La minceur

J. Baudrillard un sociologue aborde la question du corps dans le cadre de la société de consommation. D'après lui après à un long siècle de puritanisme le « corps hypostasié est devenu le mythe directeur d'une étique de la consommation « . Le corps est perçut comme un capital que l’on doit gérer ; c'est un moyen d'expression pour son statut social. Le corps s’affiche aussi au travers de « fétiche « porteur d’un message tourné vers l’extérieurs : « de l’hygiène au maquillage, en passant par le bronzage, le sport et les multiples libérations de la mode, ca redécouverte passe d’abord par les objets. «. Support de narcissisme, objet de prestige, le corps doit se plier a des pratiques de consommation, de manière au final à répondre a des impératifs valorisés tel que la minceur ou la forme. «   Le corps est aujourd'hui considéré comme un objets de narcissisme et de prestige social. Il suscite a lui seul un ensemble de pratique de consommation qui répondes a des obligations prescrit par la société comme « la ligne «, «  la forme « et « l'orgasme «.   Quelques lignes pour dire que dans la société de consommation chaque individus recherches la satisfaction maximale: il recherche donc la solution qui lui convient le mieux pour mincir. Le marché exploite donc cela et propose une multitude de biens et servies pour répondre à cette demande toujours plus croissant. C'est pourquoi aujourd'hui c'est un marché très vaste accessible à différents niveaux.