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Jean-Claude Carrière et La controverse de Valladolid

Publié le 12/09/2006

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En 1992 Jean-Claude Carrière écrit La controverse de Valladolid en l’honneur du 500e anniversaire de la découverte des Amériques par Christophe Colomb en 1492 qui fut une découverte importante aux yeux du monde. Dès la découverte, les Espagnols conquièrent des territoires le plus souvent avec l'aide des tribus indiennes en révolte contre la tribu dominante qui les a réduites en esclavage. Plus tard les Conquistador s’empare des terre indigènes et les population autochtone sont réduit au travaux forces dans des encomiendas. Dès le début du 16eme siècle des voix se font entendre et proteste contre l’esclavage des indigène comme Antonio Montesinos qui dénonce les injustice dont il a été témoin. C’est alors que Las Casas ancien encomiendero s’engage contre le système et defent les indiens il d’ailleurs nomme défenseur des indiens en 1516. En 1520, Charles Quint lui concède Cumaná sur le territoire vénézuélien pour mettre en pratique ses théories de colonisation pacifique par des paysans et des missionnaires. Mais pendant une absence de Bartolomé de Las Casas, les Indiens en profitent pour tuer plusieurs colons. Se sentant coupable il se retire pendant 16 ans et devient Dominicain. Entre temps le pape Paule III defent lui aussi les Indiens et réclame la condanation de l’esclavage. Charles Quint après avoir abolit l’esclavage les met sous la protection de la couronne et décide de ne plus attribuer de nouvelle encomiendas, ce qui provoquas soulèvement des encomienderos et la mort du Vice-roi du Pérou. Juan Ginés de Sepúlveda ce basant sur Aristote écrit le livre « Des causes d'une Juste Guerre Contre les Indiens « livre censurer par la couronne d’Espagne où il défend la conquête institutionnelle comme une nécessité et un devoir. Las Casa offenser réplique en publiant « Trente propositions juridiques «. Charles Quint suspend la colonisation et ordonne le débat de Valladolid sur la légitimité de la conquête institutionnelle. Jean-Claude Carrière Jean-Claude Carrière est un écrivain, scénariste, parolier, metteur en scène, occasionnellement acteur, français né le 17 septembre 1931 à Colombières-sur-Orb dans l'Hérault. Il est née dans une famille de viticulteur et est admit a l’école normal supérieur, après avoir eu sa licence en lettre et une maîtrise d’histoire il se dédia a l’écriture et au dessin en 1957 il écrivit sont premier roman « Lézard « , plus tard il poursuit sa carrière de dramaturge et adaptateur. Apres plusieurs scénarios il reçus le césar du meilleurs scénario en 1983. Ecrivain scénariste mais aussi réalisateur, Jean-Claude Carrière travaille souvent sur des adaptation littéraire et rencontre un succès critique et publique. La controverse de Valladolid est un roman publié en 1992 par Jean-Claude Carrière, le roman relate la controverse de Valladolid organisé par Charles Quint. Jean-Claude Carrière met en scène un dialogue argumentatif pour nous expliquer la controverse alors qu’il n’y a jamais eu de confrontation directe, il s’est basé sur les échanges de lettre de Bartolomé de Las Casas et de Juan Ginés de Sepúlveda. En 1550 le roi Charles Quint demande à ce qu'ait lieu une controverse à Valladolid pour décider du sort des indiens Amérique. Cette controverse oppose le prêtre dominicain espagnol Las Casas qui dénonce les pratiques des colons et Juan Ginés de Sepúlveda le philosophe qui argumente et explique en quoi ce peuple doit être colonisé.il y aura comme juge le légat du pape. Durant la controverse les deux présenterons leur argument pour convaincre le légat et ainsi résoudre cette affaire. Dans cette controverse, on peut voir deux type d’attitude très différente Sepúlveda est une personne qui reste calme, froide, et très organiser car il a une voie plate l.53 il ne fait que lire des feuillets l.7,8,52 ce qui démontre que sans ses feuillet il ne pourrait rien faire. De plus il utilise beaucoup de connecteur logique comme « d’abord « l.9 « en revanche « l.11 « car on voit bien que « l.45 « j’ajoute que « l.66 « par exemple « l.73 cela lui permet d’enchaîner ses idée et d’avoir un discoure fluide on peut donc aussi dire qu’il est habituer a ce genres de controverse. Aussi pour faire des affirmations évidentes il utilise le principe de vérité générale ce qui insiste a croire l’exemple donner comme de la ligne 14 a 17 ou bien l. 62 a 68. Comme je vous le disais il est très froid et ne s’énerve en aucun point d’ailleurs a la ligne 80 « Vous deviez ma pensée, répond le philosophe. «. On eut aussi remarqué que jamais il n’a perdu le fil de sa conversation malgré les interruptions spontanées de Las Casas. Las Casas en revanche et plus spontané il cherche à convaincre, et a une grande vivacité mais une encore plus grande véhémence. Nous pouvons ainsi voir dans cet extrait Las Casas faisant en permanence des interruptions, il est aussi très spontané, il s’exclame, il est indigner, il pose des questions rhétorique comme « que signifie le mot « grossier « « l.99par deux reprise il y a le verbe « s’écrit « l.20 l.75 et cela va même des fois a utiliser des expressions familière comme « ça « au lieu de ‘’cela’’ ou alors « on nous une vielle chanson « l.19. Aussi ont peut voire des marque d’implication c’est a dire le ‘’nous’’ l.26, 32, 33, 87, 91, 93 et le ‘’vous’’ l.80, 92, 95, 96, 99 ce qui peut nous démonter que Las Casa est implique dans ce qu’il dit .Si on regarde bien les paroles de Las Casas, on peut remarque qu’il joue avec la longueur des phrases elle sont courtes ou longues cela met en valeurs car sa donne un effet de dynamisme et de rythme Les deux personnages rivaux se défendent avec une grande force de conviction et une stratégie quasiment inverse pour débattre de leur idée, mais, dans l’extrait, on peut voir que Las Casas prend le dessus car sa force de conviction est très grande . Nous allons maintenant nous intéresser au réquisitoire de Sepúlveda et l’analyser, pour mieux connaître ses idée et sont discours Sepúlveda dans son discours utilise des arguments d’autorité en prenant comme référence un philosophe reconnu et ainsi fortifie sa thèse « Aristote « l.2 de plus il utilise des arguments basés sur ses pensés comme « esclave par nature « l.1 ou « âmes d’esclaves «l.17 et « esclave née « l.44. Puis il y a un glissement et fait une analogie péjorative des amérindiens « comme des bêtes « l.58, « semblable a des animaux« l.58 et « Sauvagerie « l.68. Ceci démontre une extrême infériorité des Indiens. Le réquisitoire et l’énumération d’accusation de Sepúlveda fait preuve d’aucune sympathie enverre les amérindiens, il énumère de preuve par induction : liste de fait culturelle. Sepúlveda, utilise dans ce discours des modalisateur dévalorisant voir péjoratif l.10, 58, 60, 66, 67, 70, 71, de plus il utilise deux hyperbole « idoles affreuses «l.61 ou bien « la plus haisable « l.62. Dans son argumentation, on peut aussi voir de adverbe l.58 mais aussi des verbes, répétitifs comme « ils ignorent « l.55, 69, 71, ou « ils se sont jetés « l.89 et des expression péjorative l.72, 90. Sepúlveda affirme au lieu d’argumenter l.54 de plus il utilise des arguments de mauvaise foi et fait par exemple de reproche sur l’ignorance comme « Ils ignorent l’usage du métal « l.55 et l.57 et ils les critique car il n’on pas les même coutume que les européen, « timide et lâches a la guerre « l.70, 71 ou bien pour échanger de l’or contre du verre casser « verre casse «l.71, 74 ou pour boire trop de vin « vin « l.89 Dans sont discours il fait parfois des habiles concession comme « habiles « l.11 ou « réel ingéniosité « l.15 Sepúlveda dans sont réquisitoire nous montre que les espagnoles sont très largement supérieurs au amérindiens comme dans la l.13 aussi pour lui savoir copier est un signe d’esclave l.15, et par dessus tout il considère la polygamie et le sacrifice humain comme un acte de sauvagerie l.62, 68 Apres avoir vue les attitude de Las Casa, de Sepúlveda et aussi sont réquisitoire nous allons donc nous intéresser au plaidoyer de Las Casa pour voir les différance. Las Casas a une grande force de conviction car il a une impétuosité assez grande du fait qu’il coupe la parole a Sepúlveda fréquemment, mais avec intelligence, de plus on peut voir que Las Casa est ouvert et démontre une grande diversité culturelle face au cardinale et un esprit innovateur dans ses arguments « argumentation nouvelle « l.37 « coutumes des peuples « l.38. Il utilise aussi une analogie avec César et les Gaulois pour démontrer une répétitivité dans le temps l.27, 29, donc il refusait l’acceptation de l’autre et cela continue l.26. Comme nous l’avons déjà dit, il utilise les analogies pour réfuter la thèse de Sepúlveda et essaye de relativiser les choses, ce qui nous conduit a l’acceptation de la différance « parce qu’une nourriture est différente de la nôtre, doit-on la trouver répugnante « l.83, 84. Il utilise aussi des parallélismes pour démontre des différance qui en réalité se ressemblent l.85, 88. Las Casas fait aussi beaucoup de question rhétorique ce qui permet d’affirmer tout en laissant réfléchir l’autre « Et pourquoi juger-vous leur nourriture détestable ? «l.81il y en a aussi l.92, 96, 99. On peut aussi voir qu’il met les Indiens en valeurs l.93, 95 tandis qu’il dévalorise les Espagnols en utilisant des termes péjoratifs comme a la ligne 31 a 35 « détruisons «l.34 ou de la ligne 76 a 78 il dit qu’il ont une soif de l’or ou qu’il les ont insister a boire du vin. Las Casa est intelligent dans sa réfutation et accepte l’autre ce qui nous fait penser a de l’ethnologie car il utilise des notions modernes et il est ouvert a l’autre et près à l’accepter tel qu’il est. On peut remarque que ses idées viennent de l’humanisme. Las Casa reprend le dessus face a Sepúlveda grâce à ses idées nouvelles et a son type d’argumentation. On peut d’ailleurs voir que le légat du pape laisse parler Las Casas alors qu’il coupe Sepúlveda en plein milieu de son discours, chose qui est incoerante a l’époque. Nous pouvons aussi observer que les idée de Las Casas sont du mouvement de la renaissance et de l’humanisme tandis que Sepúlveda est un obscurantiste avec une vision médiévale et ethnocentriste du nouveaux monde. À la fin de la controverse, le verdict ne sera pas très satisfaisant et n’ira pas ver les droits de l’homme comme espérer, en effet les Indiens ont une âme et ne mérite pas l’esclavage. Mais pour éviter aux colons de trop souffrir el légat encourage l’utilisation des Africains comme esclave qui sont considérés moins humain que les indiens. Las Casas proteste, mais se voit signifier que ce débat n'est pas à l'ordre du jour. Pour Las Casas et Sépulvéda, il s'agit d'une défaite mutuelle. Jean-Claude Carrière n’est pas le seul a avoir écrit sur ce sujet on peut aussi voir que Claude Levi-Strauss, considérer comme le plus grand ethnologue jusqu’a aujourd’hui, a écrit Race et Histoire en 1952 ou bien Todorov qui écrit, La conquête de l’Amérique en 1982, et qui dénonce la non acceptation de l’autre

« réquisitoire et l'énumération d'accusation de Sepúlveda fait preuve d'aucune sympathie enverre les amérindiens, il énumère depreuve par induction : liste de fait culturelle.Sepúlveda, utilise dans ce discours des modalisateur dévalorisant voir péjoratifl.10, 58, 60, 66, 67, 70, 71, de plus il utilise deux hyperbole « idoles affreuses »l.61 ou bien « la plus haisable » l.62.

Dans sonargumentation, on peut aussi voir de adverbe l.58 mais aussi des verbes, répétitifs comme « ils ignorent » l.55, 69, 71, ou « ils sesont jetés » l.89 et des expression péjorative l.72, 90.

Sepúlveda affirme au lieu d'argumenter l.54 de plus il utilise des argumentsde mauvaise foi et fait par exemple de reproche sur l'ignorance comme « Ils ignorent l'usage du métal » l.55 et l.57 et ils lescritique car il n'on pas les même coutume que les européen, « timide et lâches a la guerre » l.70, 71 ou bien pour échanger de l'orcontre du verre casser « verre casse »l.71, 74 ou pour boire trop de vin « vin » l.89Dans sont discours il fait parfois des habiles concession comme « habiles » l.11 ou « réel ingéniosité » l.15Sepúlveda dans sont réquisitoire nous montre que les espagnoles sont très largement supérieurs au amérindiens comme dans lal.13 aussi pour lui savoir copier est un signe d'esclave l.15, et par dessus tout il considère la polygamie et le sacrifice humaincomme un acte de sauvagerie l.62, 68Apres avoir vue les attitude de Las Casa, de Sepúlveda et aussi sont réquisitoire nous allons donc nous intéresser au plaidoyer deLas Casa pour voir les différance. Las Casas a une grande force de conviction car il a une impétuosité assez grande du fait qu'il coupe la parole a Sepúlvedafréquemment, mais avec intelligence, de plus on peut voir que Las Casa est ouvert et démontre une grande diversité culturelleface au cardinale et un esprit innovateur dans ses arguments « argumentation nouvelle » l.37 « coutumes des peuples » l.38.

Ilutilise aussi une analogie avec César et les Gaulois pour démontrer une répétitivité dans le temps l.27, 29, donc il refusaitl'acceptation de l'autre et cela continue l.26.

Comme nous l'avons déjà dit, il utilise les analogies pour réfuter la thèse deSepúlveda et essaye de relativiser les choses, ce qui nous conduit a l'acceptation de la différance « parce qu'une nourriture estdifférente de la nôtre, doit-on la trouver répugnante » l.83, 84.

Il utilise aussi des parallélismes pour démontre des différance quien réalité se ressemblent l.85, 88.

Las Casas fait aussi beaucoup de question rhétorique ce qui permet d'affirmer tout en laissantréfléchir l'autre « Et pourquoi juger-vous leur nourriture détestable ? »l.81il y en a aussi l.92, 96, 99.

On peut aussi voir qu'il metles Indiens en valeurs l.93, 95 tandis qu'il dévalorise les Espagnols en utilisant des termes péjoratifs comme a la ligne 31 a 35 «détruisons »l.34 ou de la ligne 76 a 78 il dit qu'il ont une soif de l'or ou qu'il les ont insister a boire du vin.Las Casa est intelligent dans sa réfutation et accepte l'autre ce qui nous fait penser a de l'ethnologie car il utilise des notionsmodernes et il est ouvert a l'autre et près à l'accepter tel qu'il est.

On peut remarque que ses idées viennent de l'humanisme. Las Casa reprend le dessus face a Sepúlveda grâce à ses idées nouvelles et a son type d'argumentation.

On peut d'ailleurs voirque le légat du pape laisse parler Las Casas alors qu'il coupe Sepúlveda en plein milieu de son discours, chose qui est incoerantea l'époque.

Nous pouvons aussi observer que les idée de Las Casas sont du mouvement de la renaissance et de l'humanismetandis que Sepúlveda est un obscurantiste avec une vision médiévale et ethnocentriste du nouveaux monde.

À la fin de lacontroverse, le verdict ne sera pas très satisfaisant et n'ira pas ver les droits de l'homme comme espérer, en effet les Indiens ontune âme et ne mérite pas l'esclavage.

Mais pour éviter aux colons de trop souffrir el légat encourage l'utilisation des Africainscomme esclave qui sont considérés moins humain que les indiens.

Las Casas proteste, mais se voit signifier que ce débat n'est pasà l'ordre du jour.

Pour Las Casas et Sépulvéda, il s'agit d'une défaite mutuelle.Jean-Claude Carrière n'est pas le seul a avoir écrit sur ce sujet on peut aussi voir que Claude Levi-Strauss, considérer comme leplus grand ethnologue jusqu'a aujourd'hui, a écrit Race et Histoire en 1952 ou bien Todorov qui écrit, La conquête de l'Amériqueen 1982, et qui dénonce la non acceptation de l'autre. »

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