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Incipit "Le Horla" de Maupassant

Publié le 29/07/2010

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horla

1-Chez lui:    On peut noter de très fréquentes occurrences de la première personnes sous forme de pronoms personnels, mais aussi sous forme de possessif, qui s'appliquent à sa maison " ma maison", " mon jardin", ils marquent l'appropriation du lieu dont le narrateur est le maître.  Des le premier paragraphe les racines du personnages sont évoqués, impliquant une appartenance de longue date. Des le début du récit, l'attachement au sol, à la nourriture, comme à un pays maternel dont il a été nourris.    2- La Quiétude :    La première phrase de la nouvelle est un exclamation de bien-être. On peut noter que le personnage est en positon de détente " allonger sur l'herbe" et dans la même phrase, l'emploi des verbes "couvrir", "abriter", "ombrager" connote la protection. Dans le deuxième paragraphe, cette connotation est renforcer avec l'évocation de la "maison". La maison, le jardin, la possession peuvent correspondre au rêve de quiétude de chacun. La "grille" st censé le protéger des intrusions, en délimitant son territoire.  Dans le 3eme paragraphe, les sens renvoient à l'impression de tranquillité : la vue, avec le bleu "toits et "air", qui connote la douceur et qui est lié au notion d'élévation et de verticalité. L'ouï apparait à travers le "chant" "doux";  Le paragraphe suivant, dans son intégralité correspond à une nouvelle expression de bien-être.  Cette exclamation se fait au passé, alors que celle qui ouvrait le texte ne comportait pas de verbe.  On donne à partir de là, des indications temporelle plus précisent : " leur" au début de paragraphe suivant, et l'évolution de la mâtiné : métaphore d'un commencement : tout reste à vivre.    3-Intrusion venue d'ailleurs :    La première évocation de l'ailleurs apparait au 2eme paragraphe avec le fleuve, voie navigable et élément instable (eau). A partir du 5eme paragraphe, les navires sont évoqués, d'abord avec l'aspect pratique et les connotations négative, attaché au remorquer, "trainer", " gros comme une mouche", les verbes "raller" et "vomir" et la fumée épaisse" qui pollue son "air bleu".  Dans le dernier paragraphe, deux autres pays sont évoqués, le "geolettes" et son "pavillons rouge", la première couleur ne connotant ni la douceur( bleu) ni la pureté (blanc) mais au contraire la violence, l'enfer....  Le toits mats brésilien est présenté par des thermes très positive "superbe", "admirablement", ilt "blanc", "propre", 'luisant", ce qui attire le narrateur, mais aussi le Horla.

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