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FUSTEL DE COULANGES

Publié le 24/02/2011

Extrait du document

   A peu près à la même époque où Karl Marx écrivait le Capital, faisant une Histoire fondée sur le jeu des forces économiques, Fustel de Coulanges, préfigurant un historicisme structuraliste, conçoit l'Histoire comme fondée sur le jeu des forces psychologiques.    La Cité antique, œuvre la plus célèbre du grand historien français, est en effet une reconstitution minutieuse et exemplaire de la vie des cités grecques et romaines où tout s'organise, s'institutionnalise et s'explique, à partir des croyances. Les croyances (livre I) portaient en effet sur la survivance de l'âme des disparus, ce qui entraînait le culte des morts et la continuité nécessaire de la famille dans et par ce culte. La famille (livre II) était ainsi la base sociale, et ses règles juridiques : autorité-responsabilité du pater, lois des successions, condamnation du célibat et de l'adultère, adoption en cas de stérilité, propriété territoriale des lieux des tombeaux, etc., s'ensuivaient par une logique interne rigoureuse. La cité (livre III), créée par la fédération des familles, devait non moins nécessairement élaborer une religion commune et transposer les croyances antécédentes, aboutissant à l'autorité divine du roi et de la loi, à une religion consacrant des règles communes et excluant la liberté individuelle. Les révolutions (livre IV) apparaissent avec l'affaiblissement des antiques croyances et la montée sociale d'une classe sans attaches religieuses. La disparition du régime municipal (livre V) se fait pendant que se construit l'Etat contre les cités, le règne de l'universel contre la foi familiale et historique ; et des valeurs nouvelles surgissent dès lors, favorisées par le christianisme...    L'histoire et la sociologie s'unissent chez Fustel de Coulanges, s'appuyant toutes deux (et par là il annonce Dilthey et ses successeurs) sur la psychologie des croyances et des opinions.

« 3.

La nature qui reflète les sentiments Arrivé en Espagne, Lagardaire apprend à lire à Aurore.Il lui apprend à lire sur une petite pierre non loin de leur grange (habitation).Derrière eux un magnifique paysage de la nature avec un ciel bleu, le soleil, et les oiseaux qui chantent.

Cela reflètepour moi le sentiment de bonheur de tranquillité vu qu'à ce moment-là ils n'ont pas encore vraiment de problème sice n'est le fait qu'il soit recherchés.

Sur la roche qui borde le ruisseau (toujours en Espagne juste avant de repartir pour la France), Lagardaire et Aurorede nouveau, se posent et discute de leurs sentiments , ils se confient l'un a l'autre comme l'eau qui coule.

4.

L'héroïsme Beaucoup de chose à dire par rapport au héros.

Il a vraiment l'air du parfait sauveur – gentleman.

A cheval il a del'élégance, regarde au loin (on dirait qu'il pense), a l'air sur de lui.Il se joue souvent voir presque tout le temps de son ennemis, et il aime ça c'est ce qui fait aussi un peu son rôle.Mais il ne tue pas toujours pour autant son ennemi, ça lui arrive de leurs laissé parfois la vie sauve car c'est unegentil, un héros, un homme bon.Lorsqu'il combat, on peut apercevoir qu'il triomphe facilement et toujours de son adversaire, que ce soit sur un toit,dans un escalier, ou bien d'une pierre à l'autre.

Surtout grâce à sa technique au sabre.

Il lui arrive aussi parfois desauter a des hauteurs de 3-4 mètres sans problèmes ( en Espagne mais aussi au combat final).Comme Zorro il a lui aussi une marque qu'il laisse sur ses victimes, la célèbre botte de Nevers.

On peut considérer sacomme sa griffe, son coup fatal.

5 .

Mise en scène d'évènements extraordinaires Un des événements extraordinaires est le fait que Aurore soit la seule descendante de Philippe de Nevers, et qu'elleait survécu.

Il y a aussi le fait qu'il y ait une amour « impossible » dans un premier temps entre Henri Lagardaire etAurore qui ont une relation plus ou moins père fille, mais qui va se terminer bien grâce à la bénédiction d'Isabelle.Mais aussi des actions extraordinaires tels : le fait que Henri arrive à sauter du sol a un toit de 4 mètres, que l'undes gitans arrive à détacher ses énormes liens en corde avec un tesson de bouteille tout cela assez rapidement etarrive à sortir ni vu ni connu, que le héros se batte parfois à 1/10, et qu'il y ait un combat au nom du roi, au nom dedieu.

6.

Mélange entre fiction et références historiques Tous les lieux et endroits montrés dans le film existent vraiment : que l'on parle de Versailles, le Palais de la Tuilerie,ou bien encore la ferme Saint Jean tout existe vraiment et je le sais avec certitude après avoir mené quelquespetites recherches.Mais le plus intéressant c'est de voir que c'est presque pareil pour les personnages : Philippe d'Orléans, Louis 14,Philippe de Gonzague, tous ces personnages ont aussi réellement existés.

A l'exception de Henri Lagardaire,Passepoil et le bossu qui en fait son des personnages qui ont été pris des romans de capes et d'épées de Paul Féval(le bossu 1857).Cela démontre qu'il y a donc bel et bien un mélange entre la fiction et les références historiques.. »

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