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Occidental Petroleum

Publié le 19/02/2012

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Occidental Petroleum Co. (Oxy, dans les milieux pétroliers) est l'une des compagnies pétrolières Indépendantes (n'appartenant pas aux sept grandes sociétés appelées les «majors«) qui ont le plus rapidement progressé. Elle le doit essentiellement à ses gisements de Libye, où elle continue d'opérer sous contrat après sa nationalisation. La compagnie est présidée par Armand Hammer, businessman américain, qui n'a jamais cessé de s'intéresser aux affaires avec l'URSS et qui s'apprête à exploiter le gaz de Sibérie et à construire des usines d'engrais pour le compte de l'industrie soviétique....

« que ce colt.

En deux ans, le gisement produit 40 mil- lions de tonnes.

Cette soudaine richesse force Oxy chercher non seulement des debouches aux Etats-Unis (en Nouvelle-Angleterre notamment),ma's aussi en Europe, oa elle rachete des refineries :Anvers, qui produit 5 millions de tonnes par an, Essen et Ostermoor (Pays-Bas). 5 Oxy conclut des acoords (entre autres avec Elf-Erap) et accrott sa distribution en Angleterre, en Belgique, en Allemagne et en Suisse.

Mais Oxy, qui produit 20 Vo du petrole libyen, dolt s'incliner quand en 1973 le gou- vernement du oelconi Kaddaff exige de contreler 51 0/0 de sa filiale rachete pour 135 millions de dollars. Pratiquant use politique ouverte, la compagnie accepte, ce qui lui vaut les reproches des autres petrollers, mais elle prefere continuer a travailler sous le regime des contrats do production. 6 Elle applique Ia meme politique pour exploiter au Perou, sous contras de l'Etat, des gisements tres pro- metteurs d'Amazonle.

Armand Hammer, toujours favo- rable aux relations commerciales avec l'URSS, met on 1973 ('Occidental sur les range on vue dune future exploitation sovieto-americaine du gaz nature! de Siberie. En 1974, iI signe un accord de 20 milliards de dollars pour la construction d'usines d'engrals et ('exportation de leur production, Ia plus grosse affaire jamais conclue par les Amerloains eves l'URSS. que ce soit.

En deux ans, le gisement produit 40 mil­ lions de tonnes.

Cette soudaine richesse force Oxy à chercher non seulement des débouchés aux États-Unis (en Nouvelle-Angleterre notamment), mais aussi en Europe, où elle rachète des raffineries : Anvers, qui produit 5 millions de tonnes par an, Essen et Ostermoor (Pays-Bas).

5 Oxy conclut des accords (entre autres avec Elf-Erap) et accroît sa distribution en Angleterre, en Belgique, en Allemagne et en Suisse. Mais Oxy, qui produit 20% du pétrole libyen, doit s'incliner quand en 1973 le gou­ vernement du colonel Kaddafi exige de contrôler 51 % de sa filiale qu'il rachète pour 135 millions de dollars.

Pratiquant une politique ouverte, la compagnie accepte, ce qui lui vaut les reproches des autres pétroliers, mais elle préfère continuer à travailler sous le régime des contrats de production.

6 Elle applique la même politique pour exploiter au Pérou, sous contrat de l'État, des gisements très pro­ metteurs d'Amazonie.

Armand Hammer, toujours favo­ rable aux relations commerciales avec l'URSS, met en 1973 l'Occidental sur les rangs en vue d'une future exploitation soviéto-américaine du gaz naturel de Sibérie.

En 1974, il signe un accord de 20 milliards de dollars pour la construction d'usines d'engrais et l'exportation de leur production, la plus grosse affaire jamais conclue par les Américains avec l'URSS.. »

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