Introduction. Pensées Pascale

Introduction. Pensées Pascale 

Chercher à savoir n'est pas chose aisé. outre les difficultés propre que son application rencontre, nous devons résister à la défiance de la société, sinon faire face à son reflet de grégaire de condamnation sans appel. En effet toujours elle est prompte à reprocher à ceux qui s'aventure entre ces sentiers battu, 'un société ou d'une époque; jusqu'à les mettre à l'index sinon pire. Est ce alors par conformisme que, comme l'affirme Pascale \"L'Homme\" ne veut pas qu'on lui dise la vérité, serait ce parce qu'il faut courage, de la force d'âme que le plus grand nombre s'en douterait? ne voile-t-il pas avant tout un défaut d'éducation, notre incapacité étant relative à des conditions historique données soit aux progrès de l'esprit? Est-il juste de suggérer qu'il n'y aurait de rechercher de la vérité que de solitaire? N'y a-t-il pas précisément des domaines où son établissement se fait dans la communauté d'une démarche d'esprit? Mai à ce demander comment l'homme peut ou non déployer la vérité nous minerons la question de l'essence de la vérité, qui excède les seules limites du vrai. Hors c'est notre hypothèse du travail d'affirmer que la est justement l'essentiel du propos pascalien: la vérité n'est pas une affaire de définition, autorisant de juger ou non de la fausseté d'un énoncé; elle viendrait plutôt dégager la compréhension du fond de notre être en vu d'échapper non pas tant à l'erreur (qu'à  l'illusion, est ainsi renouer à la réalité ou ce qui est )qu'elle homme en est alors capable? peut-on y avoir recours sans disposer d'une spécialité? Que signifie que nous concevions qu'avec la vérité l'Homme dépasse infiniment l'Homme? Peut-être alors comprendrons nous pourquoi la haine de a vérité, sinon l'intérêt de l'homme n'est pas seulement de l'ordre de la mimologie (haine de la raison) mais principalement du sacrilège ou de l'impiété.