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Les fées charles perrault

Publié le 27/02/2008

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perrault

Lecture Analytique 4  Les Fées, Charles Perrault  A l’origine des faits c’est la nièce de Charles Perrault, Mlles de LHéritier qui semblerait avoir écrit ces contes et qui serait à l’idée des Fées dans Enchantement de l’éloquence ou les effets de la douceur.  Introduction :  Les contes sont une forme d’apologue et offre un récit assez long, assez détaillée qui mette en jeu des situations racontées de manière plus ou moins précise, bien qu’elles entre dans des schémas déterminés.  Ce texte est justement extrais des contes de Perrault parut en 1685. Dans sa préface l’auteur raconte que leur vocation est avant tout morale et didactique et qu’il est important de mettre en relation d’une part le vice et le châtiment et de l’autre la vertu et la récompense. Ainsi les Fées met en scène deux soeur aux caractères opposés confronter toutes les deux à une même épreuve par les fées et dont le résultat sera la conséquence de leur comportement respectif.  Ce récit en prose s’achève par deux moralités en vers qui permette de donner la dimension didactique de l’histoire.  Comment un récit merveilleux peut-il être porteur malgré sont manque de réalisme d’un enseignement familiale, sociale et morale ?  Il conviendra donc de déchiffrer des situations particulières et de les généraliser.      On observe une similitude entre les deux épisodes cause de la rencontre de chaque fille avec une fée.  Dans le premier paragraphe, il y a une inégalité de traitement entres les deux filles (l.6)  Dans le second paragraphe, la cadette rencontre la fée. L’élément perturbateur « un jour »l12à31 « Diamants » l.31 à 58 : 2ème épisode.  Résolution et situation finale : la fuite de la cadette et sa rencontre avec le fils du roi et l’ainée meurt de solitude.  Le narrateur ne s’arrête pas sur les détails pas de descritop, détaillée des lieux ni des personnages ni des objets. Les informations importantes sont celles sur les relation entre les personneges. On ne connait ni le milieu ni les raisons de la disparition du pére  il n’est plus là pour défendre sa cadette.  Les seuls lieux suggérer sont la fontaine, la distace : ½ lieux.  L’apparence de la fée est à peine évoquée (l.13 « pauvre femme ») l.19 « une dame » l.32, l.45-46.  Le conte rapporte le sucession des actions avec les éléments essentiles à la compréhension mais sans donner ce qui pouvait individualiser l’image des personnages. Le schèma et les grandes lignes comptent plus que les détails.       Les effets de récurence et d’inversion et leurs fonctions    Nous pouvons observer de reprises, il y a des similitudes dans la situation familiale. Chaques filles à un rôle particulier. Dans les rencontrent et aussi dans les métamorphoses, dans les réactions de leurs méres/. Dans les deux destins a toutes ces similitudes ce superpose des effets d’inversion et d’opposition.  On a une première histoire :    Les oppositions de caractéres : l’ainée et la mére et désagrable et orgeuillieuse et la cadette « douceur et honnêtetée » (l.3 et 5)       de sentiments : cette mére était folle de sa fille (l.8) et avait une inversion oncroyable de sa cadette.      -des rencontrent :  ° la cadette rencontre une pauvre femme, elle lui donne à boire dans un cruche sur le côté le plus beau de la fontaine, elle est aimable et respectueuse, elle reçoit en échange une récompense l.21-22 : à chaque parole sortira de sa bouche une fleur ou une pierre précieuse. Par la suite, elle fuit et se marie avec le prince l. 68 à 71.  La cadette obtient une réussite finale.  ° L’ainée rencontre une dame magnifique pris un flacon d’argent, elle fait preuve d’arrogance et d’insolence l.47. Pour la punir, la fée fait qu’à chaque parole l’ainée sortira un serpenr ou un crapaud de sa bouche.  L’ainée est rejetée par sa mére et va finir sa vie seul.  Dans les deux récits tout s’oppose. Il y a une base commune que les oppositions prennent toutes leurs formes. Les messages didactique est renforcée par cette forme de preuve a contrario. La double intervention ecplicative du narrateur, vient d’expliciter la notion de don élements merveilleux et inexplicable di conte par la présence d’une fée dont le rôle et les intentions sont clairement précises.       La schématisation des personnages.    Les personnages n’ont pas de nom sauf « Fauchon » l .32 . Et ils ne sont indentifiable que par des éléemtns familiaux et sociaux. La cadette qui est meilleur et délaisée, c’est une situation matriarcat, la mère va favoriser l’ainé et la caddette est réduit à l’esclavage. Les personnages sont caractériser par leurs fonctions = la mère abusive, la fille gatées, et la fille délaisée.  Ce cadre favorable a une réflexion moral car il chaque. Les deux rencontrent inversés agissent alors comme une mise à l’épreuve.       On montre la fille delaissée.    Elle est généreuse avec les gens qui ont de la peine alors que sont statue lui-même est peu enviabe. Sa générosité naturelle transpare dans le conte par ses gestes et ces paroles douce elle est récompensés par la fée qui detient la preuve d’un naturel bon. Le narrateur prend la peine de donner des indications.       L’ainée est mauvaise     Elle a pourtant était prévenue par sa mére de l’interêt d’être aimable (l.33-34) et pourtant reste odieuse (l.47 à 49) qu’en elle voit une bonne femme. Le changememtn de la fée à pour objectif de ne pas mettre l’ainée dans la même situation mais de donner l’occasion de s’adapter.       La récompense et la punition    Tous cela restent dans le domaine du merveilleux (l.22 à l.56 à 58) et sont conventionnelle dans le sens où les bons sont recompenser et les méchants puni. Il y a un prolongement à ce conte il s’agit du mariage et de la mort. Le lecteur peut alors déduire la leçon d’autand plus facilement que la situation est facilité par des situations stéréotypée. L’absence de précision et le contexte merveilleux sucite l’immagination et le lecteur se doit de combler les manques en fonctions de ces propres donnée culturel.       Les deux moralités    Elles sont distinctes du récit par l’espace, la typographie et leurs formes. Il s’agît d’un quatrain de trois octosyllabes et un alexandrin. On note également l’utilisation du présent de vérité générale.  1er morale : fait directemetn référence au conte, par la reprise du mot « diamants » et met en paralléle l’efficacité des paroles aimable et celle de l’argent elle renvoit a paralléles des deux sœurs, la seconde agissant selon l’intérêt de la mére qui ne cherche que l’argent alors que la 1er n’a qu’à la « bouche que de douce paroleé. Elle oppose l’argent, élément concre à la force d’un discours aimable, élément pas monnayable.  2ème morale : Elle ne met pas en jeu directemetn l’argent, et elle est plus « morale » « honneteté » « soin » et « complaisance ». Tout acte généreux trouve sa récompense met de droit pas être fait dans cette objet.  Conclusion  Perrault dans la préface des courtes vanter les mérite de ces textes en affirmant que « partout la vertu y est récompenser et partout le vice y est puni » Ce presepte est bien respeter ou l’amabilité et la civiliré triomphe sur l’injustice et la méchanceté.  Cet enseignement moral passe par le caractéres exemplaires des personnages, et par des situations concretes. Quand aux fées qui représente la justice divine, qui met à l’épreuve et qui laisse à chacun une cdertaine latitude (un espace de reflexion) pour exercer son libre arbitre. Elle représente en son sen une conscience morale.

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