Devoir de Philosophie

En quoi consiste une politique de change ?

Publié le 04/11/2012

Extrait du document

... de change flottants : sujet à des interventions discrétionnaires des autorités en cas de dérive ou de volatilité considérée comme excessive (dollar, euro, yen, livre sterling, franc suisse, dollar canadien) Cette formule permet de préserver les réserves de devises du pays, d’être autonome dans sa politique monétaire et éventuellement de compenser des chocs externes négatifs (exemple du pétrole côté en dollar, du fait de l’appréciation de l’€uro par rapport au dollar de ce fait dans la zone euro le pétrole augmente moins) Mais elle comporte aussi des inconvénients : effet nuisible de l’incertitude et de la volatilité du cours de change, effets possible d’une inflation importée)...

« spéculation Ces opérations ayant un effet direct sur le cours de la monnaie. Le niveau des prix permet également de déterminer le taux de change, selon la théorie de la parité des pouvoirs d’achat (PPA).

Il consiste à comparer un même panier de biens dans deux pays différents. Exemple : un panier de bien coute 100 € en France et 120 dollars aux E.U, le taux de change doit alors s’établir à 1 euro = 1.2 dollar.

(Version simpliste de « the economist » comparer le prix du « Big Mac ») II Les différents régimes de changes Dès lors que la monnaie est convertible le taux de change s’ajuste librement en fonction de l’offre et de la demande.

Les autorités peuvent cependant choisir de restreindre cette liberté.

On distingue plusieurs régimes : de change fixe (par rapport à une monnaie ou un panier de monnaie) : la banque centrale s’engage à assurer la conversion en devise de monnaie illimitée au taux fixé.

La crédibilité de cet engagement dépend essentiellement du niveau des réserves en devises de la banque centrale.

Le pays est alors vulnérable à une attaque spéculative qui épuise les réserves en devises. La monnaie nationale est supprimée : soit adoption de la monnaie d’un autre pays (on parle de dollarisation ou euroisation : Panama, Equateur, Monaco, Andorre) soit l’adoption d’une monnaie unique qui permet de maintenir une politique monétaire (zone €uro) de change intermédiaire qui est caractérisé par un mécanisme de stabilisation, qui comprend un objectif (ancrage constant ou « glissant ») et éventuellement des bandes de fluctuation maximale tolérées de part et d’autre de cet objectif (ex : Chine, Danemark, Pologne) de change flottants : sujet à des interventions discrétionnaires des autorités en cas de dérive ou de volatilité considérée comme excessive (dollar, euro, yen, livre sterling, franc suisse, dollar canadien) Cette formule permet de préserver les réserves de devises du pays, d’être autonome dans sa politique monétaire et éventuellement de compenser des chocs externes négatifs (exemple du pétrole côté en dollar, du fait de l’appréciation de l’€uro par rapport au dollar de ce fait dans la zone euro le pétrole augmente moins) Mais elle comporte aussi des inconvénients : effet nuisible de l’incertitude et de la volatilité du cours de change, effets possible d’une inflation importée) Depuis la fin des années 90, nous assistons à une « disparition du centre » au profit des 2 autres systèmes. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles