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Etre heureux, est-ce satisfaire tout ses désirs ?

Publié le 04/02/2014

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Être heureux est-ce satisfaire tous ses désirs ? Le bonheur ne va pas de pair avec la frustration, pourtant c’est bien ce sentiment que ressent l’homme quand ces désirs sont voués à l’échec. L’homme moderne est en continuelle recherche de la réalisation de ses désirs, il tend vers cela afin d’atteindre un sentiment de satisfaction qu’il appellera le bonheur. Pourtant, il est des désirs qui ne peuvent être assouvis, et d’autre qui eux provoque un état de plénitude et de satisfaction une fois réaliser. La réalisation de nos désirs peut-elle réellement être un facteur majeur de notre bonheur ? Quelles relations le bonheur entretient-il avec le désir, et à partir de quand le désir n’est-il plus maître de notre bonheur ?     Nous appelons désir, une envie qui, une fois assouvie provoque un état de plénitude et de satisfaction. Il s’agit d’un sentiment de bien-être où le malaise et la frustration ne peut subsister, à partir de cela, nous pouvons appeler ce sentiment bonheur. En effet, nous rapportons une définition similaire au terme bonheur, pourtant, nous savons qu’un désir insatisfait alimente la déception quant l’irréalisation  de celui-ci. En outre, la déception est d’autant plus grande quand nous nous sommes acharnés sur un même désir et que nos efforts se retrouvent vains. En cela, nous pouvons penser que le désir nous met en proie à une insatisfaction presque constante, puisque l’homme ne peut satisfaire tous ses désirs. En effet, les désirs d’immortalité ou bien de pouvoir absolu sont indubitablement impossibles à réaliser. De plus, nos souhaits et nos désirs se confrontant souvent, nous pouvons rarement éprouver une pleine satisfaction de nos désirs, car l’un se réalise au détriment de l’autre. Comme par exemple, le souhait d’arrêter de fumer et le désir de fumer. Epicure nous dit, qu’il faut cesser de désirer pour pouvoir atteindre le bonheur. Ainsi, nous ne sommes plus dans l’attente de la réalisation de nos désirs et nous cessons instantanément toutes espérances ou espoirs vains. D’une part car tous nos désirs ne sont pas réalisables et d’autre part car ils ne sont pas tous bénéfique ou saint pour nous. Le désir de vengeance par exemple apporte une fausse satisfaction ainsi qu’une illusion de bien être, alors qu’en réalité il n’a à offrir que du malheur et de la solitude. L’idée de bonheur dans ce cas est alors caduque, car nul ne peut être heureux à partir d’un sentiment malsain et obsolète.        Pourtant certain désirs ne peuvent être ignorés, ceux-ci sont liés aux besoins du corps et de l’esprit. Comme les besoins fondamentaux qui définissent l’être humain. Le philosophe Epicure les appelle « désirs naturels nécessaires «.  Il dissocie ces désirs des désirs « non naturels «  et donc non nécessaire. C’est cette catégorie-ci qu’Epicure considère qu’il faut railler de nos vies, car elle ne permet pas l’ataraxie. Car la recherche de l’accomplissement   de nos désirs  dit « non naturels « ne serait que délusoire et pourrait provoquer une peur du manque et une souffrance non utile à notre bonheur. Donc, nous devons être maître de la relation que nous maintenons avec nos désirs. C’est à dire privilégier les désirs qui ont un rapport avec nous même, et qui ne risque pas au contraire de nous détruire ou nous faire souffrir. Nous pouvons donc conclure que le nos désirs ne sont pas en tout point moteur de notre bonheur, en revanche ils donnent le bénéfice de la satisfaction passagère. Comme Epicure le clame, il faut être maître de ses désirs afin de ne pas en souffrir. Quel est donc la cause majeur de notre bonheur ?

« réalisation de nos désirs et nous cessons instantanément toutes espérances ou espoirs vains.

D'une part car tous nos désirs ne sont pas réalisables et d'autre part car ils ne sont pas tous bénéfique ou saint pour nous.

Le désir de vengeance par exemple apporte une fausse satisfaction ainsi qu'une illusion de bien être, alors qu'en réalité il n'a à offrir que du malheur et de la solitude.

L'idée de bonheur dans ce cas est alors caduque, car nul ne peut être heureux à partir d'un sentiment malsain et obsolète.        Pourtant certain désirs ne peuvent être ignorés, ceux-ci sont liés aux besoins du corps et de l'esprit. Comme les besoins fondamentaux qui définissent l'être humain.

Le philosophe Epicure les appelle « désirs naturels nécessaires ».

 Il dissocie ces désirs des désirs « non naturels »  et donc non nécessaire.

C'est cette catégorie-ci qu'Epicure considère qu'il faut railler de nos vies, car elle ne permet pas l'ataraxie.

Car la recherche de l'accomplissement   de nos désirs  dit « non naturels » ne serait que délusoire et pourrait provoquer une peur du manque et une souffrance non utile à notre bonheur.

Donc, nous devons être maître de la relation que nous maintenons avec nos désirs.

C'est à dire privilégier les désirs qui ont un rapport avec nous même, et qui ne risque pas au contraire de nous détruire ou nous faire souffrir.

Nous pouvons donc conclure que le nos désirs ne sont pas en tout point moteur de notre bonheur, en revanche ils donnent le bénéfice de la satisfaction passagère.

Comme Epicure le clame, il faut être maître de ses désirs afin de ne pas en souffrir.

Quel est donc la cause majeur de notre bonheur ?. »

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