Le Dormeur Du Val
Publié le 19/09/2010
Extrait du document
L’Explication de Texte
Arthur Rimbaud a écrit « Le Dormeur Du Val «, une poésie choquante de son recueil qui s’appelle Poésie. Il a écrit ce poème au dix-neuvième siècle, spécifiquement en 1870. Le neuvième siècle était un moment de guerre en France. Cette époque a soulevé beaucoup d’inquiétudes à propos de si la guerre était nécessaire. Pour la plupart, ses poésies étaient sombre et déprimé pendant cette période de sa vie. « Le Dormeur Du Val «, il s’agit d’un soldat couché dans l’herbe. La nature est personnifiée comme étant très maternelle tandis que le soldat est mort à sa charge. La poésie montre le désespoir de la guerre et les sentiments que peuvent avoir surgi d'un tel temps.
L’auteur utilise des mots et des phrases décrire la nature, comme « Nature, berce-le chaudement « (11). Ce vers montre que la nature est maternelle et elle soigne le jeune soldat. Il dort beaucoup dans tout ce poème. « Il a froid « (11) ainsi sa mère est là pour le soulager chaudement. Aussi, au troisième strophe le soldat « sourirait comme un enfant malade « (10) donc ce poème l’illustre comme un enfant qui souligne le rôle de la nature en tant qu’une mère.
À travers de ce poème, un élément important du texte, c’est le contraste entre la nature et le soldat. L’auteur décrit la nature comme très vive et animée. Il montre que la nature est très coloré. « C’est un trou de verdure, où chante une rivière « (1). Il fait la rivière venir vivant tandis que « un petit val qui mousse de rayons. « (4) L’auteur se réfère aux couleurs bleues et vertes beaucoup de fois. Cependant, quand il parle au sujet du jeune soldat, il utilise les mots comme « pâle « (8) et « rouges « (14) donc il montre un grande contraste entre la nature et le soldat. Ceci affiche que le soldat est une image sombre, probablement à cause des sentiments mitigés au sujet de la guerre.
L’histoire finit avec la conclusion de l'état du soldat. Bien que l’auteur a dit que le soldat « fait un somme « (10), il a dit qu’il « dort « (7, 9, 13) trois fois. L’auteur répète ce mot pour instiller dans le lecteur que le soldat est en fait inactif et sans vie. Il évoque ceci en raison de ses sentiments que le soldat devrait dormir et pas un corps sans vie se allongeant dans son « lit vert « (8) donc devenant un lit de mort. Quand le soldat « sourirait comme un enfant malade « (10), le lecteur est rassuré que quelque chose a tort avec le soldat et provoque la pensée que peut-être il ne dort pas après tous. À la fin du poème, Rimbaud a dit « Il a deux trous rouges au côté droit. « (14) Contre de la nature, on découvre que le soldat est mort.
Cette poésie illustre le sens de la tragédie, la vie et la mort. Rimbaud essaye de tromper le lecteur dans toute la poésie pour qu’il que pense le soldat dort tandis que la guerre peut tordre l’idée qui est correct pour prendre une vie pour une bonne cause. Le contraste entre le enjouement de la nature et la monotonie du soldat valide l'absurdité de la guerre. En vérité, la guerre évite le fait que la mort d'un jeune soldat est erronée, immorale et injuste.
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