Devoir de Philosophie

Analyse économique et historique des sociétés contemporaines: Les croissances : principaux faits et typologie des facteurs de productions

Publié le 19/03/2012

Extrait du document

0.       Introduction

0.1   Les modèles de croissance

 

Un modèle est une représentation théorique presque toujours formalisé de la réalité économique complexe notamment du phénomène de croissance. Comme le disait l’économiste US Simon GUSNET, la croissance économique contemporaine a un caractère global et cumulatif. Cependant, ce caractère n’a pas pris la même forme selon chaque pays et donc les structures ou les facteurs… sont différents. Date de transition démographique, place des structures agricoles, impact des institutions politiques, poids du passé, poids des structures sociales, effet des comportements religieux… sont autant de facteurs pouvant modeler l’évolution de la croissance. L’objectif d’un modèle est de mesurer une performance et le principal est de bien distinguer le terme de croissance du terme de développement.

La croissance comme le disait François BAYROU, c’est un accroissement, une augmentation quantitative globale sur une ou plusieurs période longue et l’on prend un indicateur de dimension : l’indicateur privilégié est le PIB. Le développement ce n’est pas la même chose, c’est la combinaison des changements mentaux et sociaux d’une population.

« Page 2 0.3 La notion de « rattrapage » La notion de rattrapage, malgré les analyses de Rostov, de nombreuses recherches montrent que plus le démarrage du développement industriel est tardif, plus les clivages et les divergences tendent à s’accuser par rapport au premier modèle.

Tout les pays suiveurs après la grande Bretagne ont été confronté au même problème : comment tirer parti de la percée technologique de la nation pionaire sans que cette dernière concurrence et domine la nation suiveurs qui démarre sont développement et sa croissance. Patrick VERLEY pense que le rattrapage dépend de la ligne de départ : toutes les économies préindustrielles correspondent à des niveaux de développement très variables et il faut donc choisir un moyen d’accélération souvent ce moyen a été le rôle de l’Etat puissant qui canalise les interactions. De son côté, l’historien Français Jean BOUVIER il y a sans arrêt des continuités et des ruptures mais qu’il y a un rattrapage de façon dualiste. A partir d’un certain moment, le rattrapage ne serait plus possible et il faudrait prendre d’autres moyens de décollage. C’est le cas de la Thaïlande, de Singapour, de L’Indonésie et aujourd’hui de la Chine.

Il ne faut pas oublier l’exemple de l’Algérie qui avait pris la stratégie de développement proche du modèle Britannique (industrie) et qui a du changer de stratégie devant les difficultés agricoles. 0.4 les enjeux de la croissance Les économistes aidés par les historiens se posent 3 questions : quel est la périodisation de la croissance ? Quels sont les relations entre le premier modèle de croissance et les suivants ? La dimension internationale de la croissance et du développement explique telle la dimension que des pays notamment les PED reste au « bord du chemin », c'est-à-dire que les pays dominant gène le développement des pays en périphérie. 1. La suprématie Britannique explique le retard de la croissance Américaine. La Grande Bretagne, souvent encore appelé Angleterre à l’époque est la nation pionnière, premier modèle d’industrialisation, et surtout premier modèle de suprématie dans la hiérarchie des nations dominant les autres.

Elle a un caractère original, sa croissance est ancienne mais elle est lente.

Moins de 2% par an, mais c’est 10 a 20 fois plus que les autres pays.

Elle est aussi la métropole de 13 colonies dans un autre continent, continent qui s’appelle Amérique.

Elle aura ses colonies jusqu’en 1777, date à laquelle les coloniaux prennent leur indépendance par un texte « Bill of right ».

Mais, compte tenu de la suprématie anglaise, cela entraine des retards dans la croissance américaine.

Qui est une nouvelle nation peu peuplé car les anglais non pas fait de colonie de peuplement et qui s’appui sur l’immigration, et surtout d’une immigration d’individu jeune et en très grande majorité pauvre.

Pour entrer dans les détails de l’analyse. 1.1 La grande Bretagne, modèle de suprématie, mais à croissance lente. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles