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Fiche de lecture: « La dame des forges «  De Nathalie de Broc

Publié le 29/07/2010

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lecture

 

Biographie

Bretonne de naissance et de c' ur, Nathalie de Broc habite Quimper. Journaliste indépendante pour France 3 Ouest, elle est également traductrice et auteur de guides touristiques aux Éditions Gallimard. Depuis son premier roman, Le patriarche du Béton (2004), elle a publié La dame des forges (2005), La tresse de Jeanne (2007) et le premier volume d'une nouvelle saga familiale, Loin de la rivière (2008). Tous ont paru aux Presses de la Cité Repères 19?? : Naissance à Paris. 1975 : part, sac au dos, aux États-Unis où elle restera deux ans. 1977 : stage à France Inter. 1980 : débuts à RFO. 1984 : retour à France Inter. 1998 : entre à France 3 Ouest, où elle travaillera jusqu’en janvier 2006. 2004 : « Le Patriarche du Bélon «. 2005 : « La Dame des Forges «. 2007 : « La Tresse de Jeanne «. 2008 : « Loin de la rivière « et «La Rivière retrouvée« (Tous les romans cités sont publiés aux Presses de la Cité). Résumé

En Bretagne, au milieu du xixe siècle, une jeune aristocrate, héritière de forges prospères, est prise dans la tourmente des premiers mouvements sociaux et de l’amour…   Virginie, petite-fille d’Eylau de Kerviléon, impitoyable propriétaire des Forges d’Hennebont, a un destin tout tracé. Loin du bruit et de la fureur des forges, elle a été élevée pour devenir épouse et mère dans le respect de son rang. Elle va d’ailleurs épousée Edmond Cossec, parti soigneusement choisi par son grand-père, veillant avant tout à servir ses intérêts plutôt que de penser au bonheur et à l’épanouissement de sa petite fille. Edmond, est en effet le propriétaire de la célèbre société de cirage Français, et voit cette alliance d’un très bon ' il, puisqu’il voit son patrimoine s’agrandir. Tout aussi avide d’intérêt que Eylau, Il va se montrer rude et injuste envers Virginie, usant de son autorité et de son droit de chair à tout moment. Son père, Armand, brave homme faible et peu au fait de l’éducation d’un enfant, se contente de suivre le mouvement parisien de sa femme Eyliette, trop heureux d’échapper à la noirceur du monde des forges et à la malveillance de son père. C’est auprès de Nanne, dame d’un certain âge, nourrice de Virginie, que celle-ci va trouver un réel réconfort et une écoute sur ses doutes et ses déceptions. Mais sa vie va être bouleversée par sa rencontre avec un jeune métallurgiste, Adrien Le Guerno…   Adrien fait partie de cette main-d’' uvre qui afflue chaque jour à Hennebont. Dès sa douzième année, il a connu la suie des hauts-fourneaux et les taudis des faubourgs. C’est à la suite d’un drame familial, que celui-ci décide de tourner la page sur cette vie, et part en direction des forges rejoindre sa s' ur et son mari, travaillant pour le compte des Kerviléons. Mais, lorsqu’il découvre les injustices régnant dans les usines de Kerviléon, il décide de se battre et organise la première grève des forges. Virginie n’a aucune idée de la misère à sa porte, ce quotidien des « métallurgistes en sabots «. Son amour pour Adrien va lui ouvrir les yeux, mais, à l’heure de la révolte, il la mettra aussi face à un terrible choix …En effet, auprès d’Adrien Virginie va se révéler être un fin stratège. N’hésitant pas à tenir tête à son grand père et à son époux, Virginie ne manque ni de courage, ni d’aplomb pour servir la cause qui lui est chère. Petit à petit, son assurance va se renforcer, usant des mêmes méthodes que ses adversaires, elle va se montrer rusée et combative, allant même jusqu’à faire du chantage à son propre grand-père pour libérer Adrien, fait prisonnier par lui-même pour avoir été à l’initiative de la grève. La mort de son père, Armand, poignardé par l’un des ouvriers peu de temps avant, va être une force supplémentaire pour elle en plus de sa grossesse. Elle va profiter de la faiblesse psychologique de son grand-père, pour le culpabiliser sur la mort de son fils, et finit par obtenir de lui, ce qu’elle voulait, puisque de son propre chef, libéra Adrien, et lui léga les forges, ainsi elle en devient l’unique propriétaire et par la même, évince Edmond Cossec de la société. Adrien devient, selon le souhait de Virginie, directeur des forges. Cependant, son grand-père la met en garde sur un point, Virginie ne pourra pas vivre cet amour au grand jour, elle devra sauver les apparences. En effet, son mari sera toujours là, sur le papier du moins. C qu’un homme peut se permettre, on ne l’accordera pas à une femme. Personnages

Virginie de Kerviléon Petite-fille d’Eylau de Kerviléon, âgée de 19 ans, elle a un destin tout tracé. Loin du bruit et de la fureur des forges, elle a été élevée pour devenir épouse et mère dans le respect de son rang. L’éducation de Virginie a été calquée sur celle de toute femme du monde en devenir ; son instruction comprenait quelques cours secondaires d’orthographe, d’anglais et d’italien, fort à la mode, des leçons de maintien, de piano, des ouvrages d’aiguilles. Une éducation uniquement destinée à servir un futur mari, à observer les règles de bienséances dans les salons et à s’y montrer à son avantage. Cependant virginie sur des abords convenus, n’avaient rien de mièvre. Intelligente, elle a vite compris qu’il lui fallait accepter Edmond Cossec pour mari sans rébellion mais sans résignation non plus. C’est auprès d’Adrien que le tempérament de Virginie va s’affirmer, et s’endurcir. Elle va s’allier à sa cause et à celle des ouvriers, choisissant son camps elle va se battre auprès de lui. Nanne va lui être d’un important soutien, la conseillant et la réconfortant à tout instant. Eylau de Kerviléon Dirigeant des forges d’Hennebont, appelé « le diable « par les ouvriers, celui-ci est comme son nom l’indique, méprisé et crains par tout ceux qui l’entourent. Il épousa une certaine Marie-louise, dont sa dot lui permis de devenir propriétaire des forges, et travailla tout au long de sa vie, pour rendre cette affaire de plus en plus prospère. Avide d’intérêt et de pouvoir, malgré son âge avancé, il n’a rien perdu de sa poigne légendaire, et va jusqu’à marier sa petite fille à un riche homme d’affaire, pour étendre ses activités et enrichir son patrimoine. Se souciant peu du bonheur de sa petite fille, il va sans le savoir provoquer sa rencontre avec Adrien le jour même de ses noces. Véritable bourreau, il épuise à petit feu les ouvriers, les obligeant à travailler 12 heures d’affilées. Son point faible, son fils, qui le jour de sa mort, va découvrir ce qu’est la culpabilité. Longtemps, il ne cacha pas sa déception d’avoir eu un fils qui ne correspondait en rien à ce qu’il attendait, mais sa mort soudaine, va tout bouleverser et changer sa vision des choses. Il va même jusqu’à confier la direction de la société à Virginie, qui au départ était destiner à Edmond, son époux. Nanne Le visage rebondi, encadré par les deux ailettes de sa coiffe, des yeux légèrement bridés où affleurait une malice naturelle. Entrée au service des Kerviléons dans sa vingtième année, elle y avait passée l’essentiel de sa vie. Elle s’y était mariée au majordome de la maison, puis une fois veuve, sans enfant ni famille, avait choisi de finir ses vieux jours dans la place. Gouvernant, nourrice de Virginie, les qualificatifs ne manquent pas pour définir l’étendue de sa fonction tant Nanne a pris de l’importance au château. Son autorité égale largement celle de son « Maître «, et l’on peut parfois se demander parfois qui, des deux, fait régner la loi en la maison. Elle exprime son avis sur tout sans avoir été sollicité, mais d’une fidélité de louve, elle donnerait sa vie pou les Kerviléons. Sa relation avec Virginie peut être définie comme fusionnelle, mère de substitution, elle a l’a élevée en grande parti e veillant à son épanouissement et à son bonheur, ce que toute mère souhaite à son enfant. Elle va être par la suite la complice de Virginie, en dissimulant ses faits et gestes pouvant trahir sa relation secrète avec Adrien. Adrien le Guerno Agé d’une trentaine d’année, c’est suite au décès de sa femme, morte en couche, que celui-ci décide de quitter les forges des Janzés, sac sur le dos, et parta en direction des forges des Kerviléons, rejoindre la s' ur et son mari. N’espérant plus rien de la vie, son seul souhait était de se faire embaucher aux forges et de se tuer à la tâche pour ne plus penser à rein d’autre. Encore meurtri par le décès de sa femme, sa rencontre avec virginie va réveillée en lui des sentiments qu’il croyait disparu. D’un naturel méfiant, il va d’abord se méfier d’elle et de ses intérêts, puis va rapidement changé d’opinion, et tomba, malgré lui, amoureux d’elle. Sa force dans son combat, il va la puiser auprès d’elle et de ses convictions. Edmond Cossec Très élégant, sur e lui, long et mince dans son habit gris perle, le regard marron sans doute un peu froid et distant, un rien de raideur dans sa façon e parler à Virginie, mais la situation n’incite pas au rapprochement, ni aux effusions. Plus âgé qu’elle d’une quinzaine d’année, il a accepté cette union uniquement pour servir ses propres intérêts, et en accroissant son patrimoine. Se révélant être un fin stratège, il n’hésite pas à employer des méthodes plus que douteuses pour parvenir à ses fins, et devenir le prochain dirigeant des forges. Il se montre autoritaire et humiliant auprès de Virginie, la traitant comme une moins que rien, il use de son droit d’époux à sa guise. Aussi machiavélique et calculateur que Eylau de Kerviléon, il est totalement dénué de sentiment. Les ouvriers d’ailleurs, le méprisent complètement, et le craignent plus que « L e diable « comme ils aiment à appeler Eylau. Armand de Kerviléon Fils de Eylau de Kerviléon, et père de Virginie, celui-ci est à l’opposé de son père. Il ne correspond en rien à ses attentes. Peu d’ambition, aucun sens des affaires et une volonté défaillante, il manque de courage et de persuasion pour affronter ce père qui l’intimide tant. Il l’épaule cependant, bon gré mal gré, depuis la création de l’usine à fer. Il est soigneusement mis à l’écart des décisions prises pour la société, préférant les conseils et avis d’Edmond. Néanmoins, malgré sa faiblesse, et son manque de position, il se trouve être un homme bon et un père aimant, même s’il n’intervient pas quand sa fille est victime d’injustices. Cependant, il va faire preuve d’un certains courage, et va finalement tenir tête à son père, pour sa fille, mais va en payer le prix, puisqu’il va finir poignardé par un ouvrier en voulant sauver son père de cette tentative d’assassinat. Eyliette de Kerviléon Mère de Virginie et épouse d’Armand, celle-ci n’a jamais montré un quelconque intérêt pour sa fille, préférant les mondanités et les invitations de Compiègne. Elle se montre peu attentive aux divers problèmes que rencontre Virginie, et ne lui adresse la parole que pour parler chiffons et toilettes. Elle brille d’ailleurs de plus en plus par son absence, notamment après le décès d’Armand, où elle considère que lus rien ne la retient au château. Les thèmes abordés

Le statut et le combat de la femme, sont parfaitement mis en avant par le personnage de Virginie, jeune aristocrate, qui vit un amour secret avec un ouvrier, alors qu’elle est mariée à un riche homme d’affaires. Ce roman, nous montre, que très tôt, la femme n’était qu’un instrument, utilisé par les hommes, servant à l’occasion d’accessoires lors de soirées mondaines où alors à satisfaire des besoins physiques de ces messieurs. De temps à autre, il était le moment pour elle enfanter un fils, afin d’assurer la descendance, et la filiation du nom. Elle n’avait nullement son mot à dire, elle a vécu dans l’idée qu’elle était inférieure à l’homme, et devait vivre pour le servir. Seulement voilà, ce que Nathalie de Broc cherche à montrer, c’est que Virginie, malgré sa jeunesse et son insouciance, est d’une incroyable combativité, se faisant le symbole soudain d’une classe où nullement on ne l’attendait, celle des ouvriers. Elle fait tomber tous les préjugés de la noblesse, et de la femme, faisant affront à sa famille, et de surcroît à des hommes, elle va apprendre à se faire respecter, et écouter dans ce milieu d’homme impitoyable et sans pitié pour une femme. Elle défend également la condition ouvrière. Exploités, ils usent du droit de grève non sans risque, en occupant les locaux sans chauffage, ni nourriture, les esprits s’échauffent, les espoirs s’envolent, chacun regagne petit à petit son poste. Ce sont les prémisses d’un long combat, celui du droit de grève, le droit de se faire respecter en tant qu’individu, et en tant que travailleur. Ce combat, mené ici par Adrien, se révèle être difficile, à cause de l’emprise qu’à Eylau de Kerviléon sur ses ouvriers, allant jusqu’à leur promettre des promotions s’ils abandonnent leurs combat. Ces deux thèmes abordés, révèlent de fortes similitudes, tant le combat et la lutte sont féroces. Ce sont des combats, qui encore aujourd’hui font parlés d’eux, car encore beaucoup d’inégalités subsistent. Opinion

Malgré la contrainte du sujet, et donc du livre, l’histoire m’a tout de suite attiré.

 

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« que le tempérament de Virginie va s'affirmer, et s'endurcir.

Elle va s'allier à sa cause et à celle des ouvriers,choisissant son camps elle va se battre auprès de lui.

Nanne va lui être d'un important soutien, la conseillant et laréconfortant à tout instant. Eylau de KerviléonDirigeant des forges d'Hennebont, appelé « le diable » par les ouvriers, celui-ci est comme son nom l'indique, mépriséet crains par tout ceux qui l'entourent.

Il épousa une certaine Marie-louise, dont sa dot lui permis de devenirpropriétaire des forges, et travailla tout au long de sa vie, pour rendre cette affaire de plus en plus prospère.

Avided'intérêt et de pouvoir, malgré son âge avancé, il n'a rien perdu de sa poigne légendaire, et va jusqu'à marier sapetite fille à un riche homme d'affaire, pour étendre ses activités et enrichir son patrimoine.

Se souciant peu dubonheur de sa petite fille, il va sans le savoir provoquer sa rencontre avec Adrien le jour même de ses noces.Véritable bourreau, il épuise à petit feu les ouvriers, les obligeant à travailler 12 heures d'affilées.

Son point faible,son fils, qui le jour de sa mort, va découvrir ce qu'est la culpabilité.

Longtemps, il ne cacha pas sa déception d'avoireu un fils qui ne correspondait en rien à ce qu'il attendait, mais sa mort soudaine, va tout bouleverser et changer savision des choses.

Il va même jusqu'à confier la direction de la société à Virginie, qui au départ était destiner àEdmond, son époux. NanneLe visage rebondi, encadré par les deux ailettes de sa coiffe, des yeux légèrement bridés où affleurait une malicenaturelle.

Entrée au service des Kerviléons dans sa vingtième année, elle y avait passée l'essentiel de sa vie.

Elle s'yétait mariée au majordome de la maison, puis une fois veuve, sans enfant ni famille, avait choisi de finir ses vieuxjours dans la place.

Gouvernant, nourrice de Virginie, les qualificatifs ne manquent pas pour définir l'étendue de safonction tant Nanne a pris de l'importance au château.

Son autorité égale largement celle de son « Maître », et l'onpeut parfois se demander parfois qui, des deux, fait régner la loi en la maison.

Elle exprime son avis sur tout sansavoir été sollicité, mais d'une fidélité de louve, elle donnerait sa vie pou les Kerviléons.

Sa relation avec Virginie peutêtre définie comme fusionnelle, mère de substitution, elle a l'a élevée en grande partie veillant à son épanouissementet à son bonheur, ce que toute mère souhaite à son enfant.

Elle va être par la suite la complice de Virginie, endissimulant ses faits et gestes pouvant trahir sa relation secrète avec Adrien. Adrien le GuernoAgé d'une trentaine d'année, c'est suite au décès de sa femme, morte en couche, que celui-ci décide de quitter lesforges des Janzés, sac sur le dos, et parta en direction des forges des Kerviléons, rejoindre la s' ur et son mari.N'espérant plus rien de la vie, son seul souhait était de se faire embaucher aux forges et de se tuer à la tâche pourne plus penser à rein d'autre.

Encore meurtri par le décès de sa femme, sa rencontre avec virginie va réveillée en luides sentiments qu'il croyait disparu.

D'un naturel méfiant, il va d'abord se méfier d'elle et de ses intérêts, puis varapidement changé d'opinion, et tomba, malgré lui, amoureux d'elle.

Sa force dans son combat, il va la puiser auprèsd'elle et de ses convictions. Edmond CossecTrès élégant, sur e lui, long et mince dans son habit gris perle, le regard marron sans doute un peu froid et distant,un rien de raideur dans sa façon e parler à Virginie, mais la situation n'incite pas au rapprochement, ni aux effusions.Plus âgé qu'elle d'une quinzaine d'année, il a accepté cette union uniquement pour servir ses propres intérêts, et enaccroissant son patrimoine.

Se révélant être un fin stratège, il n'hésite pas à employer des méthodes plus quedouteuses pour parvenir à ses fins, et devenir le prochain dirigeant des forges.

Il se montre autoritaire et humiliantauprès de Virginie, la traitant comme une moins que rien, il use de son droit d'époux à sa guise.

Aussi machiavéliqueet calculateur que Eylau de Kerviléon, il est totalement dénué de sentiment.

Les ouvriers d'ailleurs, le méprisentcomplètement, et le craignent plus que « L e diable » comme ils aiment à appeler Eylau. Armand de KerviléonFils de Eylau de Kerviléon, et père de Virginie, celui-ci est à l'opposé de son père.

Il ne correspond en rien à sesattentes.

Peu d'ambition, aucun sens des affaires et une volonté défaillante, il manque de courage et de persuasionpour affronter ce père qui l'intimide tant.

Il l'épaule cependant, bon gré mal gré, depuis la création de l'usine à fer.

Ilest soigneusement mis à l'écart des décisions prises pour la société, préférant les conseils et avis d'Edmond.Néanmoins, malgré sa faiblesse, et son manque de position, il se trouve être un homme bon et un père aimant,même s'il n'intervient pas quand sa fille est victime d'injustices.

Cependant, il va faire preuve d'un certains courage,et va finalement tenir tête à son père, pour sa fille, mais va en payer le prix, puisqu'il va finir poignardé par unouvrier en voulant sauver son père de cette tentative d'assassinat. Eyliette de KerviléonMère de Virginie et épouse d'Armand, celle-ci n'a jamais montré un quelconque intérêt pour sa fille, préférant lesmondanités et les invitations de Compiègne.

Elle se montre peu attentive aux divers problèmes que rencontreVirginie, et ne lui adresse la parole que pour parler chiffons et toilettes.

Elle brille d'ailleurs de plus en plus par sonabsence, notamment après le décès d'Armand, où elle considère que lus rien ne la retient au château. Les thèmes abordés Le statut et le combat de la femme, sont parfaitement mis en avant par le personnage de Virginie, jeunearistocrate, qui vit un amour secret avec un ouvrier, alors qu'elle est mariée à un riche homme d'affaires.

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