KEYNESIANISME ET LIBERALISME : COMPARAISON

« la satisfaction de leurs intérêts individuels et donc en fonction de leur rapport au marché.

L’analyse résonne plutôt en terme de l’offre.

Favoriser les conditions de l’offre (c’est à dire de la production des entreprises) est une constante dans l’analyse libérale.

Le travail est une marchandise comme les autres.

De ce fait, pas plus qu’un autre bien, il ne doit faire l’objet d’aucune attention particulière.

Il doit être vendu sur le marché du travail au prix que le marché aura déterminé en fonction de la péréquation entre l’offre et la demande.

Sur le marché du travail, le travailleur est ainsi soumis à la concurrence des autres travailleurs. La place du marché dans l’analyse ? La demande ou l’offre ? Le travail et le Travailleur ? Quelle politique économique ? Une politique favorisant l’offre en créant pour les entreprises les meilleures conditions de production et de compétitivité.

La politique libérale est clairement appropriée par la droite française (et vigoureusement fustigée par ceux qui se considèrent faisant partie du peuple de gauche) même si dans l’histoire récente, les gouvernements de gauche ont été souvent contraints de l’appliquer (appartenance européenne oblige). Comment les transposer sur l’échiquier politique français ?. »