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Rouge et le noir: scène pere et fils

Publié le 02/05/2014

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I-Un personnage inadapté à son millieu 1) Un être en opposition avec sa famille -J # membre de sa famille -> père et frère brute : désignation péjoratif « espèce de » + hyperboles « géants », « énorme » voc expriment hostilité « armés de lourdes haches ». Les frère de J = créature menaçante et effrayantes + être silencieux qui effectue travail mécanique et répétitif. -Endroit bruyant -> bruit de sci. Le père Sorel tente veinement d'appeler sont fils -> Négation « personne ne repondit » + « Ils n'entendirent » -> tentative echoue malgré « vois sentor du père ». -Opposition physique ( brute # taille mince) + intellectuelle ( julien lit # pas sa famille) « Julien lisait » « il ne savait pas lire lui même ». -> Violence père quand julien lit car pour lui c'est de la paresse. Voc péjoratif « manie odieuse » ; « maudits livre ». Pour sorel, s'instruire = perdre son temps. 2) Un être méprisé et maltraité -Être méprisé dès sa naissance -> finesse de sa constitution est assimilé à de la faiblesse : « dès sa naissance » le père voit comme une charge. Julien est « l'objet de mépris de tous » -Un être battu : victime de la violence de son père -> phrase longue, répétition de « coups », « violent », « frapper » construite par énumération « un coup violent..lui fit perdre l'équilibre ». -Verbe exprimant violence « chasser », « faire voler », « frapper » montre que J maltraité. Julien= soufre douleur de tous, être rejeté. -Violence verbale : discourt direct du père où St donne parole à la violence -> insulte « animal », « paresseux », + ordre « dessends ». 3) Un être animé par la haine. -La terreur de J rendue sensible par exlamation « Dieu sait ce qu'il va me faire ! » -Un être humilié : Intrusion violente du père dans l'intimité de J + mépris du père provoquent sentiment d'humilitiation. J triste car son livre jeté dans le ruisseau. -Humiliation suscite chez J un sentiment de haine envers son père. « Il haïssait » + « expression de la haine la plus féroce » => St fait entré J dans une situation humiliante et en l'animant de sentiment peu sympathiques. II-L'entrée en scène d'un héros 1) Une entrée retardée. Lecteur pas encore vus le héros. Il en a slm entendu parler. -Situation de départ : Père qui cherche son fils. Point de vus omnicient : par moment, lecteur voit à travers yeux du père grace au verbe de perception « il ne vit » « il l'aperçut ». Lecteur cherche J comme le père. Puis le lecteur a ensuite accès à l'intériorité de J : phrase de monologue intérieur + l'adverbe « tristement ». -Le portrait repris au dernier §. -Personnage silencieux -> concentration sur son aspect physique et l'expression du regard. 2) Posture signifiante. -Une position en hauteur -> position dominate « à cinq ou six pieds plus haut »= théatralisation de la situation du personnage. -Titre du livre signifiant : Memorial de St-Hélène qui raconte captivité de Napoléon. Double mise en relief ( emphase+superlatif) « c'était celui de tous qu'il affectionnait le plus » Julien= enfant grandit dans l'exaltation des campagnes napéolienne => livre donné pas un de ses mentors, vieux chirurgiens major, qui a participé a la compagne d'italie. 3) Un personnage hors du commun.Être à part : constitution phisique fragile, inadapté activité phisique « taille mince peu propre aux travaux forcés ». Comparatif de superiorité « plus saisissante » ses caractéristiques physiques hors du commun. -Son caractère exeptionnel dans une famille de brutes mis en evidence pas qualité « l'air pensif » « délicatesse des traits », « un nez aquilin »... -Une vie intérieure intense : image du feu utilisée :« grands yeux noirs..annonçaient refléxion et du feu». -Un portrait en constrate : Fragilité exterieure et feu intérieure d'un être « faible apparence ». Perso qui attire compassion du lecteur puis sympathie.

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