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Socialisation SES

Publié le 10/05/2013

Extrait du document

De nos jours, un individu, peu importe son pays, son genre et son âge, subit et subira le processus de socialisation. Ainsi, l’individu apprend et intériorise les normes et les valeurs tout au long de sa vie. La société, donne aux individus les normes et identités qu’ils devront tissées au long de leur vie. De même, chaque individu qui naît dans une  société appartient à un milieu social d’appartenance. Ces différents milieux sociaux d’appartenances. Cette socialisation pour ainsi imposée dès la naissance par son milieu social et omniprésente et on pourrait  dire que la socialisation dépend presque uniquement du milieu social d’appartenance. Cependant ceci n’est pas forcément le cas pour chaque individu ou chaque société et la socialisation ne sont pas issues à 100% du milieu. Dès lors, la socialisation exercée dans la société dépend-t-elle uniquement du milieu social d’appartenance ? Ainsi, on peut voir que dans un premier plan que la socialisation dépend du milieu social d’appartenance et que la cultures, les normes et les valeurs transmissent durant la socialisation primaire varient selon le milieu social, et que de plus, la reproduction sociale prend une place importante. Mais cependant, la socialisation ne dépend pas seulement  du milieu social et peut aussi dépendre de la nationalité et aussi du genre, ce qui modifie la socialisation exercée par les milieux sociaux. Chaque société dans le monde partage des valeurs et de normes différentes et propres à leur société. Ainsi, les sociétés occidentales développées partagent des valeurs égalitaires (l’école pour tous, …) et méritocratiques (fondées sur le mérite, la réussite passant par le travail ). Et selon, B.Bernstein, un sociologue anglais,  il y aurait un lien entre le milieu social, le mode de socialisation et le langage des individus. Ainsi, comme on a pu le voir dans le texte du document 1, le fils de la concierge ne sera plus invité chez le petit Edouard, cela est dû aux valeurs et manières différentes que les deux enfants ont reçues, ainsi, il est question ici d’un manque de manière à table du fils de la concierge dans un milieu de la haute bourgeoisie.  De ce fait, la socialisation reçu par les parents et les enfants de la haute bourgeoisie et ceux d’une classe moyenne sont différents  et ne peuvent se mêler entre elles. Par conséquent, la simplicité des relations verbales, des gestes ou manières dans les familles ouvrières  et la complexité des communications et actions dans les classes supérieures amèneraient les individus à rester dans un même milieu social, l’emploi du mot « goret «, vocabulaire plutôt associé à une certaines éducation ( bourgeoisie ) De même que le prénom et le nom peuvent être révélateurs du milieu social de l’individu et donc, la haute bourgeoisie sera souvent identifiée par des prénoms composés ou des nom avec particules, et comme vu dans le document 1, le prénom « Edouard « associé plutôt à un classe bourgeoise. En outre, Il apparaîtrait que chaque milieu applique lors de la socialisation primaire des méthodes d’éducation apparentes, comme on peut l’observer dans les différentes familles de chaque milieu. Ainsi, pendant le dîner familial, les principes fondamentaux sont rappelés : ne pas mettre ses coudes sur la table, rester en place, ne pas faire attendre les autres (comme vue dans le document 1), on parle alors de socialisation de la retenue qui est exercée sur l’individu pour qu’il assimile des valeurs et manières propres à son milieu social. Cette socialisation de la retenue est alors présente dans tous les types de milieu mais et plus importante dans les milieux bourgeois. Dès lors, on peut voir que chaque milieu lors de la socialisation d’individu,  inculque des valeurs et des comportements différents selon les types de milieu et que certains milieux sont identifiables grâce à certains indices. La socialisation diffère alors selon les milieux sociaux et ainsi, les milieux sociaux ont des cultures (en partie) propre à eux-mêmes et chaque socialisation reçue par le milieu social de l’individu se répercute pendant la socialisation secondaire. Ainsi, on voit que les agents de socialisation secondaire diffèrent selon les milieux sociaux d’appartenance d’origine de l’individu. On voit alors que plus l’individu appartient à un milieu social élevé, plus il aura tendance à adhérer à une association. , Et comme, on a pu le voir dans le document 2, les cadres ont toujours la part la plus importante dans les taux d’adhésions de différents types d’association (sport, culture, action humanitaires,…) et dans l’autre sens les milieux sociaux de classe moyennes adhèrent plus aux loisirs. Et dans l’ensemble du taux d’adhésion à une association en 2008, les cadres supérieures représentes la plus grande part. En outre, on pourrait penser que ce sont les ouvriers qui se syndicalisent le plus, mais, on voit dans le document que les cadres ont un taux d’adhésion plus important que celui des ouvriers. Ainsi, les individus d’un milieu social supérieurs auront plus tendance que l’autre classe à se réunir entre eux, et que les types d’association fréquentés par les différents milieux sociaux diffères et que chaque milieu à ses valeurs et sa culture propres qui vont jouer sur l’individu plus tard. Dans un sens, les milieux sociaux se diffèrent de par leurs valeurs et normes, mais on un aspect de la socialisation en commun. Alors, un individu de n’importe quel milieu, cherchera probablement à maintenir une position sociale d’une génération à l’autre par la transmission d’un patrimoine. Par exemple, le groupe Leclerc ou le fils a repris l’entreprise que le père avait fondée. Mais le métier ou les entreprises de la famille ne sont pas les seules choses que l’individu souhaite reproduire et ainsi, il cherchera des fois à imiter les manières ou comportements des membres de sa famille, plus principalement le père. Il sera alors fasciné et souhaitera l’imiter plus tard, et comme vue dans le document 1, l’adolescent raconte avec fierté les actions de son père, il est fier et veut donc l’imiter plus tard. Cependant, on voit que les valeurs et les manières reproduites par les individus diffères selon les milieux et ainsi, les ouvriers inculqueront plus à leurs enfants à réagir avec intimidation et force physique lorsque certains problèmes se présentent à eux, et du coté bourgeois les problèmes se régleront plus par des débats oraux et la parole. De ce fait, chaque milieu ne reproduit pas les mêmes valeurs de génération en génération, et la reproduction sociale prend une place alors très importante dans la socialisation primaire de l’enfant au sein de son milieu social d’appartenance. Mais les individus sortent difficilement de leur milieu d’origine et ainsi, un parent ayant eu une éducation basse aura du mal à aider son enfant, comme vue dans le document 6 ou on voit que plus le niveau de diplôme plus les mères se sentent dépasser, cela pose un problème lorsque de l’éducation des enfants de ces mère qui se sentent dépassé. La reproduction social est alors dans certains contrainte à se réaliser et maintien l’individu dans son milieu d’origine. Néanmoins, la socialisation ne dépend pas exclusivement du milieu social d’appartenance, et de nombreux d’autres facteurs socialise l’individu sans prendre en compte l’appartenance à un milieu social quelconques. Ainsi, la socialisation répond aussi à d’autres facteurs, comme la nationalité de l’individu. Les normes et les valeurs inculquées lors de la socialisation primaire change selon le pays d’origine de l’individu. Et de ce fait la vie en société diffère  entre les individus de nationalité différente. Et comme vue dans le document 3, on voit que selon les sociétés de pays différents, l’âge ou l’individu quitte sa famille diffère. Les différentes sociétés préparent alors différemment à affronter la société et ne l’enlevé de l’emprise familial que lorsque il est pour eux près à vivre seul en société. Les familles méditerranéennes prônent alors un départ retardé de l’individu de son foyer tandis que les familles du nord mettent en avant l’autonomie précoce de l’enfant. Et avec cet exemple, on voit que les différentes familles ne respectent pas les mêmes valeurs lors de la socialisation de leurs enfants. La nationalité d’un individu peut aussi avoir des conséquences s’il ne se socialise pas dans son pays d’origine, ainsi, les enfants d’origines étrangères renoncent  certaines fois à leurs valeurs et cultures de pays d’origine, pour se socialiser difficilement dans leur nouveau pays. De ce fait, l’éducation d’un enfant étranger peut poser quelques problèmes, et comme on peut voir dans le document 4, en France, que plus d’un élève étranger sur deux n’obtiennent pas le bac ce qui contraste avec les résultats des élèves français. Et dans certains cas, la socialisation qu’effectue les parents étrangers sur l’enfant peut se confronter négativement à celle qu’entreprend l’école. Les valeurs et les normes de l’enfant ne seront en parti pas transmises par ces parents, il y a donc une perte de la culture du pays d’origine de l’individu. Ainsi, la nationalité peut changer la socialisation de l’individu, et s’il change de son pays, et peut dans certains cas être victime d’exclusion sociale. La nationalité n’est pas le seul facteur qui socialise l’individu en dehors de son milieu social. Ainsi, chaque individu subit cette socialisation et ne peut pas ou très rarement l’éviter, il s’agit alors de la socialisation différentielle qui marque la différence entre un garçon et une fille. La société construit alors l’identité sexuelle de l’individu et le force à adopter certaines valeurs qui sont propres à son genre. Les rôles de chacun des sexes sont donc déjà prédéfinies par la société et cette socialisation différenciée peut être le résultat de transmissions inconscientes, l’individu à socialiser est inconscient de cette différenciation mais aussi et surtout  pour les individus qui le socialisent. Et comme on peut le voir dans le document 5, selon le sociologue, les filles ont des rôles définit (investir la sphère privée, rôle passif, rôle maternel et lié au foyer, …) mais aussi, les garçons (développer leur professionnalité, rôle actif, défendre les femmes, …). La socialisation faite alors selon le genre, est faite dans le but d’obtenir une société idéale. La socialisation différencié n’est pas alors liée directement avec le milieu social de l’individu et peut être complètement indifférente. La socialisation de genre n’est pas alors toujours réussi et lorsque qu’un garçon ou une fille ne se socialise pas correctement, il est perçue comme différent du reste de la société. La socialisation différentielle prend alors sa place dans l’enfance mais aussi dans la vie adulte, et reste toujours présente pour différencier les valeurs des hommes et des femmes. La socialisation du milieu social doit s’adapter à la socialisation différentielle, et la réunion des deux peut dans certains cas créer des conflits lors de la socialisation secondaire de l’individu qui ne sait pas à quelles valeurs se fier. Le milieu social d’appartenance a certes une place très importante dans la socialisation d’un individu, qu’elle soit primaire ou secondaire son milieu aura toujours un impact, mais cependant, il ne peut à lui seul préparer l’individu à intégrer la société. La culture du pays d’origine de l’individu et la socialisation différenciée doivent intervenir dans la socialisation de l’individu pour que celle-ci soit complète. Mais tous ces facteurs doivent quand même se réunir pour former l’identité sociale finale de l’individu. Le milieu social d’appartenance n’est donc pas l’unique moyen de socialisation d’un individu. Mais lors de la socialisation de l’individu, ces différentes étapes de la socialisation peuvent-elles toutes s’appliquées  sans pour autant se contredire ou se nuire entre elles ?

« les familles ouvrières  et la complexité des communications et actions dans les classes supérieures amèneraient les individus à rester dans un même milieu social, l'emploi du mot « goret », vocabulaire plutôt associé à une certaines éducation ( bourgeoisie ) De même que le prénom et le nom peuvent être révélateurs du milieu social de l'individu et donc, la haute bourgeoisie sera souvent identifiée par des prénoms composés ou des nom avec particules, et comme vu dans le document 1, le prénom « Edouard » associé plutôt à un classe bourgeoise.

En outre, Il apparaîtrait que chaque milieu applique lors de la socialisation primaire des méthodes d'éducation apparentes, comme on peut l'observer dans les différentes familles de chaque milieu.

Ainsi, pendant le dîner familial, les principes fondamentaux sont rappelés : ne pas mettre ses coudes sur la table, rester en place, ne pas faire attendre les autres (comme vue dans le document 1), on parle alors de socialisation de la retenue qui est exercée sur l'individu pour qu'il assimile des valeurs et manières propres à son milieu social.

Cette socialisation de la retenue est alors présente dans tous les types de milieu mais et plus importante dans les milieux bourgeois.

Dès lors, on peut voir que chaque milieu lors de la socialisation d'individu,  inculque des valeurs et des comportements différents selon les types de milieu et que certains milieux sont identifiables grâce à certains indices. La socialisation diffère alors selon les milieux sociaux et ainsi, les milieux sociaux ont des cultures (en partie) propre à eux-mêmes et chaque socialisation reçue par le milieu social de l'individu se répercute pendant la socialisation secondaire.

Ainsi, on voit que les agents de socialisation secondaire diffèrent selon les milieux sociaux d'appartenance d'origine de l'individu.

On voit alors que plus l'individu appartient à un milieu social élevé, plus il aura tendance à adhérer à une association.

, Et comme, on a pu le voir dans le document 2, les cadres ont toujours la part la plus importante dans les taux d'adhésions de différents types d'association (sport, culture, action humanitaires,...) et dans l'autre sens les milieux sociaux de classe moyennes adhèrent plus aux loisirs.

Et dans l'ensemble du taux d'adhésion à une association en 2008, les cadres supérieures représentes la plus grande part.

En outre, on pourrait penser que ce sont les ouvriers qui se syndicalisent le plus, mais, on voit dans le document que les cadres ont un taux d'adhésion plus important que celui des ouvriers.

Ainsi, les individus d'un milieu social supérieurs auront plus tendance que l'autre classe à se réunir entre eux, et que les types d'association fréquentés par les différents milieux sociaux diffères et que chaque. »

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