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quelques arguments sur l'immoralité de suzanne

Publié le 08/12/2012

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Tenter de se battre contre la nature constructions des barrages P 18 :La chasse inutile d'animaux « C'est les biches qui puent, ... « P.19 :« Il y en avait quatre et un cerf « « ...il gâchait des balles à tuer des biches qu'on jetait dans le rac au bout de trois jours « → il jette les charognes à l'eau → les indigènes boivent l'eau → cela contribue certainement au maladie des indigènes. P.29 : construction des barrages.     Leur société est profondément immoral P.6 : faute de pot de vin, la familles c 'est vue attribuée une concession incultivable P.15 : paragraphe 2 : L.1 : arnaque du cheval P.25-26 : arnaque de la concession P.24 : La mère avait un « droit prioritaire sur une telle concession. Elle avait pourtant dû attendre deux ans avant de l'obtenir « P.25 : (…), elle avait jeté ses économies de dix ans dans les vagues du Pacifique. « fin P.25 « Les concessions cultivables n'étaient accordées, en général, que moyennant le double de leur valeur. La moitié de la somme allait clandestinement aux fonctionnaires du cadastre chargés de répartir les lotissements entre les demandeurs. « P.27 : « Les seuls concessionnaires qui étaient resté dans la plaine y vivaient du trafic du pernod ou de celui de l'opium « Le colonialisme lui même est immoral : p.18 : hurles pour donner des ordres au Caporal P.32 « Pourtant les tigres avaient bien moins faim que les enfants (...) « P.330 : en parlant des enfants indigènes « Ils ne cessaient de jouer que pour aller mourir « ; « Quand un automobiliste en écrasait un, il s'arrêtait parfois, payait un tribut au parents et repartait. Le plus souvent, il repartait sans rien payer (...) «     L'attente P.21 : attente de Suzanne qui espère que quelqu'un s'arrête et l’emmène : « Un jour un homme s'arrêterait, peut-être(...). Il se pourrait qu'elle lui plaise et qu'il lui propose de l'emmener en ville « P.22 : attente de Joseph « Joseph aussi attendait un auto qui s'arrêterait devant le bungalow « P.328 : « Toutes les heures, Suzanne montait au bungalow, donnait les pilules à la mère et repartit s’asseoir près du pont. «     Leur isolation du monde extérieur : P.13, L.6 : au début du roman, ils sont reliés au monde par le Cheval avec lequel joseph fait des allé-retour de la ville à la campagne, mais le cheval meurt L.-1 P14-15 : maltraitance du cheval L.20 : refuse de manger P.13, le cheval est qualifié d'honnête La mort du cheval est un véritable drame : « La semaine dernière, un enfant était mort dans le hameau qui se trouvait derrière le bungalow. La mère l'avait veillé toute la nuit et lorsqu'il était mort, au matin, elle avait geint de la même façon. «   Lutte de la mère contre le départ de ces enfants La folie de la mère : fin de la P.15 : don de sentiments au cheval P.20 : « Elle gueulait à la cantonade n'importe quoi, des choses sans rapport avec ce qui se passait dans le même moment «. P.22 : l'avis du docteur au sujet des colères de la mère : « On pouvait la laisser crier un moment, mais pas trop longtemps. La colère pouvait lui donner une crise. «Les crises peuvent êtres « mortelles «. il lui prescrit plus de pilules. Alors que son fils lui manquait terriblement, lorsqu'elle reçoit sa première lettre, « Elle s'accrocha à la question des fautes d'orthographes. «, et non au contenu. P.328, « (...)elle avait besoin d'argent. Pour rejoindre Joseph. Il faisait trop de faute d'orthographe, lui, fils d'institutrice «.   L'amour intense qu'elle éprouve pour ces enfants : P.34 : « C'est pour vous que j'ai peur quand j'ai peur d'avoir une crise « Leurs habitations : P.6 :Ils vivent dans un bungalow L'amour de Suzanne pour Joseph : P.18, dialogue : « Qu'est-ce que tu fous ? « peut être l'observait elle L'animalité de Suzanne et Joseph : P.15, paragraphe 2 : sous le bungalow, sans sortir de l'ombre P.16 : la mère est pieds nu P.17 : Suzanne est pieds nue, esquive une gifle, retourne se réfugier dans l'ombre P.19 (fin) : elle ne veut pas sortir la première de sous le bungalow, elle attend que son frère lui montre l'exemple, comme un chef de meute. P.14-15 : « Joseph le fouette mais il aurait pu aussi bien fouetter la piste, elle n'aurait pas été plus insensible « P. 13, le cheval est qualifié d'« honnête « et n'a « plus le goût, d'autre nourriture « . Le cheval est humanisé tandis que Joseph est déshumanisé. P.18 : Suzanne à « son pilotis «, comme un chien aurait Sa niche où un cheval Son enclos Joseph se dresse au dessus de la chef de famille P.16 : « Si tu ne la fermes pas je fous le camp, dit joseph « à sa mère. P.19« Viens en vitesse. J'attends pas « à Suzanne P.28 :Joseph sort son fusil sous le nez de l'agent du cadastre P.30 Joseph forçait toujours Suzanne à rentrer dans l'eau. « La mère préfère Joseph : P.17 : « je ne te demande pas ton avis, dit Joseph « « Moi je te le donne « «  la mère s'élança vers sa fille et essaya de la gifler « P.19 : « Quand elle était avec lui, la mère criait moins. «   Suzanne, la femme objet : P.35 : « Jamais je ne la donnerai jamais à Agosti, dit la mère, quand bien même il me supplierait «   L'immoralité engendrer par la famille mais qui n'est pas de son propre fait : P.328 :« Suzanne lui répèta ce qu'avait dit Agosti, qu'il espérait que le pèrere Bart achèterait la bague, et que pour le convaincre, il l'avait même menacé de ne plus écouler son penod «   Joseph, un coureur de jupon centré sur lui même   Les fréquentations douteuses de la famille   La considération qu'ils apportent à M.Jo   La famille est obligé de flirter avec immoralité et injustices, et pour les combattre, de les utiliser.  

« P.15 : paragraphe 2 : L.1 : arnaque du cheval P.25-26 : arnaque de la concession P.24 : La mère avait un « droit prioritaire sur une telle concession.

Elle avait pourtant dû attendre deux ans avant de l'obtenir » P.25 : (...), elle avait jeté ses économies de dix ans dans les vagues du Pacifique. » fin P.25 « Les concessions cultivables n'étaient accordées, en général, que moyennant le double de leur valeur.

La moitié de la somme allait clandestinement aux fonctionnaires du cadastre chargés de répartir les lotissements entre les demandeurs. » P.27 : « Les seuls concessionnaires qui étaient resté dans la plaine y vivaient du trafic du pernod ou de celui de l'opium » Le colonialisme lui même est immoral : p.18 : hurles pour donner des ordres au Caporal. »

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