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Dans toutes les civilisations et à tous les âges de l'humanité, l'habitat s'est diversifié en fonction de l'environnement, du degré de développement technique et des traditions socioculturelles.

Publié le 30/10/2013

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technique
Dans toutes les civilisations et à tous les âges de l'humanité, l'habitat s'est diversifié en fonction de l'environnement, du degré de développement technique et des traditions socioculturelles. La tendance à la spécialisation a longtemps séparé habitat rural et habitat urbain ; mais le passage de l'artisanat à l'industrialisation dans les procédés de construction (préfabrication, standardisation) entraîne une tendance à l'uniformisation de l'habitat individuel et collectif, du moins dans les pays développés. Le terme d'habitat relève à l'origine des sciences naturelles où il désigne le milieu géographique, le cadre écologique propre à une espèce animale ou végétale, c'est-à-dire, pour les sociétés humaines, l'environnement total dans lequel l'homme vit. Toutefois, pour les architectes et les urbanistes dans un premier temps, le mot est largement devenu synonyme d'habitation. Puis, à la suite des travaux de l'architecte Le Corbusier et des préceptes de la charte d'Athènes (1933), on a pris conscience qu'il fallait inclure dans l'habitat non seulement l'espace correspondant à la fonction d'habiter, mais aussi les espaces de travail, de transport et ceux consacrés à cultiver son corps et son esprit. De leur côté, les géographes adoptaient le terme d'habitat (en 1928, au Congrès international de géographie du Caire) en lui donnant comme acception le mode de groupement des établissements humains (groupé, dispersé, rural, urbain). Derrière l'apparente diversité de ces définitions, il existe des convergences. La recherche d'un abri est, avec celle de la nourriture et des vêtements, l'un des besoins primordiaux de l'homme. La construction d'un abri obéit à la volonté de se prémunir contre le froid, la pluie ou les agressions. Mais cette fonction « logement « ne se limite pas à ces aspects techniques. La maison (ou le foyer) est beaucoup plus qu'un toit, elle est un patrimoine, un lieu d'enracinement, un espace symbolique. Ses caractéristiques sont donc liées à celles de la vie familiale et sociale. Ses formes sont évidemment dépendantes des contraintes naturelles, des matériaux utilisables, du savoir-faire et des techniques connus, des types d'activités pratiquées. Ces mêmes facteurs interviennent dans la manière dont ces constructions s'agencent les unes par rapport aux autres. L'habitat est ainsi révélateur de l'histoire et de l'organisation des sociétés. La diversité des combinaisons est immense, et l'observation géographique conduit à faire une distinction fondamentale entre deux types d'espace et d'habitat dont la nature et les fonctions sont assez nettement séparées, l'habitat rural d'une part, et l'habitat urbain d'autre part. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats architecture - Les fonctions de l'architecture géographie Le Corbusier (Charles Édouard Jeanneret-Gris, dit) logement organisation de l'espace L'habitat rural À l'aube de l'humanité, il n'y avait pas d'habitat permanent et, dans leurs pérégrinations constantes, les groupes humains utilisaient des sites naturels (abris sous roches, grottes) ou aménagés (igloos), ou encore des habitations faciles à monter et démonter (huttes, tentes). Avec la révolution néolithique et la découverte de l'agriculture, la sédentarisation progressa et les premières formes d'habitat fixe apparurent. Les maisons ou cases qui furent construites étaient élémentaires et dépendantes des matériaux locaux disponibles. Dans les régions tropicales humides, les végétaux ont été très utilisés ; les régions tempérées européennes ont fait une large place au bois tandis qu'en Méditerranée la brique et la pierre ont été très tôt employées. Les habitations étaient occupées par plusieurs familles ou par la famille élargie, et disposées selon un plan préétabli lié à l'organisation sociale du groupe. De même, en Amérique du Nord, le rang a été la structure type de la colonisation rurale francophone. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats architecture - Les fonctions de l'architecture campagne - Les origines : première domestication de la nature population - L'inégale répartition de la population mondiale techniques (histoire des) - Le néolithique Les types de maisons paysannes. Le peuplement plus dense, la mise en valeur plus intense ont fixé, peu à peu, dans chaque région, les caractères de cet habitat rural qui traduit la fonction éminemment agricole des campagnes. L'aspect externe de ces maisons paysannes, par les matériaux employés et leur décoration, reflète les exigences du milieu physique, les techniques traditionnelles, les habitudes sociales, le folklore. De véritables styles régionaux sont apparus. Ces maisons, par ailleurs, ont une double fonction : celle d'être à la fois une habitation et un élément de l'exploitation agricole (étable, écurie, grange, remise, parfois logement des ouvriers agricoles...), et leur disposition interne, leurs dimensions sont adaptées au système de culture et à l'étendue de l'exploitation. Inévitablement, par-delà la diversité, on peut discerner des types élémentaires. Albert Demangeon, étudiant les maisons rurales de l'Europe occidentale, en distingue deux sortes. La maison-bloc, la plus simple, réunit sous un même toit les locaux d'habitation et les locaux d'exploitation. Elle comporte deux variantes : la maison-bloc « à terre «, juxtaposant famille, bétail, matériel sur un même niveau (maison lorraine), et la maison-bloc en hauteur, superposant les divers éléments ; on trouve des exemples de ce type dans les montagnes (Alpes du Nord), avec des bâtisses où logement et étable sont au rez-de-chaussée et la grange à l'étage, ou bien dans les régions viticoles méditerranéennes avec, au contraire, l'habitation à l'étage. La maison composée (ou à bâtiments dissociés) comporte des bâtiments séparés aux fonctions différentes. On observe des « maisons à cour fermée « (ou « en ordre serré «) où les bâtiments, contigus, sont disposés en fer à cheval autour d'une cour dont le quatrième côté est fermé par un mur avec portail (plateaux céréaliers de l'Île-de-France, cascine lombardes), l'ensemble ayant des allures de forteresse. Mais il y a aussi des « maisons à cour ouverte « (ou « en ordre lâche «), comportant, ceinturées par une haie, la maison du fermier, l'étable, l'écurie, la grange (Normandie). Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Demangeon Albert Les livres Sèvres [Deux-] (79) - habitat caractéristique du Marais poitevin, à Coulon, page 4758, volume 9 France - chaumières briéronnes, en Loire-Atlantique, page 1985, volume 4 France - habitat rural du Cantal, page 1985, volume 4 Habitat groupé et habitat dispersé. Avec les transformations contemporaines de l'agriculture, la maison rurale s'est modernisée, est devenue plus banale, mais plus confortable, au moins dans les pays développés, car, dans le tiers-monde, la maison rurale demeure souvent une simple masure. Toutefois, l'habitat rural ne se limite pas à la seule unité d'habitation. Le paysan fait partie d'une société rurale qui s'incarne dans le village. Celui-ci peut être concentré, avec des maisons groupées, ou bien éclaté, avec un semis de maisons dispersées sur tout le territoire communal. À l'origine de l'habitat groupé, l'on trouve des facteurs physiques (une étroite vallée, un point d'eau), historiques (les sites de défense des villages perchés méditerranéens), économiques (exploitation collective de la terre, morcellement des exploitations, économie de plantation). L'habitat dispersé correspond davantage à des formes individuelles d'exploitation du sol (bocage breton) ou à des mises en valeur récentes (polder). Parfois, à une disposition d'habitat groupé se surajoute un habitat dispersé intercalaire (par exemple dans la plaine du comtat Venaissin), qui traduit des formes nouvelles d'exploitation. Enfin, aux abords des grandes agglomérations, l'habitat rural est pénétré par les constructions urbaines. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats campagne - Les campagnes traditionnelles : un monde relativement stable France - Géographie - L'organisation de l'espace - Ruraux et citadins hameau villa village village-centre Les livres Sierra Leone - Katamasi, page 4781, volume 9 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats espace rural Les livres Gabon - un village de forêt, page 2093, volume 4 Sénoufos, page 4738, volume 9 habitat - Casarés (Espagne), page 2298, volume 4 habitat - village du Kenya, page 2298, volume 4 habitat - ferme d'Émilie-Romagne (Italie), page 2299, volume 4 habitat - fermes à Tripkendorf (Allemagne), page 2299, volume 4 habitat - la Ville-aux-Nonnais, en Eure-et-Loir, page 2299, volume 4 homme - reconstitution d'un habitat préhistorique, page 2395, volume 5 Sénégal - fabrication du pisé, page 4735, volume 9 L'habitat urbain L'essor de la ville et de l'habitat urbain est presque aussi ancien que celui de l'habitat rural. Les produits de l'agriculture devaient être stockés, défendus, échangés, et de cette division du travail est née la ville. Séparée du monde rural par des remparts, la cité a des fonctions de gestion, d'administration, et cela se traduit par un habitat spécifique où, à des maisons d'habitation encore très proches de la maison rurale, s'ajoutent des bâtiments publics, des édifices religieux, des monuments. Le renforcement des fonctions commerciales et manufacturières a fait de la ville un espace densément bâti dans lequel un habitat de maisons basses et individuelles voisine avec des habitations collectives. Mais, dans la ville préindustrielle, la ségrégation des fonctions et celle des groupes sociaux ne sont pas nettes. La part de l'habitat collectif, les rapports entre espace privé et espace public (animation de la rue, rôle des places et jardins...) sont différents selon les aires culturelles : importance de la rue et de ses échoppes dans la ville italienne, fermeture des maisons sur la rue dans la ville arabe, maintien d'une structure de villages dans la ville japonaise... Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats architecture - Architecture et société logement population - L'inégale répartition de la population mondiale villa ville - Histoire de l'urbanisation - Les origines du monde urbain La division du tissu urbain. La révolution industrielle devait introduire des innovations considérables dans l'habitat urbain. De nouvelles fonctions et de nouvelles techniques transformèrent le paysage urbain. Que ce soit dans la vieille ville européenne ou dans la ville des pays neufs, la ségrégation sociale et fonctionnelle se généralisa (quartiers commerçant, industriel, bourgeois, populaire). La division, voire la fracture, entre centre-ville et périphérie urbaine s'accentua. Dans le centre-ville des anciennes cités, l'espace fut fractionné en petits îlots délimités par un dense réseau de rues et de ruelles. Des bâtiments construits à différentes époques, de faible hauteur (de cinq à six niveaux tout au plus) se jouxtent ; ils furent construits sur d'anciennes parcelles rurales, d'où d'étroites façades, avec des matériaux traditionnels, des styles divers, et ils furent conçus pour une occupation sociale diversifiée en fonction des étages. Ce vieux tissu urbain, parfois devenu insalubre, est menacé par l'intrusion des immeubles de rapport, les rénovations modernistes, l'éviction des citadins à faibles revenus au profit d'espaces de bureaux, sauf s'il est protégé à temps (opérations de réhabilitation, secteurs sauvegardés). Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats réhabilitation urbaine révolution industrielle - Déséquilibres et contestations de la civilisation industrielle tissu urbain ville - Histoire de l'urbanisation - La ville à l'âge industriel Le centre-ville. Dans les villes des pays neufs, qui ont adopté le plan quadrillé, à angles droits, le centreville fut, dès son apparition, voué aux activités de gestion et, le temps aidant, il est devenu un CBD (Central Business District), composé de gratte-ciel occupés par des bureaux. Autour du centre, les espaces urbanisés ont une trame plus lâche, les constructions sont plus récentes. Dans les vieilles villes, des immeubles collectifs, divisés en appartements destinés à une famille, emplissent l'espace occupé jadis par des maisons isolées et des jardins. L'emploi de nouveaux matériaux (ciment, béton), de nouvelles techniques (électricité, ascenseur) a permis une plus grande élévation des bâtiments ; des styles architecturaux plus spécifiquement urbains se sont diffusés. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats centre des affaires centre-ville gratte-ciel ville - Les grands types de villes dans le monde contemporain - Les villes du monde occidental européen ville - Les grands types de villes dans le monde contemporain - Les villes nordaméricaines La banlieue. Lorsqu'on gagne la périphérie urbaine, l'habitat devient plus hétérogène. Espace d'urbanisation rapide, récente, où le poids des héritages historiques est faible, où la densité du bâti est moindre, la banlieue mêle espaces résidentiels et espaces non résidentiels (usines, équipements...), et offre un paysage très éclaté avec des villages et d'anciens hameaux, des pavillons individuels groupés ou non en lotissements, des immeubles collectifs isolés ou formant de grands ensembles dont la taille tend à augmenter, de « nouveaux villages « aux maisons d'allure rurale, mais occupées par des cadres travaillant en ville, des « villes nouvelles « enfin, où sont tentées des expériences originales d'habitat urbain... Ce phénomène de banlieue revêt des proportions gigantesques dans les pays anglo-saxons, où d'immenses banlieues de maisons individuelles stéréotypées et préfabriquées qui, parfois même, sont des maisons mobiles, entourent la ville. Habitat rural et habitat urbain se mêlent ainsi dans un processus de rurbanisation (voir ce mot). Les réactions face à la monotonie de cet habitat, qui fait disparaître la convivialité urbaine, ne manquent pas, et nombre d'études cherchent les voies d'un habitat respectant l'intégrité de l'unité familiale et assurant la participation des citadins à la vie et à la gestion de la ville. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats banlieue cité-jardin grand ensemble lotissement préfabriqué rurbanisation ville - Les grands types de villes dans le monde contemporain - Les villes du monde occidental européen ville - Les grands types de villes dans le monde contemporain - Les villes nordaméricaines ville nouvelle Le cas du tiers-monde. Ces préoccupations sont d'abord celles des pays développés. Dans les pays du tiersmonde, l'explosion urbaine pose bien d'autres problèmes. Mutatis mutandis, l'évolution du centre-ville est analogue à celle des pays industrialisés : dégradation et parfois rénovation dans les pays d'ancienne urbanisation (par exemple la médina de Fès), formation d'un centre directionnel dans les pays d'urbanisation récente (par exemple Abidjan). En revanche, la banlieue, sauf dans quelques secteurs d'habitat social planifié ou d'ensembles résidentiels luxueux, est devenue « la planète des bidonvilles «. Un habitat précaire, sous-intégré, sous-équipé, aux maisons édifiées avec des matériaux de récupération, faisant une large place à l'autoconstruction, regroupe les citadins les plus démunis. Ici, l'habitat urbain atteint ses niveaux les plus dramatiques d'inorganisation. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats bidonville ville - Les grands types de villes dans le monde contemporain - Les villes des pays du tiers-monde Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats logement urbanisme - Limites et ambiguïtés de l'urbanisme Les médias habitat - Un monde à part Les livres habitat - vue générale de Stuttgart, page 2300, volume 4 habitat - quartier du Bronx, à New York, page 2300, volume 4 habitat - Wimbledon, page 2301, volume 4 habitat - les Minguettes, à Vénissieux, page 2301, volume 4 habitat - Noisiel, ville nouvelle de Marne-la-Vallée, page 2301, volume 4 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats oekoumène Les indications bibliographiques G. Bauer et M. Roux, la Rurbanisation ou la ville éparpillée, Seuil, Paris, 1976. P. Deffontaines, l'Homme et sa maison, Gallimard, Paris, 1973. G. Duby et A. Wallon, Histoire de la France rurale, Seuil, 1975-1977 ; Histoire de la France urbaine, Seuil, 1980-1985. S. Kayser, la Renaissance rurale : sociologie des campagnes du monde occidental, Armand Colin, Paris, 1990. B. Préel, la Ville à venir : habitat, technologie, environnement, Descarte et Cie, Paris, 1994. M. Roux, la Maison dans l'histoire, Albin Michel, Paris, 1976.
technique

« sociale du groupe.

De même, en Amérique du Nord, le rang a été la structure type de la colonisation rurale francophone. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats architecture - Les fonctions de l'architecture campagne - Les origines : première domestication de la nature population - L'inégale répartition de la population mondiale techniques (histoire des) - Le néolithique Les types de maisons paysannes. Le peuplement plus dense, la mise en valeur plus intense ont fixé, peu à peu, dans chaque région, les caractères de cet habitat rural qui traduit la fonction éminemment agricole des campagnes.

L'aspect externe de ces maisons paysannes, par les matériaux employés et leur décoration, reflète les exigences du milieu physique, les techniques traditionnelles, les habitudes sociales, le folklore.

De véritables styles régionaux sont apparus.

Ces maisons, par ailleurs, ont une double fonction : celle d'être à la fois une habitation et un élément de l'exploitation agricole (étable, écurie, grange, remise, parfois logement des ouvriers agricoles...), et leur disposition interne, leurs dimensions sont adaptées au système de culture et à l'étendue de l'exploitation. Inévitablement, par-delà la diversité, on peut discerner des types élémentaires. Albert Demangeon, étudiant les maisons rurales de l'Europe occidentale, en distingue deux sortes.

La maison-bloc, la plus simple, réunit sous un même toit les locaux d'habitation et les locaux d'exploitation.

Elle comporte deux variantes : la maison-bloc « à terre », juxtaposant famille, bétail, matériel sur un même niveau (maison lorraine), et la maison-bloc en hauteur, superposant les divers éléments ; on trouve des exemples de ce type dans les montagnes (Alpes du Nord), avec des bâtisses où logement et étable sont au rez-de-chaussée et la grange à l'étage, ou bien dans les régions viticoles méditerranéennes avec, au contraire, l'habitation à l'étage.

La maison composée (ou à bâtiments dissociés) comporte des bâtiments séparés aux fonctions différentes.

On observe des « maisons à cour fermée » (ou « en ordre serré ») où les bâtiments, contigus, sont disposés en fer à cheval autour d'une cour dont le quatrième côté est fermé par un mur avec portail (plateaux céréaliers de l'Île-de-France, cascine lombardes), l'ensemble ayant des allures de forteresse.

Mais il y a aussi des « maisons à cour ouverte » (ou « en ordre lâche »), comportant, ceinturées par une haie, la maison du fermier, l'étable, l'écurie, la grange (Normandie). Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Demangeon Albert Les livres Sèvres [Deux-] (79) - habitat caractéristique du Marais poitevin, à Coulon, page 4758, volume 9 France - chaumières briéronnes, en Loire-Atlantique, page 1985, volume 4 France - habitat rural du Cantal, page 1985, volume 4 Habitat groupé et habitat dispersé. Avec les transformations contemporaines de l'agriculture, la maison rurale s'est modernisée, est devenue plus banale, mais plus confortable, au moins dans les pays développés, car, dans le tiers-monde, la maison rurale demeure souvent une simple masure.

Toutefois, l'habitat rural ne se limite pas à la seule unité d'habitation.

Le paysan fait partie d'une société rurale qui s'incarne dans le village.

Celui-ci peut être concentré, avec des maisons groupées, ou bien éclaté, avec un semis de maisons dispersées sur. »

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