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Exercices d'application

Publié le 19/01/2011

Extrait du document

1)       Dans les passages suivants, soulignez les subordonnées circonstancielles de temps et  justifiez  l’emploi des modes des verbes.

 

v   Quand le vieux cerf entrouvrait les yeux, son regard encore endormi retrouvait la sérénité du sous-bois, le silence amical des arbres. Et il se fermait les paupières, tandis que son jeune compagnon, sans oser se remettre sur pied, détendait ses jambes énervées, en soupirant d’impatience et d’ennui.

Maurice Genevois

 

v   Cloche déguerpissait toujours avant qu’on se fût aperçu de sa présence.

Guy de Maupassant, «Le Gueux «

 

2)       Relevez dans les passages suivants, les subordonnées circonstancielles en indiquant le type et le mode des verbes employés.

 

v   Cette fois, Agaguk appela Iriook pour qu’elle vînt à sa rescousse et l’aidât à tirer le mammifère sur la glace. Soit qu’il fût plus pesant encore que l’autre ou que les forces d’Agaguk fussent réduites par le premier combat, ils durent se mettre à deux et besogner durement pour qu’enfin la nouvelle prise reposât aux côtés de la première.

Yves Thériault,  « Agaguk «

 

v   Au réfectoire, alors qu’on distribuait les lettres, j’en profitais pour refaire mes cahiers. Le jeudi et le dimanche, pour éviter la promenade, je glissais à la permanence. Ce nom vous plait-il autant qu’il me plaisait, travail permanent, permanente gloire! Dans les récréations, il suffisait, sans même dissimuler son livre, de tourner lentement autour d’un pilier selon la place du répétiteur qui faisait les cent pas.

Jean Giraudoux, « Simon le pathétique «

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