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MARIVAUX, Le jeux de l'amour et du hasard : incipit

Publié le 11/09/2006

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1. Les didascalies    1.1 Le titre    1.1.1 Le titre de la pièce est assez flou. Il ne cite aucun personnage et aucun lieu. Cependant, en l’interprétant, on peut penser qu’il aborde le thème principal de la pièce : l’amour. Le mot « jeu « peut aussi laisser supposer qu’il s’agit d’une pièce s’inscrivant dans le registre comique. Le mot « hasard « peut indiquer une notion d’imprévu qui, en plus de renforcer le style comique de la pièce, serait alors liée au thème de l’amour ce, qui peut donc laisser penser que deux êtres vont se rencontrer par hasard.    1.1.2 Le texte théâtral apporte quelques informations sur le titre. Il confirme le fait que l’amour est un des grands thèmes de la pièce (=> mariage, « quoi, vous n’épouserez pas celui qu’il vous destine ? «). Le texte théâtral apporte des indications sur le mot « hasard « présent dans le titre. En effet, le père de Sylvia, monsieur Orgon souhaite marier cette dernière. Sylvia dresse un portrait très pessimiste du genre d’homme que son père lui réserve tandis que Lisette lui dresse un portrait assez mélioratif. Le mot « hasard « introduit donc le fait qu’on ne sait pas de quel genre d’homme il va s’agir, s’il se rapprochera de l’image qu’en fait Lisette ou du portrait qu’en dresse Sylvia. La fonction du mot « jeu « est aussi confirmée par les tonalités comiques de la première pièce. (Jurons de Lisette, situation, contraste entre le caractère des deux femmes,…)    1.2 La présentation des personnages    1.2.1 On reçoit très peu d’informations sur les personnages lors de leur présentation. On reçoit un peu de renseignements sur leurs fonctions : Lisette est une femme de chambre, Arlequin est le valet de Dorante. On peut aussi remarquer la présence d’un laquais et le fait que le mot « monsieur « accompagne le mot Oregon. On peut donc penser que la pièce s’inscrit dans un milieu très aisé, bourgeois voire noble. La présence d’un laquais permet aussi de situer la pièce dans une époque assez éloignée de la nôtre (18ème S.).    1.2.2 La hiérarchisation des personnages est faite selon leur classe sociale, du plus nobles au moins prestigieux. La présentation commence par monsieur Oregon et finit par le laquais.    1.3 Le décor    1.3.1 On ne sait pas si la scène se passe à l’intérieur ou à l’extérieur,( mais on peut supposer qu’elle à lieu dans une maison d’un gentilhomme de Paris.)    1.3.2 Le décor est réaliste. En effet, il se déroule dans une ville existante : Paris.    1.3.3 Le décor est très peu détaillé, on ne connait rien à part la ville où se déroule l’action, aucune autre indication n’est fournie dans les didascalies.    1.3.4 Les informations sur le décor en tant que tel ne permettent pas de situer la pièce dans le temps, mais la présence de certains personnages comme le laquais et l’aspect bourgeois que représente la présence de « monsieur Oregon « dans la présentation des personnages permet de situer l’action dans une époque assez éloignée de la nôtre, aux alentours du 18ème siècle.    1.3.5 Oui, le décor est un peu symbolique. Paris symbolise la ville où se côtoient la bourgeoisie et les classes plus populaires, comme en témoigne aussi la présentation des personnages qui nous indique que l’action de passe dans un milieu aisé avec une domesticité nombreuse.    1.3.6 Le texte théâtral n’y fait pas allusion.    1.3.7 Pas d’atmosphère particulière car pas plus d’indications si l’on se base sur les didascalies.    1.3.8 Pas d’indication concernant l’éclairage. La pièce a été écrite en 1730, un éclairage particulier n’était donc pas de mise lors des représentations.    1.3.9 Pas d’indication sur les bruitages.    1.3.10 Oui, il y a une relation entre les décors et les personnages comme dit plus haut. Paris est une ville qui symbolise le mélange (hétérogène) des classes sociales, on, peut donc faire un lien avec la présentation des personnages qui se compose de personnages aisé (bourgeois) et de leur domestiques (classe populaire).    1.3.11 Le décor ne joue pas un rôle important, il donne très peu d’indication. Le fait qu’il se passe à Paris peut être interprété et justifié (comme ci-dessus) mais ce n’est pas une information spécialement nécessaire. Cette indication sur le décor, qui est la seule que les didascalies fournissent, n’est pas essentielle, elle permet juste de situer l’action.    1.4 Les didascalies interstitielles     Il n’y en a pas    1.5 L’importance des didascalies    Les didascalies sont peu importantes, il y en a très peu. Elles apportent donc très peu d’informations et ne sont pas essentielles car la plupart des renseignements qu’elles apportent sont rappelés dans le texte théâtral, comme la fonction des personnages, leur milieu etc. Par conséquent, elles occupent clairement une place secondaire dans la pièce par rapport au texte « à dire «.    2. Les incipit    2.1 Sur quels personnages recevons-nous des informations ?    2.1.1 Les personnages que présent sur scène sont Sylvia et Lisette sa femme de chambre. Ce sont deux personnages socialement différents. Leur différence sociale est marquée par la situation d’énonciation : Lisette appelle Silvia " Madame ". Les jurons de la servante (" Pardi ! ", " Vertuchoux ! ") sont opposés aux paroles soutenues de Silvia. Il y a une certaine intimité, complicité entre les deux femmes. Cela est traduit par le passage au tutoiement et l’appel à la pitié fait par Silvia. Ces deux personnages sont les premiers présents sur scène car ils annoncent la problématique initiale de la pièce : Sylvia et Lisette s’oppose sur le thème du Mariage. En effet, le père de Sylvia a pour dessein de faire marier cette dernière. Cependant, Sylvia est assez méfiante et redoute la personne que sont père lui a choisi, et met en évidence sa suspicion par rapport au mariage. Lisette est en quelques sortes le porte parole de l’opinion commune alors que Silvia se sert du sujet du mariage pour revendiquer sa personnalité (noter par ex. la différence entre les pronoms " moi " et " on "). Lisette accuse donc Silvia de bizarrerie.    2.1.2 On nous parle de Monsieur Oregon, le père de Lisette. (« quel mal-ais-je fais de dire à Monsieur Orgon que vous étiez bien aise d’être mariée ? « ; « je ne m’ennuie pas d’être sa fille «). Lisette parle de l’homme que Sylvia est destinée à épouser, elle en dresse un portrait très mélioratif mais basé sur des rumeurs. Pour prouver son aversion pour les hommes et justifier sa méfiance par rapport au mariage, Sylvia évoque différentes personnes qu’elle juge comme blâmables : Ergaste, Léandre, Tersandre.    2.2 Quels types d’information avons-nous ?    2.2.1 On connait leur prénom : Lisette, Orgon (ou nom ?), Sylvia, Ergaste, Léandre, Tersandre.    2.2.2 Sylvia est en âge de se marier, elle doit donc être majeure. On peut estimer son âge entre 18 et 25 ans (XVIIIème S. ). Lisette qui est sa femme de chambre apparait comme étant une personne assez proche de Sylvia, ce qui peut nous laisser penser que son âge est assez proche de celui-ci de sa maitresse, d’autant plus que Lisette n’est pas non plus encore mariée. Orgon a une fille en âge de se marier, on peut donc penser que son âge tire vers la cinquantaine. D’après le portrait physique que dresse Lisette du mari préposé à Sylvia (« qu’il est bien fait, de bonne mine, …) on peut penser que Sylvia a elle aussi un physique avantageux pour se lier à un tel homme. (Union plus délicieuse ?). On ne reçoit pas d’information sur le physique de Lisette. Les autres personnages cité par Sylvia apparaissent comme jouant un rôle secondaire mais on reçoit quand même des informations sur eux car ils sont pris pour illustrer ses propos. Ergaste est un bel homme (‘physionomie si douce,…’) il a une femme et des enfants, on peut donc estimer son âge à la quarantaine, trentaine. Aucune information concernant le physique de L éandre apparait ni sur Thersandre. Ils sont tous les deux mariés, même âge qu’Ergaste environ. Leur âge doit être assez proche de celui de Sylvia puisqu’elle parait entretenir des relations amicales avec mais ils apparaissent plus vieux à cause de leur situation familiale.    2.2.3 Lisette est la femme de chambre de Sylvia, on peut le voir par la façon dont elle l’interpelle («Madame «,…) tandis que sa maitresse la tutoie. La fonction de Monsieur Oregon n’apparait pas clairement, mais comme on se trouve dans un milieu aisé et raffiné on peut supposer qu’il s’agit d’un gentilhomme de fonction assez importante. Ergaste possède aussi des domestiques, on peut dire qu’il s’agit aussi d’un bourgeois, Léandre possède un cabinet, on peut lui attribuer une fonction assez importante aussi, comme avocat ou médecin. Tersande appartient à ce même milieu (« j’arrive «, « on m’annonce «).    2.2.4 Sylvia apparait comme assez têtue, difficile, elle reste sur sa position par rapport au mariage malgré l’éloge que Lisette fait à celui qui va la marier. Lisette représente les avis populaire, elle a l’air assez optimiste, vite satisfaite (un mari c’est un mari) ce qui est probablement liée à sa condition sociale. Le fait qu’elle se base sur des rumeurs pour affirmer le portrait du keum de Sylvia peut laisser supposer que c’est une bavardeuse, cela renforce son appartenance à une classe sociale plus populaire que celle de Sylvia qui réfute ce genre de propos. On n’a pas beaucoup d’information sur Orgon par rapport son caractère, il a l’air d’aimer sa fille. Ergaste apparait comme contrefait, faux par rapport à l’image qu’il donne de lui comparée à celui qu’il est vraiment en famille. Léandre apparait comme quelqu’un d’assez jovial mais cet aspect rieur et plaisant contraste avec la froideur qu’il manifeste en famille. Tersandre lui est fourbe, il donne aussi une image de lui qu’il n’est pas. Ces trois derniers aspect du caractère donné comme exemple par Sylvia servent à justifier sa position par rapport aux hommes et au mariage.    2.2.5 On sait juste que Sylvia est la fille de Monsieur Orgon.    2.2.6 On n’évoque pas le passé dans la pièce.    2.2.7 Sylvia est Lisette entretienne une relation assez proche. Lisette est la femme de chambre de Sylvia. il y a une certaine intimité, complicité entre les deux femmes. Cela est traduit par le passage au tutoiement et l’appel à la pitié fait par Silvia. Le fait que les deux femmes s’opposent et utilisent des phrases assez fortes, par exemple lors de la troisième réplique : l’emploi de deux phrases exclamatives révèle un agacement mêlé de mépris, peut laisser supposer qu’elles sont assez proches que pour exprimer leur opinion sans trop de réserve.    2.2.8 Sylvia va devoir se marier avec homme dont elle ignore tout et dont la seule façon qu’elle a de se le représenter est les rumeurs dont lui faire part Lisette. C’est son destin. On peut cependant se demander si le portrait ce celui-ci se rapprochera plutôt de l’image pessimiste qu’en fait ou de l’image positive, voire parfaite qu’en dresse Lisette ? Le récit peut aussi laisser supposer que Lisette, qui est célibataire, se liera probablement à l’homme supposé être donné à Sylvia puisque celle-ci n’en veut pas.    2.2.9 Oui, ces informations sont très importantes. Les personnages donnent le ton de l’histoire et dressent la base de l’intrigue. La situation est directement introduite par ces deux personnages, qui en parlant, nous expose la situation dans laquelle se trouve Sylvia et qui est le départ du récit. Les deux personnages nous apportent aussi des informations sur le milieu dans lequel s’inscrit la pièce, tous les éléments qui favorisent la compréhension sont donnés, y compris l'intrigue, du mariage projeté. En quelques lignes le milieu social, le cadre, le ton…    Peu d’informations supplémentaires sont nécessaires. On peut se demander de quel portrait se rapprochera le plus de celui qu’en dresse Lisette ou Sylvia ?, Quelle sera la réaction de Sylvia quand elle le verra ? Vont-ils se marier ?    2.3 Le temps de l’histoire    2.3.1 On fait allusion au fait que Lisette à été dire à monsieur Orgon que sa fille était bien aise de se marier, alors que Sylvia n’est pas réellement enjouée. On fait donc allusion au futur dans le sens où un homme dont la personnalité n’est pas réellement connue va être présenté à Sylvia. On suppose donc la présence d’un mariage dans la suite de la pièce.    2.3.2 Lisette à été dire au père de Sylvia que cette dernière serait enjouée par un mariage. Son père va donc lui présenter un homme, mais elle est méfiante et redoute ce mariage. Elle n’a jamais été réellement enjouée par une union comme cela, c’est juste Lisette qui a été dire cela à son père en pensant avoir raison.    2.3.3 Sylvia n’a pas envie de se marier, mais Lisette, elle, est célibataire (« Vertuchoux, si je me marie jamais, ce superflu sera mon nécessaire «). On peut penser que Lisette va tomber amoureuse de l’homme qui va être présenté à Sylvia ou que Sylvia va se dérober à cette union et présenter Lisette à sa place. Cependant la différence de classe sociale pourra aussi apporter un certain dénouement au récit, puisque Lisette devra être déguisée en bourgeoise pour pouvoir répondre à un homme bourgeois lui aussi.    2.4 Le texte théâtral cherche-t-il à nous entrainer dans un univers vraisemblable ?    2.4.1 Oui car on peut observer plusieurs chose qui à cette époque s’inscrive dans la réalité. On n’observe aucun fait qui peut apparaitre comme fantastique ou hors de l’ordinaire. On nous rapproche de la réalité car le thème est quelque chose de commun : l’amour, le mariage, les classes sociales,...    2.5 Le genre de la pièce    Il s’agit d’une comédie, plusieurs éléments en témoignent. Premièrement le titre, ensuite les jurons utilisés par Lisette, l’opposition entre Lisette et Sylvia donnent un aspect humoristique à la scène. La scène est assez vivante (utilisation de phrases exclamatives) ce qui renforce aussi l’aspect comique. La tonalité comique est due à la situation, au contraste entre le caractère des deux femmes, au comique de mœurs, et au comique de mots (ex. : jurons et expressions de Lisette : " tout sera bon dans cet homme là ! " elle décrit l’homme voué à épouser Sylvia comme un objet alléchant, morceau de viande).    2.6 Le langage    2.6.1 Il est recherché quand c’est Sylvia qui parle puisqu’elle appartient à un milieu raffiné. Elle utilise des phrases bien tournée, elle s’exprime avec élégance même pour illustrer des avis plus marqués. Cela contraste quand c’est Lisette qui parle, sa classe sociale fait qu’elle parle de façon plus populaire, plus argotique. Elle utilise des jurons, parle de l’homme futur de Sylvia comme un morceau de viande etc. Cette opposition entre les deux façons de s’exprimer rend la scène plus vivante.    2.6.2 Il n’y a pas d’invention verbale (peut-être dans les jurons de Lisette ?)    2.6.3 Pas de poésie 2.6.4 pas de disfonctionnement de logique.

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« 1.3.9 Pas d'indication sur les bruitages. 1.3.10 Oui, il y a une relation entre les décors et les personnages comme dit plus haut.

Paris est une ville qui symbolise le mélange(hétérogène) des classes sociales, on, peut donc faire un lien avec la présentation des personnages qui se compose depersonnages aisé (bourgeois) et de leur domestiques (classe populaire). 1.3.11 Le décor ne joue pas un rôle important, il donne très peu d'indication.

Le fait qu'il se passe à Paris peut être interprété etjustifié (comme ci-dessus) mais ce n'est pas une information spécialement nécessaire.

Cette indication sur le décor, qui est la seuleque les didascalies fournissent, n'est pas essentielle, elle permet juste de situer l'action. 1.4 Les didascalies interstitielles Il n'y en a pas 1.5 L'importance des didascalies Les didascalies sont peu importantes, il y en a très peu.

Elles apportent donc très peu d'informations et ne sont pas essentiellescar la plupart des renseignements qu'elles apportent sont rappelés dans le texte théâtral, comme la fonction des personnages, leurmilieu etc.

Par conséquent, elles occupent clairement une place secondaire dans la pièce par rapport au texte « à dire ». 2.

Les incipit 2.1 Sur quels personnages recevons-nous des informations ? 2.1.1 Les personnages que présent sur scène sont Sylvia et Lisette sa femme de chambre.

Ce sont deux personnages socialementdifférents.

Leur différence sociale est marquée par la situation d'énonciation : Lisette appelle Silvia " Madame ".

Les jurons de laservante (" Pardi ! ", " Vertuchoux ! ") sont opposés aux paroles soutenues de Silvia.

Il y a une certaine intimité, complicité entreles deux femmes.

Cela est traduit par le passage au tutoiement et l'appel à la pitié fait par Silvia.

Ces deux personnages sont lespremiers présents sur scène car ils annoncent la problématique initiale de la pièce : Sylvia et Lisette s'oppose sur le thème duMariage.

En effet, le père de Sylvia a pour dessein de faire marier cette dernière.

Cependant, Sylvia est assez méfiante et redoutela personne que sont père lui a choisi, et met en évidence sa suspicion par rapport au mariage.

Lisette est en quelques sortes leporte parole de l'opinion commune alors que Silvia se sert du sujet du mariage pour revendiquer sa personnalité (noter par ex.

ladifférence entre les pronoms " moi " et " on ").

Lisette accuse donc Silvia de bizarrerie. 2.1.2 On nous parle de Monsieur Oregon, le père de Lisette.

(« quel mal-ais-je fais de dire à Monsieur Orgon que vous étiezbien aise d'être mariée ? » ; « je ne m'ennuie pas d'être sa fille »).

Lisette parle de l'homme que Sylvia est destinée à épouser, elleen dresse un portrait très mélioratif mais basé sur des rumeurs.

Pour prouver son aversion pour les hommes et justifier saméfiance par rapport au mariage, Sylvia évoque différentes personnes qu'elle juge comme blâmables : Ergaste, Léandre,Tersandre. 2.2 Quels types d'information avons-nous ? 2.2.1 On connait leur prénom : Lisette, Orgon (ou nom ?), Sylvia, Ergaste, Léandre, Tersandre. 2.2.2 Sylvia est en âge de se marier, elle doit donc être majeure.

On peut estimer son âge entre 18 et 25 ans (XVIIIème S.

).Lisette qui est sa femme de chambre apparait comme étant une personne assez proche de Sylvia, ce qui peut nous laisser penserque son âge est assez proche de celui-ci de sa maitresse, d'autant plus que Lisette n'est pas non plus encore mariée.

Orgon a unefille en âge de se marier, on peut donc penser que son âge tire vers la cinquantaine.

D'après le portrait physique que dresseLisette du mari préposé à Sylvia (« qu'il est bien fait, de bonne mine, …) on peut penser que Sylvia a elle aussi un physiqueavantageux pour se lier à un tel homme.

(Union plus délicieuse ?).

On ne reçoit pas d'information sur le physique de Lisette.

Lesautres personnages cité par Sylvia apparaissent comme jouant un rôle secondaire mais on reçoit quand même des informationssur eux car ils sont pris pour illustrer ses propos.

Ergaste est un bel homme (‘physionomie si douce,…') il a une femme et desenfants, on peut donc estimer son âge à la quarantaine, trentaine.

Aucune information concernant le physique de L éandreapparait ni sur Thersandre.

Ils sont tous les deux mariés, même âge qu'Ergaste environ.

Leur âge doit être assez proche de celuide Sylvia puisqu'elle parait entretenir des relations amicales avec mais ils apparaissent plus vieux à cause de leur situation. »

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