ÉCRITURE
Publié le 23/06/2012
Extrait du document
L’acte d’écrire suppose un âge mental de cinq ans, pour comprendre la relation entre les mots et leur symbole graphique. Il demande une bonne coordination motrice des mouvements fins et une latéralisation correcte. (Les difficultés particulières d’apprentissage de l’écriture s'appellent la dysgraphie.) Vers douze ans. l’écriture devient automatique et reproduit à peu près la calligraphie enseignée par le maître. A la puberté, elle se déforme, puis acquiert peu à peu une allure personnelle et définitive qui exprime la personnalité du sujet. La graphologie enseigne que les modifications imprimées à l’écriture apprise reflètent les caractéristiques psychologiques du scripteur. L’ecriture des malades mentaux est souvent extravagante et toujours révélatrice de leur état, notamment chez les schizophrènes (écriture compliquée, affectée, désordonnée). Elle est exubérante chez les maniaques ; ces derniers sont, de plus, souvent atteints de graphomanie, c’est-à-dire du besoin d’écrire d’abondance.
Liens utiles
- Mémoire, histoire et écriture dans l'invention du désert
- L’écriture comme la seule voix audible de l’exilé ?
- En quoi l’écriture de soi peut-elle nous rapprocher de l’autre ?
- Les grandes périodes conventionnelles La préhistoire L'Antiquité Le Moyen Age De l'origine de l'homme (de 7 à 5 De 800 avant JC (apparition de la millions d'années) à l'invention de Grèce antique) à 476 après JC l'écriture (3200 av.
- écriture d'invention