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La Moralité Chez Un Fils De Guy De Maupassant

Publié le 10/01/2011

Extrait du document

maupassant

1ère partie : Comment peut-on dire que l’Académicien démontre des traits d’un caractère moral?

A.    La moralité est fondée sur le principe du bien et du mal.  Alors, bien que l’Académicien ait un certain niveau de pouvoir dans la societé, on peut supposer qu’il a de bons principes.  En effet, il a une bonne réputation et il est intruit, «[...]échangeant des pensées, non pas sur des Idées, mais sur des hommes [...]primant toujours la Raison« (p.44)

B.     Quand son ami était malad, l’Académicien passait du temps avec lui. On peut dire, que l’Académicien suit des principes moraux en aidant son ami et en lui tenant compangnie.

C.     Il a démontré l’anxieté face à la possibilité d’être le père du fils de la femme morte: «J’eus une sorte de frisson désagréable, un de ces effleurements pénibles qui nous touchent le coeur« (p.46)  En dépit du fait qu’un frisson est seulement une sensation et pas d’un sentiment émotif, on peut argumenter que ce sort de disbalance moral épouvé par l’Académicien est une réaction physique liée à la faute ou à la honte de l’homme en association avec les principes moraux.

D.    Encore, l’Académicien exprime l’inquiétude à propos du bien-être de son fils, «je m’interessais à ce pauvre être si abondonné de tous et privé de tout, et que je voulais faire quelque chose pour lui« (p.47).

2e partie : Qui sont des actions de l’Académicien qui montre ses pensées ou idées immorales?

A.    Son ami, le Sénateur lui a dit : « s’il te fallait faire le compte de tes enfants, tu serais bigrement embarrassé « (p.44).  Alors, on peut supposer que les deux hommes avaient eu beaucoup d’expriences avec des femme et qu’ils peuvent avoir d’enfants inconnus.

B.     Quand l’Académicien avait une rancontre avec la servante, ses actions peuvent être décrites comme irrationnelles et imprévisibles. Il a dit : «le désir de la posséder m’envahit« (p.45).  Encore, il décrit ses actions comme : «brusquement, sans réféchir à ce que je faisais, plutôt pas plaisanterie qu’autrement, je la saisis à la plaine taille, et avant qu’elle fût revenue de sa stupeur, je l’avais jetée et enfermée chez moi« p.45; «moi l’attaquant, elle résistant« p.46; et, «je la pris brutalement, par terre, sur la pavé« p.46.

C.     Il n’avait jamais pris la résponsabilité pour sa rancontre avec le mère de son fils – il n’a jamais dit à personne qu’il était le père.  Il avait le chance de emporter son fils, mais le fils n’avait pas d’une éducation ou d’un chance d’avoir une bonne vie.  Alors, l’Académicien est parti (p.48) et il conclut son histoire en disant, «Je n’ai même jamais touché sa main sordide« (p.48).

3e partie : Est-ce que l’Académicien manifeste une réaction humaine et morale à son action irrationnelle?

A.    Avant de commencer l’histoire, l’Académicien dit : «C’est pout moi un remords incessant, plus que cela, c’est un doute continuel, une inapaisable incertitude qui, parfois, me torture horriblement« (p.45).  On peut voir qu’il se culpablise par rapport à la situation qu’il a créé avec la femme morte et son fils.

B.     Il voulait parler avec son fils apès avoir eu la méfiance d’être le père de l’homme avec le père «inconnu« : «Je résolus de parler à cet homme et de connaître exactement la date de sa naissance« (p.47).  Et quand il a découvert qu’il est le père, il avait une réaction humaine, «mon cœur se mit à battre à coups pressés [...] je me sentais suffoué« (p.47).

C.     Il avait des instincts d’aider à son fils : «j’ai essayé de lui rendre la vie moins pénible« (p.48).

D.    Comme un parent, il regarde son fils et il sent «d’intolérables envies de l’embrasser« (p.48)

 

Intro :

-p.453 : La morale est : l’ensemble plus our mois systématisé des déterminations idéales, règles ou fins, que le moi, considéré comme source absolue, sinon totale, de l>’avenir, doit par son action actualiser dans l.existence pour qu’elle atteigne à plus de valeur.

-P.453 : morale : Ensemble des normes de conduite tenues pour absolument et universellement valables

-p.454 : la moralité : caractère de ce qui est moral au sens, c’est-à-dire qui est ou peut être qualifié bon ou mauvais. La moralité ainsi entendue peut être négative (actes condamnables) aussi bien que positive (actes louables).

-p.454 : la caractéristique de la moralité, c’est d’être une invention.  Le vie morale suppose un effort toujours renouvlé d’intelligence et de sympathie par lequel nous nous mettons en face chaque conflit particulier pour le dénouer.

-p.454 : la plus haute moralité ne consiste pas dans l’obéissance à une loi, mais dans la union de personnes : elle est communion parfaite, amitié des hommes entre eux et avec Dieu.

Conclusion :

Bib :

MAUPASSANT, Guy de. Un Fils, Gallimard, Contes et nouvelles, 1974.

FOULQUIÉ,  Paul. Dictionnaire de la langue philosophique, Paris, Presses Universitaires de France, 1962.

 

 

 

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« Conclusion : Bib : MAUPASSANT, Guy de.

Un Fils , Gallimard, Contes et nouvelles, 1974. FOULQUIÉ, Paul.

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