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Quels chemins mènent au bonheur ?

Publié le 29/08/2012

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                                Bonheur, éthique et bien vivre

                              Qu’est ce que c’est?

Dans la vie, on retrouve un monde où il y a toute sorte de personnes qu’y vivent. Et bien ce monde est le nôtre. Chaque être humain est différent et la manière de vivre de chacun d’eux diffère d’une tête à une autre. On remarque aussi que chaque tête est un monde. Dans le monde des vivants, la plupart recherche le bonheur. Voilà pourquoi on se demande : Quels chemins mènent au bonheur? On sait que le bonheur est un mot très complexe, que sa définition dépend d’un milieu à un autre, d’une personne à une autre. Si il y a de telles différences de perceptions du bonheur dans le monde, c’est qu’il y a plusieurs moyens de l’interpréter. Allons analyser trois points de vues et ma perception du bonheur. Pour savoir et comprendre énormément la définition du bonheur. 

                          La science du bonheur  

Certainement, pour arriver au bonheur, il n’y a pas qu’un seul chemin. Plusieurs scientifiques ont faits des recherches partout dans le monde au sujet du bonheur. Certaines personnes peuvent dire que c’est l’art d’être heureux. D’autres disent que c’est l’éthique, une manière de vivre. Et des pseudonymes peuvent interpréter le bonheur comme un privilège  qui ne se donne pas à tout le monde. Comme on le voit, il y a plusieurs façons de voir le bonheur. Mais il suffit à chacun de vouloir le conquérir. Il faut à chacun trouver sa propre recette. C’est ce que la science du bonheur souligne comme élément principal. Lorsqu’on vit le bonheur, notre alentours le remarque et sont affectés aussi. Puisque le bonheur d’une personne est lié aux autres. Pour être heureux, il faut certainement donner du bonheur aux autres, savoir partager est un bon signe. Par contre, il y a des exceptions de personnes qui sont déjà imprégnés du bonheur dans leurs veines. Les recherches démontrent que 50% de l’optimisme est génétique. 10% sont liés aux circonstances de la vie voire le hasard. Et les 40% restants ne dépend que de nous. De quelle manière perçoit-on la vie et comment est notre état d’esprit? Nous, toi et moi sommes le sujet de notre propre vie. Et sur ces 40% nous pouvons jouer. Pour un manque d’effort on manque notre espoir. Il vaut mieux se forcer et assurer à chaque jour notre devoir. Un pas sûre et fixe de notre recherche vers le bonheur. On a toujours écouté ou lu que l’argent fait le bonheur? Il y a une nuance dans la réponse. C’est vrai que l’argent rend heureux. Mais en avoir plus, nous rendra pas plus heureux. L’idéal, c’est d’en avoir assez pour satisfaire nos besoins primaires. Selon le point scientifique, le bonheur est l’équilibre psychologique. C’est ce qu’on attend du bonheur et ce qu’on est prêt à faire pour le conquérir.

                                    L’eudaimonia

Par ailleurs, le bonheur ne se caractérise pas uniquement à un instant de joie. Ce concept, cette manière de vivre se retrouve à plusieurs reprises dans notre vie. Ce moment pourrait le bien, le plaisir, l’amour ou la tristesse. C’est quelque chose d’extrêmement important à nos yeux. Le bonheur existe dans nos vies et existe depuis toujours. Dans la philosophie ancienne, un savoir théorique et pratique, on considère le bonheur comme eudaimonia. Ce qui est une notion fondamentale qui a pour but de rendre l’homme heureux. Selon Socrate, le bonheur semble pour lui s’identifier à vie vertueuse. La vie vertueuse, c’est ce qui porte à l’être humain de vivre dans le bien. «L’important n’est pas de vivre, mais de vivre dans le bien.« Un autre philosophe antique, Aristote semble avoir un point de vue semblable du bonheur. Le bonheur pour lui est la réalisation d’une vie heureuse. La vertu est fondamentale. Mais parmi toutes les vertus, seule l’amitié est considérée comme absolument indispensable à la vie. Par contre, le philosophe antique Platon a une conception très différente du bonheur que Socrate et Aristote. Lui dit que l’harmonisation des trois parties de l’âme humaine, la rationnelle (ce qui a attrait à nôtre raisonnement), la concupiscible (ce qui a attrait aux biens matériels) et l’irascible (ce qui nous emmène au stade de la colère) doivent entre elles favoriser une conduite équilibrée. Ce qui est une source du bonheur. Le bonheur, c’est le bien. Comme le dit Socrate, parmi ses valeurs, le savoir, la connaissance, la sagesse, la vertu et le bien. Le bien est celui qui le caractérise le mieux dans la philosophie du bonheur. Le bien pour lui est de se mettre en mesure de devenir le plus savant possible. Pour Platon, il y a deux valeurs très importantes au sujet du bonheur. La justice qui est profondément liée à l’harmonie. Ce philosophe décrit étant propre à l’homme juste, celui qui est devient un ami pour lui-même. Que les richesses et les biens extérieurs ne sont pas eux-mêmes une source du bonheur. En contradiction, ce n’est qu’avec Aristote que les biens extérieurs deviennent une influence précise sur le bonheur. Les valeurs d’Aristote marquent l’importance pour parvenir au bonheur. Il considère que la santé, la richesse, la beauté et le pouvoir politique constituent les étapes nécessaires à la réalisation d’une vie heureuse. Bref, les points de vues philosophiques visent à déterminer et connaître les sources du bonheur. Si le bonheur, c’est le résultat de nos efforts pour l’atteindre. Alors, l’eudaimonia est le processus qu’il faudra traverser.

                           Bonheur : exalter Allah ou honorer Dieu

Tout d’abord, pour l’Islam le bonheur est grand ouvert sur l’humain. C’est le caractère exquis du monde à travers les sens. C’est une manière d’exalter Dieu. Pour les musulmans le bonheur est présent partout dans le Coran. Cette religion conçoit le plaisir comme le meilleur moyen pour l’homme d’exprimer sa gratitude au Créateur et de connaître le bonheur. Pour la Christianisme, le véritable bonheur est initié par la bonne nouvelle de la Résurrection de Jésus Christ. Or, le premier discours de Jésus portait sur le bonheur. C’est le fameux sermon sur la montagne. Où il commence par décrire les neuf béatitudes qui constituent des clés pour ouvrir la porte du bonheur. Dans ces deux religions, on voit que les musulmans et les chrétiens croient au même Dieu de façons différentes et que le bonheur n’est pas le même. En effet, les musulmans croient au dieu Allah, auquel ils vénèrent et prient cinq fois par jour. Tandis que les Chrétiens croient en Dieu qui est le Père, le Fils (Jésus Christ) et le Saint Esprit. Ils croient au fils de Dieu qui est mort pour ensuite ressusciter des morts. Voilà la résurrection de Jésus Christ. Certainement, en Islam, il y a une dimension plus importante que le bonheur. C’est celle qui met le croyant dans une contemplation intime du divin. Ce moment est plutôt décrit comme la prière. Pour les musulmans, ce moment de paix inspire plus que du bonheur. C’est spirituel. C’est de parler à Dieu. Par contre, chez les chrétiens, le spirituel existe aussi. Voilà pourquoi Jésus nous invite à se détourner de la satisfaction égoïste de ses propres envies pour s’ouvrir à cet être qui est Dieu. Puisqu’être chrétien, c’est placer sa confiance en l’unique Dieu aimant et juste. Pour les chrétiens, le bonheur est le vrai amour de Dieu. L’Islam nous incite à vivre l’ici-bas (dans ce bas monde) pleinement :«Agis pour ton ici-bas comme si tu vivais éternellement et pour ton au-delà (la vie future, l’autre monde) comme si tu allais mourir demain.« Le christianisme incite à trouver la source du bonheur. Le bonheur trouve son essence en Dieu. Le but ultime des croyants est de s’unir à lui. En résumé, les points de vues religieux visent en commun que le bonheur se trouve uniquement en le Créateur de tout, Dieu. Les chemins ,selon les musulmans sont l’exaltation à Allah. Selon les chrétiens, honorer, adorer et chercher plus de Dieu. 

                          Le bonheur, c’est le respect

Par la suite, l’essence et la valeur du bonheur ont plus d’importance que sa définition elle-même. Le bonheur n’est pas seulement un moment de joie, de jouissance de biens matériels, de plaisir et de rêves. Le bonheur veut dire plus que tout cela. Pour moi, le bonheur, c’est le respect. C’est lorsque après tout ce qui se passe dans le monde. On peut avoir la paix. C’est du bonheur. Lorsque tout ton quartier ne croit pas en Dieu et toi tu es le seul à croire. Si tu ne critiques pas et tu les respectent tous. La paix sera en toi et le bonheur viendra. D’après moi, vivre dans le bonheur est un but accessible. Si seulement on a compris que pour recevoir du respect, il faut en donner. Cela me fait penser lorsque Jésus a dit :«il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. « D’ailleurs, ma perception de voir les choses, dans ca cas le bonheur, est basé sur le christianisme. C’est là que j’ai appris le respect et en Dieu le véritable bonheur. La joie est l’état naturel du chrétien. Si le bonheur, la joie, et la paix sont parmi dans les chrétiens. C’est parce qu’ils croient en Dieu qui leurs a procurés. Si ma confiance et mon espoir est en Dieu. C’est parce que je l’aime plus qu’à tout autre chose. Donc, pour cet amour j’aime tout le monde et je les respectent. Pour moi, le bonheur c’est ça. Être humble, avoir la paix et respecter les autres.

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