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corpus sur emile zola

Publié le 12/09/2012

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zola
Corpus Emile Zola, est l'un des plus grands auteurs du réalisme au XIX siècle, au travers de ses histoires il chercher à représenter au mieux la réalité ainsi que tous les milieux sociaux notamment grâce a son oeuvre les Rougon-Macquart. Une oeuvre dans laquelle il veut décrire l'hérédité dans une famille au fil des générations, une famille séparé en deux branches et donc en deux milieux différents. Nous allons voir trois extraits de trois oeuvres différentes, L'assommoir, Au bonheur des dames et Germinal et voir en quoi ces trois textes sont caractéristique du naturalisme et plu particulièrement de la démarche de Zola dans les Rougon-Macquart Pour commencer, Emile Zola représente tout les milieux sociaux, dans l'assommoir et Germinale sont représenté les milieux ouvrier et l'univers de la mine ainsi que l'univers des grands magasins dans Au bonheur des dames. Tout d'abord dans l'extrait de l'Assommoir, on a une vision très claire de la souffrance ainsi que de la crise que subissent les ouvriers parisiens dans le quartier de la goutte d'or. La description de la réalité n'est en aucun cas été modifier et l'auteur n'essaye pas d'idéaliser celle-ci. Le narrateur est omniscient alors on sait donc ce que les personnages, ici Gervaise, pensent, nous avons une description à fonction informative : « Gervaise [...] Bru [...] quatre ménages « ainsi qu'une description à information réaliste : « ce coin de la maison était le coin des pouilleux [...] le long du corridor [...] sur un tas de paille [...] sous le petit escalier «. Ensuite dans Germinal, nous avons une focalisation interne avec la description et la mise en place du cadre spatio-temporelle : « Montsou [...] à ce moment la le soleil se couchait [...] la plaine «, on peut donc dire que la scène se passe sur une plaine au moment ou le soleil se couche, donc le soir. On connait qui sont les personnages présents : «  près d'un millier de femmes [...] deux milles [...] hommes [...] Mme Hennebeau. Négrel [...] Lucie et Jeanne «, on connait également la situation des personnages ; dans l'Assommoir « Gervaise souffrait encore des faims « et « le père Bru, ce pauvre vieux, qu'on laissait crever, parce qu'il ne pouvait plus tenir un outil «. Dans L'Assommoir, nous avons une focalisation zéro car le narrateur sait tout propos des personnages ainsi que du lieu qui les entoure « deux familles qui mangeaient pour tromper leur estomac [...] par moments des danses s'élevaient «. Ainsi, dans l'extrait de Au bonheur des dames, nous avons un personnage ambitieux avec comme rêve de créer «  les plus vastes magasins de paris, un bazar qui fera des millions «, un personnage qui fait donc partie de la haute société, on nous décrit ici, é l'inverse des autres textes un milieu favorisé. Nous avons une focalisation interne car l'on sait ce que pense l'un des personnages, nous savon que le personnage chercher a tout prix a rencontre le baron Hartmann car lui seul peu mettre à bien son projet. Pour finir tous les milieux sociaux sont représentés dans ces deux textes : « au milieu de cette existence enragée par la misère [...] des larmes de femmes, des plaintes de mioches affamés « dans L'Assommoir et les bourgeois dans Germinal qui se cachent à l'arrivé des grévistes ainsi que dans Au bonheur des dames. Donc nous avons ici deux des trois caractères du réalisme et du naturalisme : donne l'illusion de la réalité et représenter tout les milieux sociaux. Ensuite, dans ces différents extraits nous avons l'une des caractéristiques du réalisme qui est la volonté de représenter la réalité tel qu'elle est, on peut donc facilement s'identifier aux personnages ainsi qu'aux lieux où l'action se déroule. Dans L'Assommoir, nous avons des personnages commun, aux quels le milieu défavorisé peut s'identifier facilement, « existence rongée par la misère [...] des familles qui se mangeaient pour tromper leur estomac [...] ce pauvre vieux qu'on laissait crever, parce qu'il ne pouvait plus tenir un outil «,nous avons également une action qui se déroule dans un vrai quartier de Paris, le quartier de la goutte d'or. Dans Au bonheur des dame, l'action se déroule également à Paris, le lieu d'action principal des pièces d'Emile Zola, mais dans une période différente, en 1883, une période durant laquelle les innovations parisiennes vont bon train et à l'inverse des autres textes celui-ci nous parle uniquement de la haute société. L'effet de réel dans ce texte est tout d'abord la correspondance des faits de l'histoire avec les faits réel ainsi que les noms de rues qui sont tout a fait réel : « prolongement de la rue Réaumur, dont on allait ouvrir une section, sous le nom de rue Dix-Décembre, entre la place de la Bourse et la place de l'opéra [...] rue de Choiseul et la rue de la Michodière [...] rue Neuve-Saint-Augustin «, nous avons aussi un personnage qui se nomme «  le baron Hartmann « en référence au baron Haussmann. Ensuite, dans Germinal, nous avons une grève décrite, une grève contre les diminutions de salaire, cette grève est décrite en détail : « les femmes avaient paru [...] d'autres plus jeunes, avec des gorges gonflées de guerrières, brandissaient des bâtons [...] au-dessus des têtes parmi le hérissement des barres de fer, une hache passa, portée toute droite «, on peut facilement d'identifier aux personnages, que ce soit les bourgeois se cachant dans une grange ou les mineurs qui se révolte pour leur salaire. En outre l'auteur décrit également la « révolution qui les emporterait tous, fatalement, par une soirée sanglante de cette fin de siècle «, il fait la une hypothèse sur ce qu'il adviendrait du peuple si une révolution éclatait. Pour conclure l'utilisation des langages courant ou même familier dans les textes renforce le naturalisme voulu par l'auteur : « une crampse au gosier général [...] qu'on laissait crever [...] était comme un chien [...] becs de gaz [...] immeuble qu'elle ne lâcherait certainement pas [...] causer a l'aise de la grosse affaire [...] rond en affaires [...] les vieilles, affreuses [...] les massacrât «, ce vocabulaire courant et parfois même familier nous rapproche de la réalité et des personnages. Ainsi, ses trois textes sont caractéristiques du naturalisme et notamment de la démarche de Zola dans les Rougon-Macquart. La volonté de l'auteur de vouloir décrire l'hérédité au sein d'une famille sans pour autant décrire la société contemporaine n'est pas réussi car celui-ci, au travers des ses différentes oeuvres des Rougon-Macquart critique le régime autoritaire de Napoléon III. Tous les milieux sociaux sont représenté, les ouvrier parisien dans L'Assommoir, l'univers des grands magasins dans Au bonheur des dames et l'univers de la mine dans Germinal. Pour écrire ses romans, notamment Germinal, l'auteur faits ses propres enquêtes, si l'univers qu'il décrit est si réaliste c'est parce qu'il a passé plusieurs semaines avec des ouvrier, avec des mineurs, il vit avec le milieu qu'il veut décrire. Dans les Rougon-Macquart nous avons une famille dont l'ancêtre commun est Adelaïde Fouque dites tante Dide qui donne naissance à deux branches, une branche légitime avec Pierre Rougon et une branche non-légitime avec Ursule et Antoine Macquart. Au travers de cette famille, l'auteur critique la société française sous le second-empire. En conclusion ces trois textes sont caractéristiques du naturalisme et plus particulièrement de la démarche de Zola dans les Rougon-Macquart, ces trois textes sont réaliste avec des descriptions précises du cadre spatio-temporelle, l'auteur représente différents milieux de la société et la vocabulaire familier rend l'effet du naturalisme plus réel.
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« la réforme protestante et anglicane, lesquelles furent suivies par une réaction de l'Eglise Catholique au Concile de Trente.

Nous finirons avec la situation religieuse européenne en 1560, à l'aube des guerres de religions entre Catholiques et Protestants. A la fin du Moyen-âge, la situation religieuse en Europe a changé.

Les Ottomans ont pris Constantinople le 29 mai 1453.

La ville vestige de Romain était l'ultime dépositaire de l'Antiquité classique.

Elle faisait aussi office de rempart de la chrétienté face à la poussée de l'islam.

Les Croisades contribuent à semer une haine durable entre chrétiens (catholiques et orthodoxes), et entre chrétiens et musulmans.

Après les croisades, les catholiques ne peuvent plus, durant cinq siècles, faire le pèlerinage de Jérusalem.

Principalement, les Croisades, surtout la quatrième, sont un formidable transfert de richesses de l'Orient vers l'Occident.

Ajouté à la fin de l'empire Byzantin, la fin de la Reconquista Espagnol par la prise de Grenade le 2 Janvier 1492 amène le monde Catholique a s'enfermé en Europe Occidentale.

Se repli sur lui-même, va amener les intellectuels de l'époque à s'interroger sur la pertinence des dogmes prêchés par l'Eglise catholique Romaine. La diffusion de l'imprimerie, mise au point par l'Allemand Jean Gutenberg vers 1455, à Mayence, permet au livre, dont le prix est désormais accessible, de devenir le véhicule privilégié des idées dans chacune des langues nationales.

Avec la vulgarisation de la Bible, elle a amené à la contestation et à la réforme protestante et anglicane, lesquelles furent suivies par une réaction de l'Eglise Catholique au Concile de Trente. - La Bible de Gutenberg ou « Bible à quarante-deux lignes » est le premier livre imprimé en Europe à l'aide de caractères mobiles.

Elle est imprimée sur du vélin et sans doute par économie sur du papier importé d'Italie, elle reproduit le texte latin de la Vulgate de saint Jérôme : l'Ancien Testament occupe le premier volume et une partie du second, qui contient l'ensemble du Nouveau Testament.

Elle permet la diffusion du savoir et surtout la traduction de la Bible du latin en langues nationales.

En 1500, il y a déjà des imprimeries dans 236 villes européennes et on estime à 200 millions le nombre d'ouvrages imprimés au XIV° siècle, dix fois plus qu'au siècle précédent.. »

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