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La pollution de l'environnement

Publié le 29/03/2014

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  15 La radioactivité , phénomène qui fut découvert en1896parHenri Becquerelsurl'uraniumet très vite confirméparMarie Curiepour leradium,est un physique naturel au cours duquel desnoyaux atomiquesinstables, ditsradio-   isotopes,se transforment spontanément («désintégration») en dégageant del'énergiesous forme derayonnements divers, pour se transformer en des noyaux atomiques plus stables ayant perdu une partie de   leurmasse.Les rayonnements ainsi émis sont appelés,  selon le cas, des  rayons    α ,des  rayons    β  ou des  rayons    γ . Un allergène est une substance, une particule, un corps organique(atome,molécule,protéine)capable de provoquerune réactionallergiquechez un sujet préalablement sensibilisé lorsqu'il est à son contact (le plus souvent par contact   avec lapeau,inhalation, ou ingestion). Un allergène est dit « majeur  » quand unantigènepurifié déclenche uneallergie chez 50 % ou plus des patients testés, et qu'il présente desIgEspécifiques, avec destests   cutanésimmédiatement positifs, à une concentration très faible, chez au moins 90 % des sujets ayant la maladie   allergique en relation avec cet allergène. Par exemple, l’ arachidecontient - sur 7 allergènes identifiés - 3 allergènesmajeurs et un quatrième qui l'est presque.Poussière,pollens,sporesdemoisissures,poilsd'animaux sont les allergènes les plus fréquents, bien que denombreuses autres substances puissent devenir un allergène pour un sujet donné.   On ne devient allergique qu'avec au moins deux  contacts avec un allergène.  Le premier contact n'entraîne aucune réaction visible : lescellulesresponsables de l'allergie deviennent   hypersensibles (par un mécanisme mal connu) à une substance normalement inoffensive.  Aux contacts suivants, l'allergène entraînera, en se  liant aux cellules suscitées, une cascade de réact ionsaboutissant à une manifestation allergique (du simplerhume des foinsauchoc anaphylactique,en passant par la   crise d'asthme). On parle de « sensibilisation  », qui peut être exacerbée par des cofacteurs ou allergies croisées.L'allergie est le plus souvent induite par uneprotéineporteuse de l'allergène qui rencontre une cellule immunitaire et   réagit avec elle : chez le sujet allergique à cet allergène, les cellules responsables de l'allergie(mastocyteen   particulier) vont réagir à ce contact (cette étape ne se produit pas chez le sujet sain) et libérer des moléculeschimiques responsables des symptômes allergiques :histamine,sérotonine,PAF,leucotriènes,prostaglandines,etc.L'histamine entraîne en particulier vasodilatation (dilatation desveineset desartères), broncho constriction(rétrécissement desbronches),prurit(envie de se gratter), douleur : lorsque ces phénomènes se diffusent au corps   entier, on observe unchoc anaphylactique,accompagné d'un phénomène d'angoisse(latension artérielles'effondre   en réponse à la dilatation de tous les vaisseaux, les organes ne sont plus assez perfusés, et la mort survient sauf en   cas de traitement précoce).L' environnement est défini comme « l'ensemble des éléments (biotiques ou abiotiques) qui entourent un individu ouune espèce et dont certains contribuent directement à subvenir à ses besoins », ou encore comme « l'ensemble des   conditions naturelles (physiques, chimiques, biologiques) et culturelles (sociologiques) susceptibles d’agir sur les organismes vivants et les activités humaines ». La notion d'environnement naturel, souvent désignée par le seul mot   « environnement », a beaucoup évolué au cours des derniers siècles et tout particulièrement des dernières   décennies. L'environnement est compris comme l'ensemble des composants naturels de la planète Terre, commel'air, l'eau, l'atmosphère, les roches, les végétaux, les animaux, et l'ensemble des phénomènes et interactions qui s'y   déploient, c'est-à-dire tout ce qui entoure l'Homme et ses activités - bien que cette position centrale de l'Homme soitprécisément un objet de controverse dans le champ de l'écologie.La bioaccumulation  désigne la capacité des organismes à absorber et concentrer dans tout ou une partie de leur   organisme (partie vivante ou inerte telle que l'écorce ou le bois de l'arbre, la coquille de la moule, la corne, etc..)   certaines substances chimiques, éventuellement rares dans l'environnement (oligoéléments utiles ou indispensables,   ou toxiques indésirables). Chez un même organisme, cette capacité peut fortement varier selon l'âge et l'état de   santé, ou selon des facteurs externes (saison, teneur du milieu en nutriments ou cofacteurs).L' électromagnétisme est la branche de laphysiquequi étudie lechamp électromagnétiqueet son interaction avecles particules dotées d'unecharge électrique. Le concept de champ électromagnétique a été forgé au XIX e siècle pour décrire de manière unifiée   lesphénomènesélectriquesetmagnétiques.Des phénomènes tels que l'inductionmontrent en effet que les champsélectrique et magnétique sont liés:  unchamp magnétiquevariable engendre un champ électrique,  unchamp électriquevariable est source d'un champ magnétique.Cet effet de couplage entre les deux champs n'existe pas enélectrostatiqueet enmagnétostatique.Lorsque les   distributions de charge et de courant sont statiques, les champs électriques et magnétiques leur sont en effetdirectement reliés, de sorte que les champs ne sont pas des variables dynamiques indépendantes. En revanche, le   couplage entre les deux champs est la source d'une dynamique complexe (retard, propagation, ...), qui élève le   16 concept de champ électromagnétique au rang de véritable système physique doté d'uneénergieetd'uneimpulsionainsi que d'une dynamique propre. L’effet de serre   est un phénomène naturel lié à l’absorption des rayonnements infrarouge(IR) de grande longueur d’onde renvoyés, par la surface terrestre, par des composés présents dans l’atmosphère, appelés gaz à effet deserre:dioxyde de carbone(CO 2 ),méthane(CH 4 ),eau(H 2 O),ozone(O 3 ),  protoxyde d’azote  (N 2 O), ethalocarbures(dont leCFC). Une partie du rayonnement IR n’est pas renvoyée vers l’espace. L’énergie absorbée est   transformée enchaleur .L’augmentation de l’effet de serre est responsable du réchauffement . L’origine anthropiquedu réchauffement climatique ne fait aujourd’hui pratiquement plus aucun doute chez les experts.   Acidification : L’acidification est l’augmentation de l’acidité d’un sol, d’un cours d’eau ou de l’air en raison des activités humaines. Ce phénomène peut modifier les équilibres chimiques et biologiques et affecter gravement les écosystèmes.   L’augmentation de l’acidité de l’air est principalement due aux émissions de SO 2 , NO x et HCl, lesquels, par oxydation,   donnent les acides HNO 3 et H 2 SO 4 . Les pluies acides qui en résultent ont un pH voisin de 4 à 4,5 »      le secteur de la production d’énergie ;  le secteur des transports ;  le secteur tertiaire ;    l’agriculture   « Dégradation »   est le terme le plus large pour parler d’atteintes au niveau du sol. On parle de dégradation du sol àpartir du moment où le sol est modifié (en général par l'action de l'homme) et qu’il ne peut plus fonctionner  normalement vis à vis des plantes, des animaux, des transferts d'eau... Les dégradations du sol peuvent donc être dedifférentes natures : érosion), tassement du sol, ajout de contaminants, bétonnage du sol, apport de sels (ex: la tempête Xyntia a beaucoup salinisé les sols)… Quand on parle de « co ntamination » et de « pollution », on parle d'unseul type de dégradation (généralement liée aussi à l'homme) qui concerne l'ajout de substances dans les sols (apport de métaux, de pesticides...).Cependant, quand il y a contamination, il n’y a pas forcémen t pollution. Il y a contamination à partir du moment où une substance est présente dans le sol plus que la normale, mais sans qu’il n’y ait forcément de conséquences mesurables et de toxicité vérifiée. On commence à parler de « pollution » quand ondépasse un certain seuil de contamination et que l’on peut mesurer ses conséquences.   La notion de nuisance Le terme nuisance désigne toute dégradation de l'environnement qui ne présente pas d'impact écotoxicologique maisqui a pour conséquence d'induire une gêne pour les personnes qui la subissent. À la différence des pollutions, lesnuisances ne provoquent pas d'effet néfaste sur la santé humaine et/ou sur le plan écologique. Toutefois, elles sontperçues à juste titre par ceux qui y sont exposés comme une modification défavorable de l'environnement.On peutciter, entre autres, les nuisances esthétiques  provoquées par un urbanisme indigent (qui peut altérer gravement laqualité des paysages) ou par la dispersion d'emballages plastiques dans la nature, les nuisances sonores  dues auxbruits liés au voisinage, à la circulation  ou encore aux activités industrielles, ces  bruits ayant des intensités inférieuresau seuil de lésions physiologiques, les nu isances olfactives  résultant de l'émanation d'odeurs nauséabondesprovenant d'activités agricoles ou industrielles.Une confusion fréquente est faite entre pollutions et nuisances. Elle résulte du fait que les premières réglementationsdestinées à protéger l'environnement de l'homme ne faisaient pas la distinction entre des altérations del'environnement de nature fort différente et aux conséquences d'ampleur très inégale tant pour les populationshumaines que pour les milieux naturels. Ainsi, les réglementations successives sur les installations classées  – établissements industriels et autres usines dont les activités sont potentiellement polluantes et qui de ce fait entrentdans un cadre législatif qui définit leur zone d'implantation et contrôle les émissions de polluants  – mettaient sur unmême plan des industries malodorantes et des usines polluantes pour l'atmosphère. Elles ne prenaient donc pas enconsidération le fait qu'il existe une différence fondamentale entre l'émission d'effluents gazeux dont le seulinconvénient est de provoquer une mauvaise odeur et celle de gaz polluants  – certes éventuellement malodorants  –  mais qui présentent surtout une toxicité souvent importante pour les animaux et les végétaux. À l'opposé, certainspolluants de l'air peuvent être d'une effroyable toxicité pour l'homme tout en étant entièrement inodores.   17 À la différence des pollutions, les nuisances ne provoquent donc aucune perturbation écologique ou toxicologique etne concernent généralement que le milieu urbain et les environs des agglomérations. Le concept de nuisance estessentiellement anthropocentrique. Le bruit représente la nuisance la plus répandue. Elle est provoquée par des sonsd'intensité trop forte. À partir d'une certaine intensité, dont les effets nocifs peuvent être accrus par des fréquencestrop basses ou trop élevées, le bruit peut atteindre des valeurs où se produisent des effets physiologiques dangereuxpour l'organisme (cf. sons). Dans la gamme des intensités sonores, il existe des valeurs qui dépassent le seuil dedouleur de l'oreille (120 dB), à partir desquelles peuvent apparaître des lésions physiologiques irréversibles de l'oreilleinterne. Les infrasons (fréquences inférieures à 15 Hz) ont même pu expérimentalement provoquer, à de très fortesintensités, des hémorragies internes mortelles chez des animaux de laboratoire.À la limite des intensités réputées tolérables, c'est-à-dire au-dessous de 80 dB, le bruit excessif, même pendant lesommeil, peut engendrer des effets psychophysiologiques défavorables. Cependant, dans l'immense majorité descas, le bruit reste du domaine des nuisances dans la mesure où ses intensités sont inférieures à celles qui causentdes dommages physiologiques détectables ; il crée en revanche une gêne de voisinage psychologiquementintolérable. La nuisance visuelle (dite encore esthétique) est hélas assez répandue. Elle est liée soit à la laideur del'habitat, soit à l'existence de constructions qui dénaturent le paysage, soit encore à la présence de détrituschimiquement inertes mais qui souillent les sites. Une plage couverte d'emballages rejetés par la mer , la présencedans un espace naturel de nombreux résidus de matières plastiques entraînés par le vent et accrochés auxbranchages constituent une nuisance esthétique, bien qu'il n'y ait très généralement aucune pollution chimiqueassociée. Un autre type de nuisance est constitué par les mauvaises odeurs non associées à des émanationsgazeuses toxiques. Cette nuisance, dite olfactive, est beaucoup moins fréquente que les précédentes etgénéralement circonscrite aux alentours de certaines installations telles que les porcheries et autres élevagesindustriels importants, les usines d'équarrissage, certaines stations d'épuration des eaux usées présentant undysfonctionnement manifeste, etc. BIBLIOGRAPHIE      WIKIPEDIA    ENCYCLOPEDIE UNIVERSALIS    GOOGLE    MTATERRE.COM   15 La radioactivité , phénomène qui fut découvert en1896parHenri Becquerelsurl'uraniumet très vite confirméparMarie Curiepour leradium,est un physique naturel au cours duquel desnoyaux atomiquesinstables, ditsradio-   isotopes,se transforment spontanément («désintégration») en dégageant del'énergiesous forme derayonnements divers, pour se transformer en des noyaux atomiques plus stables ayant perdu une partie de   leurmasse.Les rayonnements ainsi émis sont appelés,  selon le cas, des  rayons    α ,des  rayons    β  ou des  rayons    γ . Un allergène est une substance, une particule, un corps organique(atome,molécule,protéine)capable de provoquerune réactionallergiquechez un sujet préalablement sensibilisé lorsqu'il est à son contact (le plus souvent par contact   avec lapeau,inhalation, ou ingestion). Un allergène est dit « majeur  » quand unantigènepurifié déclenche uneallergie chez 50 % ou plus des patients testés, et qu'il présente desIgEspécifiques, avec destests   cutanésimmédiatement positifs, à une concentration très faible, chez au moins 90 % des sujets ayant la maladie   allergique en relation avec cet allergène. Par exemple, l’ arachidecontient - sur 7 allergènes identifiés - 3 allergènesmajeurs et un quatrième qui l'est presque.Poussière,pollens,sporesdemoisissures,poilsd'animaux sont les allergènes les plus fréquents, bien que denombreuses autres substances puissent devenir un allergène pour un sujet donné.   On ne devient allergique qu'avec au moins deux  contacts avec un allergène.  Le premier contact n'entraîne aucune réaction visible : lescellulesresponsables de l'allergie deviennent   hypersensibles (par un mécanisme mal connu) à une substance normalement inoffensive.  Aux contacts suivants, l'allergène entraînera, en se  liant aux cellules suscitées, une cascade de réact ionsaboutissant à une manifestation allergique (du simplerhume des foinsauchoc anaphylactique,en passant par la   crise d'asthme). On parle de « sensibilisation  », qui peut être exacerbée par des cofacteurs ou allergies croisées.L'allergie est le plus souvent induite par uneprotéineporteuse de l'allergène qui rencontre une cellule immunitaire et   réagit avec elle : chez le sujet allergique à cet allergène, les cellules responsables de l'allergie(mastocyteen   particulier) vont réagir à ce contact (cette étape ne se produit pas chez le sujet sain) et libérer des moléculeschimiques responsables des symptômes allergiques :histamine,sérotonine,PAF,leucotriènes,prostaglandines,etc.L'histamine entra&i...

« rayons    α ,des  rayons    β  ou des  rayons    γ . Un allergène est une substance, une particule, un corps organique(atome,molécule,protéine)capable de provoquerune réactionallergiquechez un sujet préalablement sensibilisé lorsqu'il est à son contact (le plus souvent par contact   avec lapeau,inhalation, ou ingestion).

Un allergène est dit « majeur  » quand unantigènepurifié déclenche uneallergie chez 50 % ou plus des patients testés, et qu'il présente desIgEspécifiques, avec destests. »

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