Lors de l’époque des lumières, un écrivain et philosophe qui occupe une place spécifique dans les profonds souvenirs des français, a marqué le XVIIIe siècle. Voltaire, a écrit un conte philosophique qui est l’un des plus grand succès littéraire. L’histoire ce déroule en Westphalie, au château de Thunder-ten-tronckh. Candide, le personnage principal était décrit, au début, comme un simple idiot au jugement assez droit. Tout au long de l’histoire, par contre, on le voit évoluer. Pangloss est aussi l’un des personnages du conte Candide ou l’optimisme, qui est une personne fictive qui n’évoluera jamais contrairement à Candide. Dans ce conte, Voltaire dénonce plusieurs propos : l’optimisme, l’intolérance et l’injustice par exemple. L’extrait dont nous ferons l’analyse porte sur l’ironie du thème de la liberté. En second lieu, nous parlerons de l’opposition au classicisme concernant la liberté, en tenant compte de l’opposition aux valeurs des lumières.
Tout d’abord, nous savons qu’à l’époque des lumières on exprime une volonté d’éclairer l’esprit des gens comme l’égalité et la fraternité. Mais dans ce conte philosophique on y retrouve de l’ironie face à celle-ci. Entre autre, l’ironie de la liberté fait couramment apparition dans le conte de Voltaire. C’est donc par ceci que voltaire défend la valeur de la liberté, car il met en scène sa privation comme dans l’extrait suivant : «comment y retourner, dit candide, et ou aller ? Si je vais dans mon pays, les bulgares et les Abares y égorgent tout ; si je retourne en Portugal, j'y suis brulé : si nous restons dans ce pays-ci, nous risquons a tout moment d'être mis en broche«. Donc comme nous pouvons constater dans cet extrait, l’ironie est présentée comme une difficulté. Candide ne sait plus ou s’établir, il n’est point libre de choisir le pays dont il veut aller. Voltaire teint l’ironie de la liberté par l’incapacité de Candide à voyager sans problème. C’est donc la qu’on peut remarquer que les valeurs des lumières ne sont point exprimées dans ce conte.
Ensuite, dans le conte Candide ou l’optimisme on peut parler d’une certaine opposition face au classicisme qui rejoint les valeurs des lumières. A l’aide de son style ironique, on remarque que voltaire s’oppose au classicisme en démontrant le coté ridicule de ces règles excessives. En effet lorsqu’on parle de la liberté on aperçois que l’opposition de Voltaire par l’obstination de Pangloss est évidente. On peut comprendre l’obstination de ceux-ci lorsque Pangloss dit que le monde est parfait et que Candide, lui dit complètement le contraire. Afin d’incarner cette ironie, il explique que les malheurs ne seraient présent et qu’adhérer a l’optimisme reste une question de naïveté, comme le fait Pangloss tout au long de l’aventure. Donc, il est possible grâce a la droiture d’esprit de Pangloss d’établir l’opposition au classicisme face a son obstination.
Poursuivons maintenant avec l’optimisme, le plus beaux des mondes. Nous savons que l’optimisme doit être vue comme une doctrine religieuse. C’est à dire, que le monde soit sans malheur. Tout est parfait comme le dit si bien Leibniz, un philosophe allemand. Voyons premièrement ce que Voltaire en pense. Ensuite nous parlerons de la tournure de l’histoire par rapport à Cunégonde et l’optimisme.
Alors, nous savons que Candide est naïf au début de l’histoire mais qu’il évolue sans cesse. Pangloss lui pense toujours la même chose, jamais il ne changerais d’opinion, il appuis parfaitement Leibniz en disant que le monde est parfait. Souvenons-nous lorsque Pangloss et Candide ce sont retrouver après de longue histoire qui les ont séparer. On peut lire que Pangloss après tout les malheurs qui lui sont arrivés il est encore en parfaite accord avec Leibniz, comme le démontre si bien cet extrait : «Eh bien ! mon cher Pangloss, lui dit Candide, quand vous avez été pendu, disséqué, roué de coups, et que vous avez ramé au galères, avez-vous toujours pensé que tout allait le mieux du monde ?- Je suis toujours de mon premier sentiment, répondit Pangloss ; car enfin je suis philosophe : il ne me convient pas de me dédire […]« Finalement, nous voyons très bien que voltaire rit de l’optimisme et de Leibniz.
Enfin, tout au long de l’histoire nous savons que le seul but ultime de Candide est de retrouve sa perle d’or, Cunégonde. Au tout début de l’histoire, il nous mentionne que Cunégonde est la plus belle fille sur terre, une perle rare. Pour lui, c’est sur que Cunégonde est la fille de ses rêves et il n’arrêtera jamais de la chercher. La seule motivation qui le pousse à persister de la retrouver est bien sur le fait qu’elle soit d’une splendeur exceptionnelle à ses yeux. Plus que le temps avance plus qu’il s’ennuie et qu’il veut la serer dans ces bras. Lorsque nous arrivons vers la fin du livre, on s’aperçoit que quelque chose a changé. Nous pouvons remarquer que Candide retrouve enfin sa bien aimé qui voulais épouser depuis le premier regard, mais il remarque qu’elle est rendue d’une laideur hideuse. Voyons voir comment il l’a décrit : «Le baron pâlit à cette vue. Le tendre amant Candide, en voyant sa belle Cunégonde rembrunie, les yeux éraillés, la gorge sèche, les joues ridées, les bras rouges et écaillés, recula trois pas, saisi d’horreur, et avança ensuite par bon procédé.« Donc, après avoir remarquer la laideur de sa bien aimée Candide n’avait plus aucun désir d’épouser cette dernière. C’est donc la qu’on peut remarqué, qu’au début toute étais parfait, comme le dit si bien la définition de l’optimisme, et que tout est laid et malheureux vers la fin. C’est donc encore une fois une façon de croire que l’optimisme est une raison ridicule de voir les choses.
En guise de conclusion, nous savons que dans les années lumière la volonté était en autre d’éclaircir l’esprit des gens. La liberté fais partie d’une valeur primaire de ce courant philosophique. Et l’optimisme est bien sur une doctrine religieuse. Après avoir analyser ce conte nous remarquons principalement que Voltaire nous fait part de l’ironie de celles-ci. Nous pouvons aussi remarquer l’opposition au classicisme lorsque Candide s’obstine avec Pangloss durant sont séjour à travers plusieurs pays. Bien sur il y a aussi l’optimisme a l’égard de Voltaire et Leibniz. Croyez-vous que le progrès est présenté de façon ironique dans ce conte ? Croyez-vous qu’encore aujourd’hui les gens croient en l’optimisme ?
