentir. Son nez était normalement conçu, ni trop grand, ni trop court, ni trop haut, ni trop aplati, un beau petit nez, et comme elle le concevait, quelques impuretés de la puberté. Sa bouche était en forme de croissant, les bons jours la pointait vers le haut et les mauvais vers le bas. Celle-ci était légèrement gonflée et bien symétrique à son nez. Elle parle même fermée. Sa peau était lisse lorsque la puberté passait son chemin, elle était de couleur pâle avec quelques rougeurs sur les pommettes. ses cheveux étaient coupés au carré mi- long, ceux-ci étaient épais et blonds foncés. Ils épousaient une forme ondulés mais normalement, ils étaient raides comme des baguettes. Son buste était souvent incliné en avant lorsqu’elle manquait de confiance. Elle n’avait pas une taille super fine ni super grosse comparé aux quatre dernières années où elle frôlée l’anorexie. Ses jambes étaient normalement constituées mais manquaient un peu de sport, elle aimait les réchauffer avec un jean. Cette jeune femme était, depuis petite, très ambitieuse, son rêve était de voyager partout dans le monde, en particulier en Tunisie. Elle avait le projet d’y aller à ses 18ans, ce pays l’a toujours très attirée, la chaleur du soleil caressant ses épaules dénudées sur ce sable si doux… Mais à l’âge de 10 ans, Alexia avait perdu ses parents, décédés d’un accident de la route. Fille unique, elle mit fort longtemps avant de s’en remettre. Elle était très liée avec sa mère, un peu moins avec son père, mais l’aimée tout autant. Elle adorait les sorties en famille. Tous les dimanches matin, Eric, Alexandra et Alexia allaient au marché et mangeaient le midi d’excellentes crevettes roses accompagnées d’huitres que son papa ouvrait avec soins. Mais depuis cet incident, elle avait laissé tomber ses ambitions ; son rêve, et se répétait à chaque fois que celui-ci ne se réaliserait jamais sans ses parents, sans leur soutient et avait perdu tout espoir d’être heureuse un jour. Elle se répétait sans cesse que le jour du 14 mai 1998 avait éteint en elle la flamme de ses yeux qui brillait chaque jours, qu’avec ses parents c’était une vrai histoire d’amour, que pour tout au monde elle aimerait qu’ils soient de retour et regrette tellement ce douloureux parcours . Elle se disait à chaque instant que ce n’était qu’un cauchemar et qu’à son réveil, le lendemain, ils seraient à côté d’elle, mais Alexia était réaliste. A la mort de ses parents, elle fut placée dans une famille d’accueil car aucun membre de sa famille ne pouvait poursuivre son éducation. En réalité, il ne restait que ses grands-parents maternels mais ils étaient trop âgés pour s’occuper d’elle. Le reste de sa famille avait coupé les ponts avec ses parents suite à des malentendus familiaux. A l’âge de 22 ans, Alexia avait pris son envol, elle habitait maintenant un petit appartement dans une rue perpendiculaire aux Champs-Elisés . En période de Noel, Paris était joliment décoré. De charmantes décorations en particuliers les guirlandes, éclairaient les rues et illuminées les vitrines. Chaque arbuste scintillé au loin comme de magnifiques petits diamants. Alexia aimée beaucoup cet endroit, il y avait toujours du monde, de la joie et de la bonne humeur, de la fraicheur et de la vie. Parfois elle aller faire les magasins quand son porte-monnaie lui en donnait les moyens, sinon en fin de mois elle se contentait simplement de mirer les vitrines. A 22 ans, Alexia n’avait ni travail fixe ni conjoint. Elle faisait juste de temps en temps des extras proposés par une amie, rencontré, un soir, dans un café. Alexia sortait quand son humeur en dépendait. Celle-ci était très lunatique, surement tenait-elle de son père. Un an après, lors d’une soirée, la jeune femme rencontra un homme séduisant ; il s’appelait Jérôme, était écrivain-poète, il apprenait à Alexia l’art de l’écriture et de temps en temps, il lui dévoilait ses sentiments à travers des pages et des pages de vers, de rimes et d’amour. Très sensible à ce genre de paroles, Alexia avait mis peu de temps à verser une larme. Elle était émue et son corps frissonnait au moment de sa lecture. Depuis fort longtemps elle ne c’était pas senti aussi bien ! Quelques mois après, le jeune homme séduisant avait fait entrer sa délicieuse rencontre dans le monde des écrivains, on lui apprenait, là-bas, différente manière d’écrire. Elle était très douée et assimilait vite. Très rapidement elle fut récompensée grâce à son talent, mais surtout à Jérôme qui lui avait donné toute sa confiance dans ce travail d’écriture. Malgré l’absence de ses parents, Alexia était parvenu à réaliser son rêve. Elle était allée en Tunisie, avec son grand amour, pour ses 24 ans et par la suite, elle avait écrit son tout premier livre qui fut un succès. Elle donna comme titre à son livre : « Croire en soi «.

Liens utiles