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Art poetique

Publié le 27/02/2008

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De par ses sonorités (rimes pauvres ou suffisante, rarement riches ; , structure des rimes, harmonie imitative, allitérations, assonances, effets d'écho à l'intérieur des vers – ou homéotéleutes, entre les rimes, le soupir des e muets, les hiatus) ; notons le déséquilibre volontaire des voyelles en faveur de [i], à 5 reprises, comme les échos : [o], [yr], [ur], [u], voire joint avec thym. Musique aussi que l'abondance des liquides. (ensemble ici peu développé car trop facile !) De par le rythme (ennéasyllabes, d'où césures forcément impaires par définition, 9 strophes) . (idem) Tout ceci confirme le premier et le second vers, ce dernier étant corroboré par sa définition en compréhension, par son effet, cf. fin de la première strophe : «vague» certes, «plus soluble dans … l'air», donc au prix d'une incohérence logique, (même si elle est amoindrie syntaxiquement par l'anaphore équilibrante «plus») en cette époque de scientisme échevelé : soluble dans l'eau dit-on communément. Car l'impair renvoie en fait à l'irrationnel, l'onirique là où le pair est classique, strict équilibre, cf. strophe 6, avec strophe

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