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séisme.

Publié le 08/12/2013

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séisme. n.m., ébranlement brutal plus ou moins violent de l'écorce terrestre. Les séismes ont leur origine en profondeur, en un point appelé hypocentre ou foyer. L'épicentre est localisé à la surface du sol, à la verticale du foyer. Celui-ci peut-être superficiel, à moins de 100 km de profondeur ; intermédiaire, entre 100 et 300 km ; profond, jusqu'à 700 km ; il n'y a plus de foyer sismique au-dessous de cette profondeur. Les séismes se déclenchent lors de la libération brutale de contraintes accumulées par des déplacements tectoniques ou par des montées magmatiques (séismes volcaniques). Les ondes sismiques. Les ondes émises par un séisme sont de trois types : des vibrations longitudinales, en compression, les ondes P, parallèles à la direction de propagation, les plus rapides, leur vitesse de propagation atteignant 3,5 à 14 km/s, suivant la nature des roches et la profondeur de propagation ; des vibrations transversales, ou ondes S, en cisaillement perpendiculaire à la direction de propagation, moins rapides que les ondes P (la vitesse des ondes P est environ supérieure de 1,7 fois à la vitesse des ondes S) ; des ondes superficielles, ou ondes L, de grande longueur d'onde, qui sont plus lentes encore que les ondes S. Complétez votre recherche en consultant : Les livres séisme - propagation et enregistrement des ondes sismiques, page 4724, volume 9 L'étude des séismes. Les secousses telluriques sont analysées (et décelées lorsqu'elles sont faibles) par des sismographes qui enregistrent sur un sismogramme l'heure d'arrivée des différents trains d'ondes et l'amplitude des vibrations. Le décalage de l'heure d'arrivée des différents types d'ondes renseigne sur l'éloignement du foyer : plus le décalage des temps d'arrivée des ondes P et S est grand, plus le foyer est éloigné. Les destructions provoquées par les séismes dépendent de l'énergie libérée, de la position de l'épicentre par rapport à la densité de l'urbanisation ou de la population, de la nature des terrains supportant les constructions, du type de construction : les immeubles à armature bien solidarisée résistent mieux que les constructions classiques. Les constructions conçues pour résister aux séismes sont dites parasismiques. Les séismes sont classés en fonction de leur intensité, suivant deux échelles. La première est subjective, fondée sur l'étendue des dégâts observés : c'est l'échelle de Mercalli, qui comporte douze degrés. Au degré 1, le séisme n'est perçu que par les sismographes ; au degré 7, les édifices en pierre se fissurent ; au degré 10, la plupart des constructions s'effondrent ; au degré 12, le paysage est bouleversé : éboulements, failles, détournements de rivières... Partant de l'observation des destructions, il est possible de tracer une carte isoséiste, sur laquelle les zones ayant subi le même degré de destruction sont matérialisées par des lignes : les courbes isoséistes. Plus les courbes isoséistes sont serrées et plus le foyer est proche de la surface. La seconde échelle, l'échelle de Richter, est objective et exprime la magnitude du séisme. La magnitude correspond au logarithme de l'amplitude des vibrations enregistrées par un sismographe étalonné en fonction de la distance épicentrale. Les plus forts séismes enregistrés avaient une magnitude de 8,6. Complétez votre recherche en consultant : Les livres séisme - fonctionnement du sismographe, page 4724, volume 9 tectonique des plaques - coupe schématique d'une zone de subduction, page 5089, volume 9 Localisation et répartition des séismes. Les séismes sont fréquents dans les régions où les contraintes tectoniques sont les plus fortes. Ce sont des régions particulières de l'écorce terrestre situées en bordure des plaques lithosphériques, comme la « Ceinture de feu » du Pacifique, le long des dorsales médio-océaniques, ainsi qu'à l'intérieur de certaines zones continentales. On sait, en effet, que la croûte terrestre, mince coquille solide entourant le globe, est divisée en « plaques » qui, soit se séparent le long des dorsales océaniques ou des fossés continentaux (tel le rift est-africain), soit entrent en collision (Ceinture du Pacifique, Méditerranée du Nord, Iran, Him?laya), soit, enfin, glissent horizontalement les unes contre les autres (failles de San Andreas, en Californie). Les séismes sont plus violents et plus fréquents dans les grandes régions de plissement ou dans les zones les plus volcaniques. La sismicité (ou séismicité) exprime la fréquence des séismes en un lieu donné : par exemple, 1 450 secousses par an en moyenne au Japon. La sismologie (ou séismologie) étudie les séismes et la propagation des ondes sismiques à travers le globe. Cette étude a permis de déceler la structure en enveloppes concentriques du globe terrestre. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Japon - Géographie - Les conditions naturelles - Le volcanisme Nouvelle-Zélande - Géographie - Les conditions naturelles Les livres séisme - les principales zones sismiques, page 4723, volume 9 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats épicentre Japon - Géographie - Les conditions naturelles - Le volcanisme Nouvelle-Zélande - Géographie - Les conditions naturelles océanographie - Introduction parasismique (mesure) Richter (échelle de) sismographe tectonique des plaques - Les failles transformantes tectonique des plaques - Les zones de subduction, ou marges actives tremblement de terre volcanologie - La prévision des éruptions Les médias séisme - quelques tremblements de terre célèbres sismographe tsunami Les livres séisme - les destructions du séisme de mai-juin 1970, au Pérou, page 4723, volume 9 séisme - les effets d'un tremblement de terre en Californie, page 4723, volume 9 séisme du 2 janvier 1989 en Arménie, page 4723, volume 9 Mexique - tremblement de terre à Mexico, en 1985, page 3183, volume 6

« plaques lithosphériques, comme la « Ceinture de feu » du Pacifique, le long des dorsales médio-océaniques, ainsi qu'à l'intérieur de certaines zones continentales.

On sait, en effet, que la croûte terrestre, mince coquille solide entourant le globe, est divisée en « plaques » qui, soit se séparent le long des dorsales océaniques ou des fossés continentaux (tel le rift est-africain), soit entrent en collision (Ceinture du Pacifique, Méditerranée du Nord, Iran, Himālaya), soit, enfin, glissent horizontalement les unes contre les autres (failles de San Andreas, en Californie).

Les séismes sont plus violents et plus fréquents dans les grandes régions de plissement ou dans les zones les plus volcaniques. La sismicité (ou séismicité) exprime la fréquence des séismes en un lieu donné : par exemple, 1 450 secousses par an en moyenne au Japon.

La sismologie (ou séismologie) étudie les séismes et la propagation des ondes sismiques à travers le globe.

Cette étude a permis de déceler la structure en enveloppes concentriques du globe terrestre. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Japon - Géographie - Les conditions naturelles - Le volcanisme Nouvelle-Zélande - Géographie - Les conditions naturelles Les livres séisme - les principales zones sismiques, page 4723, volume 9 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats épicentre Japon - Géographie - Les conditions naturelles - Le volcanisme Nouvelle-Zélande - Géographie - Les conditions naturelles océanographie - Introduction parasismique (mesure) Richter (échelle de) sismographe tectonique des plaques - Les failles transformantes tectonique des plaques - Les zones de subduction, ou marges actives tremblement de terre volcanologie - La prévision des éruptions Les médias séisme - quelques tremblements de terre célèbres sismographe tsunami Les livres séisme - les destructions du séisme de mai-juin 1970, au Pérou, page 4723, volume 9 séisme - les effets d'un tremblement de terre en Californie, page 4723, volume 9 séisme du 2 janvier 1989 en Arménie, page 4723, volume 9 Mexique - tremblement de terre à Mexico, en 1985, page 3183, volume 6. »

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