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Quelles sont les différentes dimensions de la mondialisation ?

Publié le 05/11/2012

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mondialisation

Les travailleurs

gagnent un salaire dont la formation subit les effets delà concurrence que ces travailleurs se livrent. Ainsi, le

niveau de salaire est égal au minimum de subsistance. C’est ce que l’on appel la « loi d’Airain des salaires «.

Le salaire suit donc l’évolution, des prix des denrées vitales (ex : le blé). La dernière source de revenus : la

rente foncière, elle est versée aux propriétaires terriens par le fermier qui exploite la terre. Elle est égale à la

différence entre le prix de vente du blé, et le cout de sa production. Chez Ricardo, le cout de la production de

blé, est le nombre d’employé agricole qu’il a fallut employer pour produire par exemple un quintal de blé et

éventuellement la quantité de fertilisant qu’il a fallut mélanger à la terre. C’est donc une rente différentielle,

plus une terre est fertile, naturellement, moins elle nécessite de travaille et d’apport artificielle pour produire

un quintal de blé. Autrement dit plus une terre est fertile, moins le cout de production du blé est élevé, et

donc plus la rente foncière est elle-même importante. Un marché c’est une zone sur laquelle les prix sont

homogènes. Ce cout se fixe par rapport au cout de la terre la moins fertile, c'est-à-dire par rapport au cout le

plus élevé. C’est le commerce international qui va permettre une moindre augmentation du prix du blé.

La théorie HOS (HECKSHER, OHLIN, SAMUELSON)

Les descendants des classiques, les néoclassiques, vont formuler une autre vision de la spécialisation

internationale.

mondialisation

« commerciale.

La deuxième grande étape dans ce processus de mondialisation apparait au 19e siècle avec la révolution industrielle. Elle est permise, encore une fois, par plusieurs types de progrès techniques : l’invention de la machine a vapeur, puis plus tard du moteur à explosion, l’électricité.

Ces progrès techniques entrainant une formidable accélération de la mobilité des hommes.

Sur le plan politique, cette phase correspond au triomphe de l’Etat nation (ex : Angleterre : affirmation de la puissance britannique, notamment par sa puissance coloniale).

Aujourd’hui nous vivons la 3 e étape de cette mondialisation, permise par les progrès dans le domaine du transport aérien ou maritime, la généralisation d’internet qui permet d’avoir l’accès à des informations et de passer des ordres ou que l’on soit dans le Monde.

On parle alors de Mondialisation financière.

En quoi le commerce international et cette naissance d’un marché a l’échelle mondiale est a l’origine des progrès économique ? Pour cela il va falloir s’intéresser aux classiques libéraux et son fondateur Adam Smith.

Il nous dit que c’est la division du travail qui est à l’origine de la dynamique des économies.

Car elle permet d’augmenter la productivité, c’est l’outil stratégique le plus important pour pouvoir assurer un développement économique. En ce sens plus on approfondie la division du travail plus l’économie sera prospère.

Cette division du travail s’organise par une organisation social du travail, c'est-à-dire par la création de différents emploies (ex : banquier, comptable,…).

Donc plus le marché est étendue, plus la division du travail peut être approfondie est donc plus le développement économique sera dynamique.

B - Les caractéristiques de la Mondialisation Nous avons à faire à une triple mondialisation : une mondialisation commerciale, de la production et financière La mondialisation commerciale L’ouverture a l’extérieure des pays industriels c’est accéléré a partir de la décennie 1970.

Le degréd’ouverture de l’économie mondiale (somme des exportations (X) + importations (M)/2)/PIB) est passé de 10 % a aujourd’hui 30 %.

L’importance du commerce international dans la création de richesse a triplé en 0 ans.

La conséquence immédiate de ce mouvement d’internationalisation des économies et l’interdépendance entre les pays.

C’est ce qu’on appel le renforcement de la contrainte extérieur de la politique économique, dans la mesure ou elle rend la balance commerciale (=X-M), dans la mesure ou elle rend la balance commerciale beaucoup plus sensible aux écarts de croissance d’inflation et de progression de la demande entre les pays partenaires.

(Ex : la France est a peu pré systématiquement en. »

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