SCÈNES ANDALOUSES
Publié le 05/11/2015
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SCÈNES ANDALOUSES
Publiées en 1847, elles constituent le livre le plus connu de l’écrivain espagnol Serafin Estébanez Calderôn (1799-1867), qui signait du romantique pseudonyme « El Solitario », en réminiscence peut-être de « L’Hermite » dont se servait le journaliste français Étienne Jouy, auteur de l'Hermite de la Chaussée d’Antin. Il s’agit ici d’admirables petits tableaux de genre de la vie populaire andalouse, fort intéressants du point de vue folklorique, mais parsemés d’idiotismes locaux et d’archaïsmes voulus qui enlèvent au texfe sa spontanéité et en rendent la lecture parfois inintelligible. Quelques-uns sont de vivants portraits de types inoubliables, tels « Pulpete y Balbeja o los Valientes» et « Mano-lito Gâsquez », le roi de l’hyperbole, dont les mémorables « andaluzadas » étaient devenues populaires dans toute l’Espagne ; d’autres offrent la description des danses typiques du pays (« e boléro », « el olé », « el jaleo de Jerez », « la tirana »,
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