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Zadig Chapitre XVII

Publié le 18/01/2011

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Chapitre XVIII: L'Ermite

 

Depuis le chapitre 17 Zadig est de nouveau à Babylone et il amené à se retrouver à l'extérieur de la capital pour réfléchir et il rencontre un personnage retiré du monde devant normalement réfléchir seul sur la providance. Or au bout de quatre rencontrent Zadig s'interroge su le comportement de ce sage, de se fou: il brûle, vole, tue.

En quoi le conte philosophique donne t-il à voir l'absurdité du monde?

On verra tout d'abord Zadig et l'ermite puis Zadig et l'ange Jesrade.

 

I- Zadig et l'ermite

   A- Une portrait stéréotypé 

 

   B- Exercice des lois de l'hospitalité auprès de quatre personnages secondaires

→ Riche dédaigneux                                                      → Riche avare

→ Philosophe ( portrait philosophe des lumières)         → Veuve (moral irréprochable)

 

   C- Jugement de Zadig sur le comportement scandaleux de l'ermite

        → 1er cas: Zadig se tait face au vol

        → 2e cas : Zadig interroge l'ermite → éventuelle changement de l'avare

 

II- Zadig et l'ange Jesrad

   A- Métamorphose et stéréotype de l'ange Jesrad

 

   B- L'enseignement de l'ange à un Zadig sceptique

→ enseignement moral

→ Zadig constate que le monde est semé d'embuche. Il a comprit que le monde ne pouvais pas etre parfait.

 

   C- Le hasard n'existe pas

 

→ Retournement de situation, Zadig fini par accepter de se soumettre à l'être supérieur.

 

Zadig a radicalement changé et accepte de ne pas tout comprendre. Il accepte les événements heureux et malheureux de la vie

 

Conclusion:

 

L'absurdité du monde apparaît comme la multiplication des souffrances de l'homme souvent incompréhensible. La souffrance vient des hommes et non pas de la providance. Cependant Voltaire a bien montré que son héros a des difficultés à admettre de tels explications. Il décide tout de même de se soumettre même s'il n'est pas totalement convaincu du bien fondé de cette attitude.

Ce chapitre renvoi à celui du pêcheur, du brigand, l'esclavage, qui sont les fondements les plus incompréhensible du mal.

Nous sommes dans un conte philosophique et l'auteur favorise toujours des situations plaiisante comme ici le recourt au merveilleux.

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