Devoir de Philosophie

Bac français

Publié le 08/05/2011

Extrait du document

Oral Bac Français !

 

Texte 1 : Gargantua de Rabelais. 1534 XVI° siècles.

 

Humanisme → Érasme, Montaigne, Ronsard, Léonard de Vinci, Michel Ange...

Rabelais ( 1483 – 1553 ) Moine franciscains. Moine idéal humaniste. Confiance en l'Homme. OPTIMISTE.

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  

                 

              1. Frère Jean, moine cloîtré de Seuillé.

 

A.«Pauvres diables de moine» l.1

 

  • ignorance

  • une seule réponse : le chant.

  • Moine passif.

 

B. Un vrai moine.

 

  • accumulation des détails

  • caricature : type de moine.

  • Néologisme « monde moinant moina de moinerie» l.9 => langue orale.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1.  
                1. Frère Jean, prêcheur du vin.

 

A. «Je me donne au diable» l.20

 

  • blasphème

  • moines qui vivent → pas de respect → = réalité.

  • Prêcheur éloquent ( = qui sait parler )

 

B. Ivrogne ?

 

  • vie ( = vin ) → prière ( = pain ) → pas de respect.

  • Prêche du vin organisé → locution ( pourquoi , car ) => convaincre.

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1.  
                1. Un sain, un martyre de la vigne.

 

  • meurt pour le vin → martyre.

  • Sang = vie → x3

  • critique moine → croisade terre sainte.

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1.  

                   

                1. Frère Jean des entommeurs.

 

A. Entommeur.

 

  • mettre en pièce → charcutier.

  • Aime la bonne chaire = boucher.

 

B. Invincible combattant.

 

  • protection pas un bâton de la croix = arme

  • = poète épique ( description blessure, énumération, détails médicaux ).

  • parodie, excès, variétés des coups.

  • Humour l.59 « il l'empalait pas le fondement. ».

     

    C. Drôle de moine.

     

  • Message du Christ ? Amour du prochain.

  • critique moines.

=> vengeance, différents messages chrétien.

 

Texte 2 : La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette. 1678 XVII° siècles.

 

Vision tragique. Anti-humanisme. PESSIMISTE.

 

  • 1° roman moderne psychologique.

  • Conflits intérieur → amour / monde.

  • Description cour d'Henry II.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1.  
                1.  
                  1.  
                    1. Beauté hyperbolique.

Noblesse traits → noblesse morale.

 

A. Critère beauté classique.

 

Canon de la beauté.

  • 3 critères → cheveux blonds, teint blanc et traits de visage réguliers.

  • Suscite admiration → beauté.

  • Caractère unique → beauté physique = beauté morale.

B. Beauté morale = vertu

 

  • Reprend qualités de sa mère -> honnêteté.

  • Beauté / noblesse de sang → innée.

  • Vertu se cultive et se conserve.

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1.  
                1.  
                  1.  

                      II. Éducation maternelle.

 

A. Parler de galanterie permet de faire une honnête femme.

 

  • Cultiver son jardin ( esprit, beauté, vertu ).

  • vertu difficile garder.

  • Éducation commune → éloignement passions.

  • OPPOSTITION : éducation Mme de Chartres → omniprésence des passions → pas céder.

 

B. Tromperie et infidélité des hommes.

 

  • voir homme tel qu'il est → malhonnête.

  • Bonheur = condition de vie.

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1. Vision tragique de l'être humain.

 

A. «Une extrême défiance de soi-même » l.18-19

 

  • vertu = méfiance des passions.

  • Maître de soi → XVII° s.

  • passions → mauvaises.

 

B. L'anti-humanisme classique.

 

  • vision pessimiste / défiance homme ( opposition avec Rabelais ).

  • 2 morts : amour cause chagrin, tragique destin.

Préparation Romantisme → vision pessimiste homme. Critère honnête homme : beauté et vertu → homme soumis aux passions. Princesse de Clèves succès → vertu maximale ( jusqu'à la mort résiste passions ).

 

Texte 3 : Le Père Goriot de Balzac. 1835 XIX° s.

 

Comédie humaine. Vision sociale. PESSIMISTE.

 

Intro : Balzac, 1° grand écrivain réaliste → Comédie humaine. Père Goriot ou Christ de la paternité → 3 types sociaux : Goriot ( ruiné par ses filles ), Rastignac ( pauvre mais ambitieux) et Vautrin ( inquiétant / diabolique).

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1. Portrait réaliste = Vautrin double face.

 

Caractères physique et morale détaillés.

 

A. «  Fameux gaillard » l.3

 

  • caractères marqués → homme d'expérience, fort.

  • Aspect physique → implicite ( « touffu » l.5 → virile, roux l.5 → diable / feu ).

  • portrait réaliste → « fameux gaillard »l.3 qui ne passe pas inaperçu.

 

B. «  Grosse gaieté » l.7

 

  • pas naturel → façon d'être, manière.

  • Implicite du morale → «  malgré » l.13

  • trompe la mort « mais ses obligés seraient morts » l.12-13 « crime » l.16

  • juge de la société → connaissance bien / mal.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1. Un « type » social → porte parole de Balzac.

 

A. « Il connaissait tout d'ailleurs. » l.9

 

  • expérience vie et vie criminelle.

  • Connaît tout → à qui se confier, la loi, refuge → a eu à faire à la justice ? Fuite ? → implicite.

  • Mauvais mœurs, insaisissable.

 

B. «  Juge sévère » l.16

 

  • connaissance des âmes → sentiment, amour, faiblesse (Rastignac) → répétition «  tous ».

  • tentateur, homme à sang froid → porte parole de Balzac → compris société ( concret + implicite / spirituel ).

 

Personnage cynique ( opposé à la morale ) connaît la société «  une main de fer et un cœur de velours » = Vautrin → cache sa vraie nature. Porte parole → dénonce absence moralité, corruption dans société. Fin → chef de la sureté → ironie.

 

Texte 4 : Germinal de Zola. 1885 XIX° s.

 

Émile Zola ( 1840 – 1902 )

Naturalisme opposé au romantisme.

Reflet de la réalité, influence de l'hérédité et de l'éducation.

Balzac, Flaubert, Stendhal...

  • Roman de la lutte sociale.

Zola créé le naturalisme.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  

              I. Détresse matérielle du peuple des mineurs.

 

A. La faim, la pauvreté.

 

Champs lexical de la misère, la pauvreté. l.5 «  guenilles montrant la peau nue, des nudités de femelles ». Rabaissés → animaux. Perdu dignité.

 

B. La colère « l'ouragan » l.3

 

Tempête → on ne peut pas résister. Révolution, symbole de la colère. Femme guerrière, atroce « vielles, affreuses » l.8. Terreur. Homme massif. Femmes incontrôlables, invulnérables, furieuses. «  hache » l.16 Révolté, colère. Victime tuerie avec gendarmes.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  

              II. Le mépris des témoins de la scène.

 

A. « La sueur du peuple » l.1

 

Bourgeois opposés aux ouvriers. Distance insultante. Peuple travaille «  sueur » pour vivre et font gagner la brioche aux Bourgeois qui ne travaillent pas. l.19 « Quels visages atroces » aucun respect, dégoût et crainte. Inconscience des 2 filles l.28 « Oh ! Superbes ! » gens qui souffrent avec une beauté.

 

B. «  Ces bandits-là » l.21

 

Transformés pas la colère, la faim et la fatigue. Négrel → bandit perdu honnêteté. Injustice. Effets de masse, héros collectif → méconnaissables.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  

              III. Héros collectif.

 

A. « Une masse compacte » l.10-11

 

Ils perdent leurs caractéristiques physiques → groupe, tous même sens, géant, multi tout.

 

B. Une bête sauvage chantant la Marseillaise.

 

Peuple → colère, sauvage. Métaphore filée « femelle » l.5 « petit » l.6. Chant révolté « mugissement » l.14. « Face placide » l.23 → « fauve » l.23 « galoper » l.26. Une seule force.

 

Texte exalte la misère, faim. Tableau Révolution, épique.

OTIMISTE

 

Texte 5 : Aurélien d'Aragon. 1944 XX° s.

Vision désabusée. PESSIMISTE.

 

Ancien combattant revient de la 1° Guerre Mondiale, n'arrive pas à réintégrer la société → incapacité à aimer.

  • Louis Aragon marqué pas la 1° Guerre Mondiale → incapable revenir dans la société / trouve l'amour. Aurélien exprime son malaise, personnage central → situation échec après guerre → incapacité vie sociale → vie amoureuse. Pas relation avec Bérénice. Dans cet extrait → indécision.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1.  
                1. Le point de vue interne : Aurélien.

 

A. « Il aurait voulu […] il me semble »

 

  • remise en question ( « comment » l.11 « il me semble » l.13 )

  • hésitation → doute → incapacité de se satisfaire.

  • Passe d'un extrême à l'autre.

 

B. Monologue intérieur : phrases brèves.

 

  • une seule phrase longue saccadée pas « de » l.15-16

  • se ment, se cherche « Il jouait à cache-cache avec ce qu'il pensait » l.17 → remise en question générale « on » l.22-23-23...

  • pas de dialogue → piégé dans cette incapacité à rien éprouvé.

     

    II. La désillusion de l'amour.

     

    A. « Il l'aimait, […] il ne l'aimait pas. » l.6-7

     

  • incapable définir amour → peur de se tromper.

  • S'est menti → veut sortir de cette situation avant de blesser Bérénice.

  • Bouleversé → manque connaissance amour.

     

    B. « Une lumière fausse » l.1

     

  • Bérénice = chien fou ( secoue ses cheveux ).

  • faux amour → regard faussé.

  • Lâche → absurdité l.18 « absurdement »

     

    C. L'angoisse affreuse « Il sut tout à coup qu'il allait la perdre » l.19

     

  • peur d'aimer / peur de ne pas aimer.

  • Incapacité aimer → peur engagement.

  • Transposition → ne se connaissent pas, ne sais pas comment aimer.

     

    Aurélien → expression mal être société d'après guerre. Après haine → mal à aimer. Ignorance amour, sentiment et ceux de Bérénice. Aurélien = chambre noire de l'amour → expression absurdité monde avancé => Ionesco, Sartre, Camus, Beckett.

     

Texte 1 : Chapitre 1 – L'incipit : « Gabriel regarde … En route » .9/11

 

Zazie dans le Métro de Raymond Queneau. XX° s. Le nouveau roman.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1. Ouverture → présentation personnages et situation.

 

A. Nom, prénom et relation.

 

  • « Gabriel regarde dans le lointain » l.1 annonce action, situation. Gabriel : ange, sexe ange non définis. Rôle protecteur. « colosse » l.11. l.15 « charger » Rôle → porter un enfant. « Tonton » l.4 → enfantin. Image supériorité « anoblissant » l.5 comique ton. « Gaby » l.33 surnom ambiguë → mixte. L.13 « parfum d'homme »

  • « Ch'suis Zazie » l.4 égérie zazous → gens révoltés : «  grande Zaza ». zig-zag → désordre joyeux. Peu respect, provocation. Nom = caractère. « mouflette » l.3 enfantin. l.7 « gosse » argot affectueux. l.14 « objet » se dépose. « charger » l.15 mère non aimante. Zazie objet roman. Père absent. l.31-32 « C'est comme ça qu'elle est quand elle a un jules, dit Zazie, la famille ça compte plus pour elle. » pense plus à la famille. l.34 « Elle se tire » s'enfuit. l.18 «je ne veux pas qu'elle se fasse violer par toute la famille » sécurité. l.33 « chérie » « manman » l.19 relation amicale. Film passe sans s'arrêter. Allusion grivoise → mœurs. « Natürlich » l.27 occupation horizontale, stéréotype mère n'y arrivant pas.

     

    B. Récit initiatique → situation de départ.

Tout principe récit initiatique. Enfant, quête : métro, adjuvant : Gabriel, obstacle : grève, 1° péripétie : Charles et son tac. Héroïne abandonnée par sa mère. Départ : « en route » l.68

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1.  
                1.  
                  1. Le cadre spatio-temporel.

 

A. Paris et le métro

 

Paris, lieu mythique. Zazie «  Saint-Montron » imaginaire. Romanesque, réaliste et fantaisiste. Métro → métropole, ville mère. Grève inévitable. 4 fois grève et 3 fois métro. Colère l.57 « Jm'en fous. ». presque lieu tragédie. Absurde l.25 « six heures soixante ».

 

B. Paris d'après guerre.

 

« Natürlich » l.27 connaissance langue allemande, collaboration horizontale ? Transition provinciale → métro, monument parisien, modernisation, américanisation. « Barbouze de chez Fior » l.11 Dior. Bon enfant, place roman initiation. Provocation auteur. Joie de vivre.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1. Esthétique de la surprise et provocation.

 

A. Résolution du langage.

 

Action et ton lancé. Langageral, jeux de mots. « anoblissant » l.5 jeux de mot, phonétique « Ch'suis » l.4 « à rvoir » l.33 « manman » l.19 rapproche langue et personnage. Argot « jules » l.31 « mordue » l.36 « se tire » l.34 tonalité accessible. Volonté de choquer. Thermes Zaziques « salaud » l.53 « vache » l.53 « merde » l.59 . Provocation. Langage populaire et soutenu l.50 « Bin oui : y a grève. Le métro, ce moyen de transport éminemment parisien » . orthographe aussi « mare » l.7 « espliquer » l.47

 

B. Roman parodique.

 

Histoire romanesque, héroïne vue comme un objet, l'objet du roman. Failli se faire violer, la mère dit ça naturellement, choquant. Antithèse fille modèle. Ironie et initiation → épopée Ulysse, l'Iliade et l'Odyssée l.51-52 « ce moyen de transport éminemment parisien, s'est endormi sous terre, car les employés aux pinces perforantes ont cessé tout travail. » . philosophie Queneau opposé au langage.

 

Texte 2 : Chapitre 2 : L'enfant terrible : « Alors ? Pourquoi … Zazie en baillant » p.22/24

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1.  
                1.  
                  1.  
                    1. Zazie enfant terrible.

 

A. « Je serais vache comme tout » l.6 La rebelle.

 

« Il aurait pas fallu voir. » l.16 révolte profonde. Défendue → ne pas se laisser faire, mauvais souvenir école. Argot → liberté de tons. Sadisme, vengeance tourne autour du derrière. Change métier : astronaute. « faire chier les martiens » l.24 en opposition. Répond non en baillant → rebelle.

 

B. « C'est même tout le contraire » l.11 opposition

 

Zazie opposé au couple. Gabriel reste compréhensif. Ton de Zazie → exclamatif, exagération. Forme enthousiasme. Réflexion censé de Gabriel. Besoin accort de Marceline. Doucement. Ton familier et grossier de Zazie. Courant et oral pour Gabriel.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1. Fantaisie et comique de répétition.

 

A. « La chair de derche » l.9 La provocation.

 

Vocabulaire grossier confirme son caractère et sa mal éducation. « mon cul » opposé enfant de roman classique. Effet réel. Argot → enfant qui utilise le plus. Zazie parle la langue du peuple. Dialogue cinéma. Langue orale et populaire « je leur » l.7 effet d'authenticité. L'auteur s'amuse et nous amuse.

 

B. « Elle en a de l'idée » l.26 Complicité

 

Complicité de Gabriel d'abord étonné. Expliquer thèse sur la modernité puis sur le vœu de Zazie d'être astronaute. Comique répétition « faire chier » l.2 enthousiaste, ravi. Complicité « cette petite » l.26 fierté affectueuse. Seule Marceline tente de les arrêter. Zazie a du caractère. Fille année 60 → révélation d'un constat des années 60.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1. Dénonciation de la société d'après guerre ?

 

A. « Faire chier les mômes » l.2 Critique de l'école.

 

Humour, doute certains enseignants sadiques. Années 60 profs tout puissants. Abus, réalité ?

 

B. L'éducation moderne.

 

Interdire châtiment corporelle. Douceur, la compréhension, gentillesse. Société transition, révolution → mai 68. mutation société → civilisation traite différemment les élèves. Douceur et gentillesse → Gabriel et Marceline. Remplacement années 80 → technologie l.18 « cinéma, la tévé, l'électronique ». Gabriel parle à travers le journal → société.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1. Zazie une vision de la société des années 60.

 

égoïsme : Veuve Mouaque → « Moi que » enfant qui ne respecte plus les valeurs françaises, râleurs. Révélatrice enfants opposition parents → enfants de la guerre → parents absents ou non modèle. Notion satyre. Mise en place de l'opinion publique, journaux.

 

Texte 3 : Chapitre 8 : Le monologue de Gabriel : « Debout Gabriel médita … de son regard » p.91/92

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1.  
                1.  
                  1. Théâtralisation du discours.

 

A. Irruption d'un monologue de théâtre.

 

Médite sur la Tour Eiffel. Charles se tire, il en a marre. l.1 « Debout, Gabriel médita » Comment sur une scène, méditant : ton oration. l.26 « Des voyageurs faisaient le cercle autour de lui » Théâtralisation. Rien ne semble le justifier. Pourquoi volonté ? Guide. Archiguide, guide spirituel comme un prédicateur relai de l'auteur ange, annonciation, ton grandilosant.

 

B. Emphase et procédés rhétoriques.

 

Phrases courtes → longues. Vague de plus en plus longue l.9-13. l.13-16. Présentatif ( Là-bas... ) l.9 Dès la 1° ligne dans l'alexandrin l.22-23 « les voilà presque morts puisqu'ils sont des absents » poser un discours. Aparté sorte d'emphase. L.6-7-9 aspect Homérique, périphrase l.20-21. Redoublement pronominal ( mais moi je ) pédantisme néologisme « alexandrinairement » l.22 vers blanc. Supériorité ton et référence.

 

  1.  
    1.  
      1.  
        1.  
          1.  
            1.  
              1.  
                1.  
                  1. Parodies et inter textes.

                     

                    A. Le théâtre baroque = vanités

 

« L'être ou le néant, voilà le problème »l.2 Hamlett. Shakespeare : Be or not to be, that is the question. Jean Paul Sartre 1943 burlesque. Interrogation baroque. Vanité de l'existence. « Paris n'est qu'un songe » l.5 Calderón XVII° s. l.5-9 « La vie est un rêve et les rêves mêmes sont que des rêves des rêves ». champs lexical mort l.5-9 parodie songe. l.3 « disparaît » l.10 « tombes et s'entassent » l.13-14 « forceps et corbillards » l.15 « ceux des morts » « Panthéon » « morts-absents » l.23 crâne, philosophe, fleurs fanées, femme, miroir.

 

B. Proverbes et citation cf

 

  1.  
    1. proverbe réflexion usure du temps. Vivre, risque de mourir « la Tour n'y prendre garde » Tour Eiffel « se rouillant » l.14. Ne se casse pas, passage du temps. Citation Montaigne « Ils vont, ils viennent, ils trottent, ils dansent de mort nulle nouvelle » l.11-12. Descartes cogito pensée active preuve d'existence. « Mais moi je suis vivant et là s'arrête mon savoir. » Platon vanité et philosophie.

       

      III. Réflexions sur le pouvoir de la littérature : parodie et réflexion.

       

      A. « Toute cette histoire » Les personnages.

       

Paris songe Zazie, rêve d'un enfant car existence ? Taxi et métro. Gabriel – rêve – personnage – construction imaginaire. Gabriel réveil Zazie. Rêve ou cauchemard. Monde est un sens personnage construction mentale. Panthéon → homme historique → divinité lié. l.7. Lecteurs rend personnages vivants. Lecture projection imaginaire de celle de l'auteur.

 

B. « Un romancier idiot » sens du roman.

 

Mise en abyme, personnage parle de l'auteur, un personnage de roman n'existe pas, blasphème, il s'excuse pour nous sortir de notre rêve. C'est qu'un délire, pas de sens humoristique « que sais-je ? » « Je sais que je ne sais rien » Socrate.

 

Film de Louis Malle. 1960

Liens utiles