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Etude de cas : Grenoble

Publié le 29/04/2012

Extrait du document

L’agglomération grenobloise constitue, depuis 1971, une réelle technopole. En effet elle concentre, sur un même lieu, l’industrie et la recherche. Ce rapprochement des universités et de la recherche, quantitativement et qualitativement puissantes (55 000 étudiants, 5900 chercheurs, 3 universités, une excellence scientifique reconnue en sciences de la matière, sciences de l’ingénieur et sciences sociales) a d’ailleurs permis à la ville d’acquérir une réelle dynamique d’innovation  qui lui a promu un rôle de compétitivité à l’échelle mondiale.

 

 

            La région grenobloise est caractérisée depuis plus de 50 ans par son dynamisme industriel basé sur l’alliance entre les entreprises et l’Université et est donc bien placée pour jouer la carte da l’innovation En effet, la cité de l’Isère a très tôt développé des activités nouvelles comme l’hydroélectricité (doc 2). Aujourd’hui, avec Minalogic, pôle de compétitivité mondial, et le campus Minatec le territoire grenoblois est après l’Île-de-France le premier pôle de recherche français qui permet une innovation importante portant principalement sur les techniques de miniaturisation électronique les puces intelligentes, les logiciels... mais aussi sur les domaines de la santé, de l’environnement (doc 9). Cette innovation est le fruit de plus de 182 membres (142 entreprises, 15 laboratoires, 15 collectivités territoriales…)  installés à Grenoble et dans les villes de sa périphérie (doc 8), qui assurent la réalisation de 143 projets financés par des fonds publics et des investisseurs privés. Le rapprochement spatial des activités industrielles et de la recherche donne ainsi naissance à des paysages spécifiques. C’est le cas du campus Minatec où de l’ancienne Zirst de Meylan, rebaptisée Inovallée (110 hectares de terrain, 320 entreprises employant 10 000 personnes), où des bâtiments modernes abritent production et recherche dans un cadre agréable au pied de la chaîne alpine (docs 3 et 12). Les activités industrielles et les services se localisent désormais à proximité des grandes agglomérations pour bénéficier des moyens de communication rapides (autoroute, aéroport, LGV) (doc 1), des services destinés aux entreprises (banque, assurance, publicité, marketing...), des laboratoires et des universités. Cette urbanisation s’accompagne aussi d’une hausse démographique, principalement périurbaine, résultat de l’attractivité du territoire (doc 4).

 

 

 

 

Face à l’émergence de nouvelles puissances industrielles, l’innovation est un des atouts majeurs de la France pour relever le défi de la concurrence internationale. La politique industrielle impulsée par lÉtat et les collectivités locales vise à favoriser la recherche, notamment par la création des pôles de compétitivité.  Ainsi, depuis 2005, la région abrite un pôle de compétitivité regroupant sur un même territoire des entreprises, des établissements d’enseignement supérieur et des organismes de recherche publics ou privés avec pour vocation d’élaborer ensemble des projets majeurs d’innovation. Sa mise en place dans l’agglomération grenobloise a permis de mettre la ville en compétition à l’échelle mondiale. Le pôle de compétitivité a ainsi une stratégie de compétitivité internationale vigoureuse. Le doublement du site de production de micro et nanocomposants à Crolles, qui est le versant industriel de l’opération MINATEC, est présenté comme le plus gros investissement industriel des années 2000-2010 en France. La collaboration de ces pôles de compétitivité avec les 14 clusters de recherche (« structures permettant le rapprochement de chercheurs et scientifiques autour de projets innovants et pluridisciplinaires « doc 5) présents dans l’agglomération grenobloise contribue d’autant plus à placer Grenoble en compétition à l’échelle internationale. En effet, le développement social, la recherche, la performance économique sont autant de buts communs recherchés. Ainsi, afin d’assurer un réel poids à l’échelle mondiale différents acteurs (industriels, commerçants, laboratoires…) tissent des liens de partenariat autour de projets communs et novateurs (doc 11)

 

            Ainsi, la région grenobloise, grâce au rapprochement de l’industrie et de la recherche, à la mise en place de clusters et d’un pôle de compétitivité primordial, a acquis une réelle capacité d’innovation qui lui vaut une place en compétition à l’échelle inetrnational.

« I.Estados Unidos a) Un país industrial y moderno El espacio: exterior. Contexto: Frida pintó este cuadro durante su estancia en Estados Unidos: vemos la bandera del país arriba a la derecha.

Acompañó ahí a su marido Diego Rivera, pintor muralista, encargado de realizar murales para el San Francisco Stock Exchange y para la California School of Fine Art. Frida pintó la potente y moderna industria norteamericana.

Es la visión que nos da Frida de Estados Unidos.

Vemos unas fábricas (por ejemplo la fábrica FORD con dos sentidos a esta referencia: la fábrica + el hospital Henry Ford donde estaban los médicos con los que Frida tenía consulta para su embarazo) en el fondo, y rascacielos que esconden el cielo: como si no hubiera horizonte. Vemos también unas tuberías (canalisations, tuyauteries) en el centro a la derecha + 3 máquinas: un generador a la izquierda + un altavoz para mostrar quizás el ruido de la ciudad industrializada + otro aparato eléctrico. Esta industrialización la vemos también gracias a la paleta de colores apagados y en particular el color gris que domina la parte derecha del cuadro: es el color del acero, del metal = muestra un país frío, inhospitalario. La composición de esta parte derecha es organizada y las formas son geométricas = un mundo rígido. Es la visión que tenía Frida “del país de los gringos” como ella lo decía. b) Un país sin vida Los únicos “hombres” que aparecen son unas especies de máquinas misteriosas que tienen una forma humana con los tubos que se parecen a brazos y con unas especies de cabezas y el tronco del “cuerpo” y con unas “piernas” = ESTO SOLO MUESTRA UNA DESHUMANIZACION de esta sociedad dominada por las máquinas y la técnica. Además, la naturaleza es inexistente: las únicas raíces que aparecen son unos cableados eléctricos. No hay flores, ni hierba, sólo hay alquitrán y contaminación (ver el humo que sale de las chimeneas de la fábrica FORD) II.México a) Un país más.... »

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