De La Société Industrielle À La Société De Consommation

« Les états ont été interventionnistes.

KEYNES considère que l’état doit intervenir.

Pour relancer la croissance économique.

Et les théories keynésiennes sont entendues au lendemain de la guerre.

L’état est planificateur.

Il organise des plans pour concentrer les investissements.

L’état investit sur du long terme dans la recherche -développement, les infrastructures très couteuses.

Développement de l’activité nucléaire.

Certain état deviennent des états providence.

L’état adopte une politique sociale qui vise a redistribuer une partie de la richesse nationale (création de la sécurité sociale). .2°) Ralentissement de la croissance : En 2 temps, le prix du pétrole à augmenté.

Multiplié par 13 entre 1973 et 1980.

C’est ce qu’on appelle les chocs pétroliers.

En 1973, c’est la guerre du Kippour qui oppose Israël et ses états voisins. Les pays producteurs de pétrole décident d’utiliser l’arme pétrolière pour faire pression aux occidents.

Ils ferment le « robinet » du pétrole donc ↑Prix.

Mais, la guerre n’est qu’un prétexte.

Puisque depuis les années 50, ils cherchent à se rapproprié le pétrole qui ne leur profite pas.

1979 : Révolution Islamique en Iran (=> grand producteur de pétrole).

Elle désorganise la production de pétrole ↓P° = ↑Prix.

1980 : ↓Prix du pétrole, c’est le contre-choc pétrolier.

Il y a la découverte de nouveaux gisements O>D= ↓Prix. Les conséquences : ↑Des couts de P°, ↓Compétitivité, on produit plus cher.

Entreprises en difficultés alors que ce multiplie les concurrents.

La hausse des couts de P° génère de l’inflation qui va gripper le processus de la croissance, ↓Consommation, ↑Chômage.

Certaines entreprises font faillite. Les entreprises font moins de gains de productivité => Essoufflement dans les innovations ce qui ainsi certaine entreprise à aller chercher des gains de productivité dans d’autres pays.

=> Délocalisation vers les pays à faible couts salariale ce qui aggrave le chômage.

Tassement de la consommation (aussi un facteur déclenchant de la crise), les ménages s’étaient beaucoup équipés pendant les 30 glorieuses et en 70’s ils le sont. Instabilité de la monnaie : Elle fluctue, la valeur des monnaies varie beaucoup, on a abandonné le système Breton Wood.

Cette instabilité désorganise le commerce.

L’état providence est remis en question dans plusieurs pays. Notamment aux E.U, remis en cause par le président Reagan (1980-1988) et Thatcher en Grande- Bretagne (1979-1990).

Avec la politique libérale on abandonne les théories keynésiennes, on parle de « néolibéralisme » (socialement très dure).

En France, on n’abandonne pas complètement l’état providence, la France maintient les aides sociales ce qui crée un déficit budgétaire. B.

Les limites de la croissance : 1.

Elle n’a pas affectée les écarts de développement et de richesse. Ceux qui étaient les plus riches, développés, puissant le reste.

Les E.U, l’Europe et le Japon reste le 1er pôle de puissance, de richesse, de développement.

Inversement, l’Afrique subsaharienne n’a pas profitée de cette croissance, elle n’a pas réussit à mettre en place des politiques stables après la décolonisation. Ils n’ont pas cherchés à pouvoir profiter de leurs matières premières en transformant leurs industries. Quelque pays ce sont enrichit : NPI et les pays EMERGENTS : Chine, Inde, Brésil….

A l’échelle des états, la croissance n’a pas profité a tous, il y a eu des exclu de la croissance : les minorités ethniques : 25% des noirs Américains vivent en dessous du seuil de pauvreté.

Il y a une surreprésentation des minorités ethnique.

Les personnes peu qualifiés on moins profité, les plus pauvres on vu leur situation stagner.. »