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LES PROPOSITIONS

Publié le 17/02/2019

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Présentation

 

Une phrase est constituée d’une ou de plusieurs propositions. De manière générale, chaque proposition contient un sujet, un verbe, des compléments ou un attribut.

 

On dira que, dans une phrase donnée, il y a autant de propositions que de verbes conjugués à un mode personnel : indicatif, conditionnel, subjonctif et impératif, exception faite des infinitives et participiales.

 

La foudre a calciné cet arbre.

 

Cette phrase contient une seule proposition. En effet, il n’y a qu’un verbe conjugué : a calciné.

 

En revanche, dans la phrase :

 

Il entre, retire son manteau et s’assied

 

on a trois propositions.

 

I. PROPOSITIONS INDÉPENDANTES

 

Généralités

 

1° Une proposition est dite indépendante lorsqu’elle se suffit à elle-même, c’est-à-dire quand elle peut, à elle seule, former une phrase (voir la phrase simple).

 

2° Une proposition indépendante ne dépend d’aucune autre proposition et aucune autre ne dépend d’elle.

 

Il avait fait ses débuts à Saint-Étienne.

 

La pluie ruisselle sur les carreaux.

 

Ces phrases sont des propositions indépendantes. À elles seules, elles expriment entièrement l’idée que l’on veut exprimer.

 

1. Propositions indépendantes elliptiques

 

Une proposition indépendante, dans sa forme la plus réduite, comporte un sujet et un verbe. Lorsque le sujet ou le verbe ne sont pas exprimés dans la phrase, on dit qu’il y a ellipse. Dans ce cas, la proposition indépendante est dite elliptique.

 

1° Ellipse du sujet

 

Il but, puis ressortit.

 

Puis ressortit : proposition indépendante elliptique ; le sujet il n’est pas exprimé.

 

2° Ellipse du verbe

 

- Lui avez-vous parlé ?

 

- Oui, hier soir.

 

Oui, hier soir : proposition indépendante avec ellipse du verbe.

 

2. Formes des propositions indépendantes

 

Une proposition indépendante peut être :

 

1° Affirmative :

 

J’ai vu un bateau.

 

2° Négative :

 

Les voisins ne chantent pas.

3° Exclamative :

 

Quel bon repas nous avons fait !

4° Incise ou intercalée :

 

Je t'invite, me dit-il, au stade.

Remarques. Les propositions indépendantes peuvent être :

 

1° Coordonnées :

Il n’avait plus aucun espoir proposition indépendante

 

2° Juxtaposées :

 

Il courait à perdre haleine, proposition indépendante

et il le savait bien.

 

proposition indépendante coordonnée par et

 

un chien le poursuivait. proposition juxtaposée

II. PROPOSITIONS SUBORDONNÉES

 

Généralités

 

1° Une proposition est dite subordonnée lorsqu'elle ne se suffit pas à elle-même. Elle dépend, pour sa construction et sa signification, d’une autre proposition, appelée proposition principale.

 

Il m ’a dit qu’il viendrait.

 

Qu’il viendrait, second membre de la phrase, est une proposition subordonnée à la première, Il m ’a dit, proposition principale.

 

2° La proposition subordonnée modifie ou complète le sens de la proposition dont elle dépend.

 

Je l’ai vu pendant qu’il enjambait la clôture.

 

Dans cette phrase, il y a deux propositions : la proposition principale, Je l’ai vu, et la proposition subordonnée, pendant qu’il enjambait la clôture, qui complète la proposition principale en introduisant une idée de temps.

Nature des subordonnées

 

Il y a diverses manières de construire une proposition subordonnée. Elle peut être introduite par un pronom relatif, une conjonction de subordination ou un mot interrogatif (pronom, adjectif, adverbe). Aussi distingue-t-on :

 

1° Les propositions subordonnées relatives.

 

L’homme qui gesticule.

 

Qui, pronom relatif, introduit la proposition subordonnée relative.

 

La proposition subordonnée relative complète toujours un nom ou un pronom.

 

Je vois un écureuil qui saute de branche en branche.

 

Ici, la proposition subordonnée relative complète le nom écureuil.

 

2° Les propositions subordonnées conjonctives.

 

Il prétend que notre fils s’est sauvé.

 

Que notre fils s’est sauvé est une proposition subordonnée conjonctive introduite par la conjonction que.

 

a) Quand, par rapport à la proposition principale, la proposition subordonnée conjonctive joue un rôle de sujet, de complément d’objet direct ou indirect, elle est appelée proposition subordonnée complétive.

b) Quand la proposition subordonnée conjonctive joue le rôle d’un complément circonstanciel, elle est dite proposition subordonnée circonstancielle.

 

3° Les propositions subordonnées interrogatives indirectes.

 

Elle me disait combien elle m’aimait.

 

Combien elle m’aimait est une proposition subordonnée interrogative indirecte introduite par l’adverbe interrogatif combien.

 

4° Les propositions subordonnées infinitives et participiales.

 

Elles ne sont introduites par aucune conjonction de subordination.

 

J’entends tomber la pluie.

 

proposition subordonnée infinitive

 

Toute affaire cessante, il s ’en alla.

 

proposition subordonnée

 

participiale

III. PROPOSITIONS SUBORDONNÉES RELATIVES

 

Généralités

 

1° Une proposition est dite relative quand elle est reliée à la principale par un pronom relatif ou, dans certains cas, par un adjectif relatif.

 

2° La proposition subordonnée relative joue, auprès d’un groupe nominal, le même rôle qu'un adjectif ou un complément de détermination (complément du nom). Comparer :

 

Les solutions qui n’étaient pas convaincantes étaient repoussées. proposition subordonnée relative

 

Les solutions non convaincantes étaient repoussées.

 

épithète

 

Les solutions sans conviction étaient repoussées.

 

complément de

 

détermination

1. Relatives déterminatives et relatives explicatives (ou appositives)

 

On distingue deux types de propositions subordonnées relatives :

 

A. Les relatives déterminatives

 

Ce sont celles qu’on ne peut supprimer sans rendre la phrase incompréhensible ou sans en altérer le sens. Au même titre que l’article défini et le démonstratif, les propositions subordonnées relatives déterminatives jouent un rôle de déterminant.

 

Je n 'aime pas les élèves qui ne travaillent pas.

 

J’irai à Marseille dans les jours qui viennent.

 

En somme, les propositions subordonnées relatives déterminatives permettent de distinguer d’autres personnes (ou d’autres choses) appartenant à la même catégorie.

 

B. Les relatives explicatives (ou appositives)

 

1° Elles ne sont pas indispensables pour la signification de la phrase. Leur effacement n’entraîne pas une profonde altération : la phrase reste acceptable. Elles jouent donc un simple rôle d’addition, de précision.

 

Ces oiseaux qui chantent dans les arbres sont des rossignols.

 

Si on supprime la proposition subordonnée relative explicative (ou apposi-tive) qui chantent dans les arbres, la phrase garde un sens :

 

Ces oiseaux sont des rossignols.

 

2° Les propositions subordonnées relatives explicatives (ou appositives) ont généralement une valeur circonstancielle :

 

a) de cause :

 

L’enfant que piqua l’abeille s ’enfuit.

 

= parce que l’abeille le piqua

b) de concession : Cette chaise qui est debout est vermoulue.

 

= bien qu’elle ou quoiqu’elle soit debout.

 

2. L’antécédent

 

1° L’antécédent est le mot auquel renvoie le pronom relatif de la proposition subordonnée relative.

 

L’homme qui est dans la rue.

 

Dans cette phrase, le pronom relatif qui, remplace le mot homme. Celui-ci est l’antécédent du pronom relatif.

 

2° L’antécédent peut être :

 

a) un nom :

 

Distribuez-leur les bonbons qui sont dans le placard.

 

b) un pronom :

 

Voici ce que je vous ai promis.

Remarque. Le pronom relatif suit immédiatement l’antécédent. Cependant il peut en être séparé.

 

Les élèves sont là qui vous attendent.

3. Absence d’antécédent

 

Certaines propositions subordonnées relatives ne possèdent pas d’antécédent exprimé dans la phrase. Elles sont équivalentes, pour le sens, à des propositions subordonnées relatives complétant et explicitant l’antécédent celui.

 

Qui vivra verra.

 

= Celui qui vivra verra.

 

Il y aura une récompense pour qui ramènera le bandit.

 

= pour celui qui ramènera le bandit

 

Remarque. Les pronoms relatifs indéfinis (qui que, quoi que, qui que ce soit, quoi que ce soit, quiconque) ont pour caractéristique générale de n’avoir jamais d’antécédent.

 

Quoi qu’i/ arrive, je serai toujours là.

 

Quiconque osera te toucher aura des ennuis.

4. Accord dans les subordonnées relatives

 

1° Le groupe verbal de la proposition subordonnée relative s’accorde en genre et en nombre avec l’antécédent.

 

J'ai retrouvé cette chaise qui était volée.

 

Dans cette phrase le participe passé, volée, du verbe de la proposition subordonnée relative s’accorde avec l’antécédent chaise.

 

2° Quand l’antécédent est un pronom personnel, l’auxiliaire du verbe de la proposition subordonnée relative s’accorde avec lui.

 

C’est moi qui ai cassé ce carreau.

 

3° Quand la proposition subordonnée relative a pour pronom relatif que et que celui-ci est en fonction de complément d’objet direct d’un verbe conjugué, il impose le genre et le nombre du mot auquel il se rapporte (nom) au participe passé du verbe :

 

Les fleurs que j’ai cueillies.

 

féminin féminin

 

pluriel pluriel

5. Le mode dans les subordonnées relatives

 

A. Le mode dans les relatives explicatives

 

Dans les propositions subordonnées relatives explicatives (ou appositives), on emploie, en général, l’indicatif ou le conditionnel, en cas d’hypothèse :

 

Nous aurons tout ce que nous voudrons.

 

indicatif

 

C’est Pierre qui serait le coupable présumé.

 

conditionnel

B. Le mode dans les relatives déterminatives
Dans les propositions subordonnées relatives déterminatives, on emploie le subjonctif :
1° quand la proposition subordonnée relative a une valeur de volonté, d’intention ou de conséquence envisagée :
Je veux un pantalon qui n 'ait aucune marque.
2° quand la proposition subordonnée relative se trouve après un superlatif relatif :
Le plus grand joueur que j'aie jamais vu.
3° quand la proposition subordonnée relative se trouve après ne... que, seulement.
Il n’y a qu’un homme qui soit capable d’une telle perfidie.
4° quand la proposition subordonnée relative exprime une restriction, généralement après le seul, le premier, le dernier, l’unique...
Tu es le seul qui puisse me supporter.
Tu es l’unique être qui veuille de moi.
Remarques.
1° Dans tous ces cas, on peut aussi bien employer le conditionnel qui exprime une idée d’incertitude, mais beaucoup plus limitée :
Je cherche une maison qui aurait un grand balcon.
2° Ou encore l’indicatif qui élimine toute idée de doute :
Tu es la seule à qui j'ai osé vouloir plaire et peut-être la seule à qui j’ai plu. (Flaubert).
3° On emploie généralement l’infinitif après où et après les relatifs précédés d’une préposition.
Je ne sais où aller.
Je cherche un canapé sur lequel m’étendre.
6. Fonctions des subordonnées relatives
A. Complément de détermination
Les propositions subordonnées relatives ont comme fonction celle de complément de détermination (ou complément de nom).
Cette petite maison qui appartient à mon père est vendue.
La proposition subordonnée relative, qui appartient à mon père, est complément de détermination du noyau ou de l’antécédent maison.
B. Apposition
Les propositions subordonnées relatives peuvent aussi être mises en apposition.
Cette fenêtre, qui est ouverte, m'inquiète.
Qui est ouverte est apposée à l’antécédent fenêtre.
IV. PROPOSITIONS SUBORDONNÉES COMPLETIVES
Généralités
1° Les propositions subordonnées complétives sont celles qui, dans la phrase complexe, ont :
a) une fonction de complément d’objet direct ou de sujet du verbe de la principale :
Il me dit qu’il pleut.
complément
d’objet direct
Qu’il parle constamment ne m'enchante guère.
sujet
b) une fonction de complément de détermination d’un nom ou d’un adjectif.
La crainte qu’on le voit le faisait trembler.
groupe complément du
nominal groupe nominal
Je suis heureux que vous vous plaisiez ici. adjectif complément de l’adjectif attribut attribut
2° Il y a trois sortes de complétives :
Les propositions subordonnées complétives introduites par une conjonction.
Les propositions subordonnées interrogatives indirectes.
Les propositions subordonnées infinitives.
1. Les subordonnées complétives introduites par que
Les propositions subordonnées complétives introduites par la conjonctior que dépendent généralement des verbes déclaratifs ou de constatation (pro clamer, dire, raconter,penser, voir, observer, croire...), des verbes d’ordre oi de volonté (vouloir, souhaiter, aimer...), de sentiment (craindre, admirer...).
Je crois que vous avez tort.
Je souhaite qu ’il réussisse.
A. Fonctions des complétives introduites par que
Les propositions subordonnées complétives introduites par que assumen diverses fonctions :
1° Sujet :
Qu’il soit avare ne m'étonne pas.
sujet
Dans cette phrase, on peut remplacer la proposition subordonnée complétivi par un groupe nominal en position de sujet :
Son avarice ne m'étonne pas.
2° Attribut :
C’est stupide qu’il s’en aille.
attribut
3° Complément d’objet direct :
J’apprends que vous êtes élu.
complément
d’objet direct
On peut substituer à la proposition subordonnée complétive, que vous ête élu, un groupe nominal en fonction de complément d’objet direct :
J’apprends votre élection.
complément d’objet direct
4° Complément de détermination d’un nom (ou complément du nom) :
La certitude qu’il va partir l’attriste.
groupe complément de
nominal détermination du
groupe nominal
On peut aisément remplacer la proposition subordonnée complétive par ui groupe nominal ayant la même fonction :
La certitude de son départ l'attriste.
5° Complément de détermination d’un adjectif :
Il est certain que la terre est ronde.
adjectif complément de détermination
de l’adjectif
B. Le mode dans les complétives introduites par que
Dans les propositions subordonnées complétives introduites par que, li mode peut être soit l’indicatif (ou le conditionnel), soit le subjonctif.
1° Indicatif
On emploie l’indicatif lorsque l’existence du fait ou de l’événement signal par la proposition subordonnée relève du probable ou du certain. C’est sou

« \ b) Quand la proposition subordonnée conjonctive joue le rôle d'un complé­ ment circonstanciel, elle est dite proposition subordonnée circonstancielle.

3° Les propositions subordonnées interrogatives indirectes.

Elle me disait combien elle m'aimait.

Combien elle m'aimait est une proposition subordonnée interrogative indi­ recte introduite par l'adverbe interrogatif combien.

4° Les propositions subordonnées infinitives et participiales.

Elles ne sont introduites par aucune conjonction de subordination.

J'ent ends tomber la pluie.

proposition subordonnée infinitive Toute affaire cessante, il s 'en alla.

proposition subordonnée participiale Il l.

PROP OSITIONS SUBORDONN ÉES RE LATIVES Généralités 1 o Une proposition est dite relative quand elle est reliée à la principale par un pronom relatif ou, dans certains cas, par un adjectif relatif.

2° La proposition subordonnée relative joue, auprès d'un groupe nominal, le même rôle qu'un adjectif ou un complément de détennination (complément du nom).

Comparer : Les solutions qui n'étaient pas convai ncantes étaient repoussées.

proposition subordonnée relative Les solutions non convaincantes étaient repoussées.

épithète Les solutions sans conviction étaient repoussées.

complément de détermination 1.

Re latives déterminatives et relatives exp licatives (ou appositives) On distingue deux types de propositions subordonnées relatives : A Les relatives déterminatives Ce sont celles qu'on ne peut supprimer sans rendre la phrase incompréhen­ sible ou sans en altérer le sens.

Au même titre que l'article défini et le démonstratif, les propositions subordonnées relatives déterminatives jouent un rôle de déterminant.

Je n'aime pas les élèves qui ne trav aillent pas.

J'irai à Marseille dans les jours qui viennent.

En somme, les propositions subordonnées relatives déterminatives permet­ tent de distinguer d'autres personnes (ou d'autres choses) appartenant à la même catégorie.

B.

Les relatives explicatives (ou appositives) 1 o Elles ne sont pas indispensables pour la signification de la phrase.

Leur effacement n'entraîne pas une profonde altération : la phrase reste accep­ table.

Elles jouent donc un simple rôle d'addition, de précision.

Ces oiseaux qui chantent dans les arbres sont des rossignols.

Si on supprime la proposition subordonnée relative explicative (ou apposi­ tive) qui chantent dans les arbres, la phrase garde un sens : Ces oiseaux sont des rossignols.

2° Les propositions subordonnées relatives explicatives (ou appositives) ont généralement une valeur circonstancielle : a) de cause : L'enfant que piqua l'abeille s'enfuit.

= parce que l'abeille le piqua Grammaire b) de concession : Cette chaise qui est debout est vermoulue.

- bien qu'elle ou quoiqu'elle soit debout.

2.

L'antécédent 1 o L'antécédent est le mot auquel renvoie le pronom relatif de la proposition subordonnée relative.

Uhomme qui est dans la rue.

Dans cette phrase, le pronom relatif qui, remplace le mot homme.

Celui-ci est l'antécédent du pronom relatif.

2° L'antécédent peut être: a) un nom : Distribuez-leur les bonbons qui sont dans le placar d.

b) un pronom : Voici ce que je vous ai pr omis.

Remarque.

Le pronom relatif suit immédiatement l'antécédent.

Cependant il peut en être séparé.

Les élèves sont là qui vous attend ent.

3.

Absence d'antécédent Certaines propositions subordonnées relatives ne possèdent pas d'antécédent exprimé dans la phrase.

Elles sont équivalentes, pour le sens, à des proposi­ tions subordonnées relatives complétant et explicitant l'antécédent celui.

Qui vivra verra.

- Celui qui vivra verra.

Il y aura une récom pense pour qui ramènera le bandit.

- pour celui qui ramènera le bandit Remarque.

Les pronoms relatifs indéfinis (qui que, quoi que, qui que ce soit, quoi que ce soit, quiconque) ont pour caractéristique générale de n'avoir jamais d'antécédent.

Quoi qu'il arrive, je serai toujours là.

Quiconque osera te toucher aura des ennuis.

4.

Accord dans les subordonnées relatives 1° Le groupe verbal de la proposition subordonnée relative s'accorde en genre et en nombre avec l'antécédent.

J'ai retro uvé cette chaise qui était volée.

Dans cette phrase le participe passé, volée, du verbe de la proposition subor­ donnée relative s'accorde avec l'antécédent chaise.

2° Quand l'antécédent est un pronom personnel, l'auxiliaire du verbe de la proposition subordonnée relative s'accorde avec lui.

C' est moi qui ai cassé ce carreau.

3° Quand la proposition subordonnée relative a pour pronom relatif que et que celui-ci est en fonction de complément d'objet direct d'un verbe conju­ gué, il impose le genre et le nombre du mot auquel il se rapporte (nom) au participe passé du verbe : Les fleurs que j'ai cueillies.

féminin féminin pluriel pluriel 5.

Le mode dans les subordonnées relatives A Le mode dans les relatives explicatives Dans les propositions subordonnées relatives explicatives (ou appositives), on emploie, en général, l'indicatif ou le conditionnel, en cas d'hypothèse : Nous aurons tout ce que nous voudrons.

indicatif C' est Pierre qui serait le coupable présumé.

conditionnel. »

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