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Madagascar

Publié le 15/01/2013

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Indicateurs Démographiques Haut de la  page   Population (milliers), 2010, under 18 322163 Population (milliers), 2010, under 5 81596 Taux annuel d'accroissement démographique (%), '1970-1990 1.7 Taux annuel d'accroissement démographique (%), 1990-2010 0.8 Taux annuel d'accroissement démographique (%), 2010-2030 0.2 Taux brut de mortalité, 1970 9 Taux brut de mortalité, 1990 7 Taux brut de mortalité, 2010 7 Taux brut de natalité, 1970 36 Taux brut de natalité, 1990 21 Taux brut de natalité, 2010 12 Espérance de vie à la naissance, 1970 63 Espérance de vie à la naissance, 1990 69 Espérance de vie à la naissance, 2010 73 Taux global de fécondité, 2010 1.6 % de la population urbanisée, 2010 47 Taux annuel moyen d'accroissement de la population urbaine (%), 1970-1990 3.8 Taux annuel moyen d'accroissement de la population urbaine (%), 1990-2010 3.7 Taux annuel moyen d'accroissement de la population urbaine (%), 2010-2030 1.6 Indicateurs Économiques Haut de la  page   RNB par habitant (dollars É.-U.), dollars É.-U., 2010 4260 RNB par habitant (dollars É.-U.), PPA en dollars É.-U., 2010 7570 Taux annuel moyen de croissance du PIB (%), 1970-1990 6.6 Taux annuel moyen de croissance du PIB (%), 1990-2010 9.2 Taux annuel moyen d'inflation (%), 1990-2010 5 % de la population en dessous du seuil international de pauvreté, 1,25 dollar É.-U. par jour, 2000-2009* 16 % des dépenses du gouvernement central (2000-2009*) affectées à : Santé 0 % des dépenses du gouvernement central (2000-2009*) affectées à : Éducation 2 % des dépenses du gouvernement central (2000-2009*) affectées à : Défense 10 APD totale reçue en millions de dollars É.-U., 2009 1132 APD totale reçue en % du RNB du pays bénéficiaire, 2009 0 Service de la dette en % des exportations de biens et de services, 1990 10 Service de la dette en % des exportations de biens et de services, 2009 La Chine augmente le seuil de pauvreté de 92% En Chine, le seuil de pauvreté est passé de 1274 à 2300 yuans annuels ( de 149EUR à 268 EUR par an). De 26,88 millions en 2010, le nombre de personnes reconnues officiellement comme "pauvres", et pouvant donc prétendre à une aide gouvernementale, devrait désormais dépasser les 100 millions. La Chine est devenue une puissance écono-mique globale en s'appuyant sur une forte inser-tion régionale. Elle est le pivot d'une nouvelle division internationale du travail en Asie, qui en a fait la première puissance commerciale de la région et a donné un nouvel élan à l'intégration régionale. Les échanges intrarégionaux, en expansion rapide, sont fondés sur les complé-mentarités entre la Chine et les économies avan-cées (comme le Japon, Taïwan, la Corée du Sud) le long des chaînes de production, et notamment dans la filière électronique. Les échanges régio-naux se polarisent sur la Chine, pays d'assem-blage de composants importés des autres pays d'Asie. Devenue plateforme de production globale, la Chine concentre une part croissante des excé-dents commerciaux de l'Asie sur le reste du monde. L'économie du continent asiatique est la plus dynamique du monde, mais souffre d'une fra-gilité : elle est encore très dépendante des États-Unis et de l'Europe où se trouvent les débouchés pour les biens finals issus des circuits de produc-tion asiatiques. La Chine a renforcé l'intégration régionale mais n'a pas (encore ?) créé un moteur autonome de croissance pour la régione D'une manière générale, l'implantation de la communauté chinoise à Madagascar s'est déroulée en trois grandes vagues migratoires. La première marquant le début des relations entre les deux peuples, malgache et chinois remonte au temps du Général Gallieni où les immigrés chinois assuraient la main-d'oeuvre dans la construction des infrastructures routières. A cette première génération que le chercheur français Mathieu Pellerin appelle dans son essai  les « anciens chinois «, vient s'ajouter une nouvelle grosse vague chinoise au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale jusqu'aux années 60. Et c'est maintenant, à l'aube du nouveau millénaire que les ressortissants chinois, une tout autre génération de marchands et opérateurs économiques, commencent à s'intéresser à nouveau à Madagascar. Ces derniers ont réussi en l'espace de dix ans transformer le quartier de Behoririka en un genre de petit Chinatown. D'un coup, les rues et les boutiques tananariviennes se remplissent des articles électroménagers ou d'appareils informatiques et surtout d'effets vestimentaires « Made in China «.Mais, il faut reconnaître aussi que si ces relations commerciales ont connu une telle prospérité c'est grâce aussi aux Malgaches qui s'embarquent « en masse « pour faire du shopping du côté de Guangzhou rendu possible par la nouvelle destination offerte par Air Madagascar depuis 2007. Dans les relations sino-malgaches, la dernière décennie a  été également dominée par l'arrivée des grands investisseurs chinois dans le secteur minier, pour ne citer que la présence du consortium Wisco à Soalala. Ces trois grosses vagues d'immigrés chinois ont imposé également leurs empreintes dans les coutumes malgaches, notamment en gastronomie. Les « soupes chinoises « font effectivement partie de l'habitude alimentaire des Malgaches de nos jours, tout comme les mine sao à la malgache, inspiré du plat traditionnel chinois Mi Xao L'arrivée des chinois à madagascar : 1-en 1896 : l'arrivée des français à madagascar, sous le général Gallieni, les chinois sont expoités pour l'aménagement du territoire malgache. 2-en 1937 : Au lendemain de la seconde guerre mondiale 3-de nos jours : par l'ouverture de la chine au monde exterieur, des invertisseurs et entrepreneurs chinois s'intallent à madagascar. Intro :

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