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Ironie Flaubertienne

Publié le 12/02/2012

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Exposé sur l'ironie Flaubertienne

 

     

  1. Une ironie discrète et impitoyable

    A) Une ironie invisible

    B) L'ironie impitoyable de Flaubert.

  2. L'ironie, une arme puissante et essentielle

    A) L'ironie, une arme de la raison

    B) L'ironie, une arme a double tranchant

    C) Une forme d'expression personnelle menant au paradoxe de l'absence de Flaubert dans ses œuvres

     

 

Introduction : Madame Bovary est l'exemple même de l'ironie dont fait preuve Flaubert. Elle est à la fois très subtile, mais a un impact assez conséquent sur le déroulement de l'histoire.

Flaubert se base ainsi sur l'ironie pour donner un forme si particulière a son œuvre. Le problème de l'ironie Flaubertienne reste sa discrétion, ainsi Flaubert laisse quelques indices ( a peine perceptible ) et mise sur le fait que les lecteurs parviendront a les repérer et a les dévoiler.

(a compléter)

 

 

  1. Une ironie discrète et impitoyable

    A) Une ironie invisible

C'est là la caractéristique même de l'ironie Flaubertienne : la discrétion.

Ainsi, on peut repérer de nombreux passages dont l'ironie est centré sur Emma et ses rêves romantiques (Bal à la Vaubyessard)

Exemple : Emma écoutait de son oreille une conversation pleine de mots qu'elle ne comprenait pas. L'ironie du narrateur est bien présente ici ; le groupe « pleine de mots » qualifie la conversation dont elle est témoin, mais elle lui échappe complètement elle n'en perçoit pas le sens.

On interprète ça par le fait qu'Emma n'est pas à sa place ici.

 

Aussi on réalise que tout les sens d'Emma sont en éveil dans ce bal (l’ouïe, le goût la vue..), et donc qu'elle veut profiter au maximum de ce moment qu'elle veut rendre inoubliable.

Ainsi, ce moment a une valeur symbolique pour Emma, moment duquel elle semble exclue.

 

Ce n'est que l'un des nombreux passages ironique du roman, celui ci a pour but de démontrer l'ironie discrète de Flaubert.

 

B) L'ironie impitoyable de Flaubert

 

Même avec une ironie plutôt discrète, ses effets n'en sont pas moins efficaces. Flaubert, à travers de nombreux personnages nuls ou immoraux ( Rodolphe lors des Comices), a effectué une critique féroce du bourgeois.

 

 

 

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