Devoir de Philosophie

Rio de Janeiro.

Publié le 06/12/2013

Extrait du document

Rio de Janeiro. ville du Brésil, capitale d'État, sur le côté ouest de la baie de Rio de Janeiro, ou Bahia de Guanabara. 5 600 000 habitants, dans une agglomération de 12 100 000 habitants. Deuxième ville de l'Amérique du Sud, elle est, avec São Paulo, l'un des deux grands foyers industriels du Brésil, doté d'un important secteur agroalimentaire, de constructions mécaniques et électriques, d'une métallurgie de l'aluminium, d'industries chimiques et pétrochimiques et d'industries textiles. C'est également un port, avec un trafic de l'ordre de plusieurs millions de tonnes, et un centre commercial de premier plan, dont les activités principales sont centrées sur l'exportation du café, du cacao, du sucre, du coton, du tabac, des minerais et des diamants. Les deux aéroports de la ville en font une plaque tournante tant pour le réseau intérieur que pour les lignes internationales. Rio possède une université, fondée en 1920, des instituts d'études supérieures, une école militaire, une école d'architecture moderne et plusieurs musées. Son carnaval est l'un des plus célèbres du monde. La ville occupe un site d'une très grande beauté : un ensemble de plaines sableuses et de vastes vallées que dominent des pitons rocheux dont le plus célèbre est le Pain de Sucre (Pão d'Açúcar), qui s'élève à 390 m, et le plus haut, le mont Corcovado (704 m). Au sommet de cette dernière montagne, que l'on peut atteindre par un chemin de fer à crémaillère, se dresse une statue du Christ, de 38 m de haut. La vieille ville de Rio a été modernisée, depuis 1902, par la construction de nouvelles artères, parmi lesquelles on peut citer la majestueuse Avenida Rio Branco. L'Avenida Beira Mar et l'Avenida Atlántica forment une promenade de près de 10 kilomètres de long, bordant la plage célèbre de Copacabana. Aujourd'hui, Rio comprend un quartier important de gratte-ciel. Un vieux quartier noir, qui monte aux flancs des montagnes, forme, avec ses bidonvilles (les favelas), un contraste frappant avec le reste de la ville. Rio de Janeiro, dont le nom signifie « rivière de janvier », doit d'avoir été ainsi baptisée au fait que la région qui entoure la baie fut découverte le 1 er janvier 1502. Au cours des années 1540-1550, cette région fut colonisée par les Portugais. En 1763, Rio devint la résidence du vice-roi du Brésil ; après la création de l'empire du Brésil, elle fut la capitale du pays jusqu'en 1960. Elle devint alors la capitale de l'État de Guanabara, puis, en 1975, celle de l'État de Rio de Janeiro (43 853 km2 ; 14 millions d'habitants). Le traité de Rio. Ce traité d'assistance militaire fut signé le 2 septembre 1947 par tous les États du continent américain, à l'exception du Canada, de l'Équateur et du Nicaragua. D'après le traité, une agression commise par un pays non américain contre l'un des membres est considérée comme dirigée contre tous les pays signataires. Le sommet de Rio. En juin 1992, la Conférence des Nations unies sur l'environnement et le développement (CNUED), dite « sommet de la Terre », a réuni à Rio de Janeiro cent soixante-dix-huit délégations nationales. Outre « l'Agenda 21 », programme d'action de la CNUED pour le XXIe siècle, ont été adoptées deux déclarations et deux conventions. La « déclaration de Rio », ou charte de la Terre, énonce vingt-sept grands principes pour bien gérer les ressources de la planète, tandis que la « déclaration sur la forêt » paraît être un texte peu contraignant pour les pays à fort potentiel forestier. La « convention climat », pour réduire la pollution atmosphérique (soupçonnée d'aggraver l'effet de serre et le réchauffement du climat), fut adoptée à l'unanimité, alors que les États-Unis n'ont pas signé la « convention biodiversité », dont le but est de préserver la faune et la flore menacées de disparition. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats pollution - Les polluants : de l'environnement à l'homme - Une loi sur l'air protection de la nature - La mise en oeuvre de la conservation de la nature - La conservation des écosystèmes Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Amérique du Sud - Géographie - L'organisation de l'espace bidonville bougainvillée Brasília Brésil - Géographie - L'organisation de l'espace carnaval Duguay-Trouin René environnement favela pain de sucre Les natifs de ce lieu Cavalcanti Alberto Niemeyer Soares Filho Oscar Villa-Lobos Heitor Wehnelt Arthur Rudolph Berthold Les médias Brésil - carte physique Amérique du Sud - carte physique Amérique du Sud - carte politique Les livres carnaval - le carnaval de Rio, page 875, volume 2 pain de sucre, page 3663, volume 7 Rio de Janeiro, page 4397, volume 8 ville - une favela de Rio de Janeiro, au Brésil, page 5545, volume 10 Brésil - les favelas de Rio de Janeiro, page 745, volume 2 Brésil - le stade Maracaña, à Rio de Janeiro, page 745, volume 2

« Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats pollution - Les polluants : de l'environnement à l'homme - Une loi sur l'air protection de la nature - La mise en œuvre de la conservation de la nature - La conservation des écosystèmes Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Amérique du Sud - Géographie - L'organisation de l'espace bidonville bougainvillée Brasília Brésil - Géographie - L'organisation de l'espace carnaval Duguay-Trouin René environnement favela pain de sucre Les natifs de ce lieu Cavalcanti Alberto Niemeyer Soares Filho Oscar Villa-Lobos Heitor Wehnelt Arthur Rudolph Berthold Les médias Brésil - carte physique Amérique du Sud - carte physique Amérique du Sud - carte politique Les livres carnaval - le carnaval de Rio, page 875, volume 2 pain de sucre, page 3663, volume 7 Rio de Janeiro, page 4397, volume 8 ville - une favela de Rio de Janeiro, au Brésil, page 5545, volume 10 Brésil - les favelas de Rio de Janeiro, page 745, volume 2 Brésil - le stade Maracaña, à Rio de Janeiro, page 745, volume 2. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles