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Bulbes, pseudobulbes et tubercules

Publié le 10/05/2012

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Les bulbes, les pseudobulbes et les tubercules sont les stades de repos spécialement modifiés de certaines plantes, capables de vivre à l'état de dormance (sans aucune activité vi taie) sous des conditions climatiques défavorables (d'habitude la sécheresse). Vous achèterez les bulbes et autres à différentes saisons de l'année, en fonction de leur époque de plantation. Soyez perspicaces lors de vos achats et veillez à ce que les conditions d'entreposage des bulbes dans le magasin respectent bien les desiderata de ceux-ci. Les gros bulbes ne sont pas toujours plus avantageux que les petits. Bien que les bulbes, pseudobulbes et tubercules possèdent en eux-mêmes leur nourriture, il est conseillé de les nourrir. Le terrain dans lequel vous les planterez sera soigneusement préparé au préalable. Assurez-vous que le

drainage est suffisant pour supprimer tout risque de pourriture. Les bulbes et autres peuvent également être plantés dans une pelouse. Il n'y a pas de règles bien particulières à donner pour la profondeur à laquelle les bulbes doivent être plantés. Dans la maison , les plantes grandiront en pots. Les bulbes peuvent également être plantés en serre ; parmi ces bulbes de serre, on compte ceux que l'on fait pousser en serre froide pour obtenir une floraison précoce. Pendant tout le temps de la croissance des plantes, celles-ci nécessiteront un engrais, qui doit être à dominance potassique, et n'oubliez pas d'arroser vos bulbes, car un dessèchement pendant leur croissance peut les faire rater complètement. Quand les feuilles de vos bulbes commenceront à jaunir, cessez les arrosages et laissez les bulbes en repos.

« Généralités Les bulbes, les pseudobulbes et les tubercules con­ tiennent une provision concentrée de nourriture et des bourgeons dormants; certains , à l'intérieur des bulbes surtout, ont déjà des boutons de fleurs tout formés, et, quand des conditions favorables de crois­ sance reviennent, les fleurs et les feuilles éclosent en très peu de temps .

A cause de cette période de non-activité , on peut les arracher, les transporter et les conserver sans trop de dommage pour leur crois­ sance future.

Les bulbes contiennent leur réserve de nourriture dans des feuilles transformées en écailles, serrées autour du nouveau bourgeon , comme dans les bulbes de lis.

Ou bien c'est la base épaisse d'une feuille qui entoure le bourgeon, comme pour les tulipes ou les narcisses et les aulx.

Dans un second type, l'ex térieur du bulbe est protégé par des feuilles de base sèches, et souvent coriaces.

Toute la végétation part d'une surface aplatie d'où sortira la tige , qu ' on appelle «platea u», et d'où s'échapperont les racines.

Les plantes bulbeuses appartiennent à la famille des liliacées, des amaryllidacées ou des iridacées.

A la différence des bulbes , c'est dans la tige , souvent épaissie, que les pseudobulbes contiennent leurs réserves.

Le bourgeon lui-même apparaît au centre de la surface supérieure.

D'autres bourgeons peuvent apparaître sur le pourtour.

Les écailles protectrices sont sèches.

Les racines se forment au bord de la cicatrice laissée par le pseudobulbe de l'année précé­ dente.

Chaque bourgeon est capable de former un nouveau pseudobulbe et, ainsi , de petits caïeux se forment autour du pseudobulbe principal et multiplient la plante: c'est le cas pour les iridacées.

La surface d'un tubercule peut provenir d'une tige, ou à la fois d'une tige et de son talon , mais quoiqu 'un tubercule à tige produise des racin es quand il com ­ mence sa végétation, il est rare qu'un tuberc ule­ racine .

qui a perdu son bourgeon en produi se un autre.

Les tubercule s peuvent avoir des écailles, mais ils sont généralement nus.

Les tubercules ne sont pas un bon moyen de multiplication , car ils n'en forment pas de nouveaux autour d'eux, comm e le font les bulbes et les pseudobulbes.

profondeur ". »

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