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Le reserve d'Oka

Publié le 22/02/2013

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Le réserve d'Oka de biosphere. Parmi des forêts épaisses et des prairies ouvertes aux crues de printemps qui s'étendent sans limites dans la terre submersible de l'Oka un site admirable par sa beauté et variété s'est conservé. Ce site est la Mechera. Au sud-est de la Mechera, dans le region de Spassk, qui se trouve pres de ryazan, on peut trouver le réserve d'Oka d'Etat , un des parcs de réserves les plus vieux de la Russie. Il a été creé en 1935 pour garder l'espace de l'est de la Mechera. Au début il portait le nom «de desman «, puisque son but principal était la sauvegarde du desman, une bestiole charmante, l'autochtone de la Russie. Sa territoire comportait alors une zone étroite (1-2 km) de la rive gauche de Pra, affluent gauche de l'Oka. Sa surface faisait environ de 20 milles hectares. Puis ses bornes et ses buts ont beaucoup élargi. En 1985 le reserve d'Oka a reçu le statut de biosphere, et en 1989 sa territoire a été agrandie pour créer un polygone . Maintenant le surface du réserve est 55 728 hectares, dont : . la forêt - 50 461,5 hectares, . les marais - 2 539,5 hectares, . les biens ouverts et secs - 2 089,4 hectares, . les lacs et les rivières - 637,6 hectares. Autour du reserve on a fixé la zone de protection - 21 449 hectares. Le réserve fa...

« Un des trésors capitaux du réserve, surtout de sa zone de protection, sa décoration unique et précieuse, ce sont les prairies d’Oka.

Elles sont splendides pour la fenaison et le pâturage.

Les prés sont particulièrement beaux pendant la floraison de la spirée blanche comme la neige, alternée par le salsifis jaune comme un coing, iris bleu, l’œillet rouge et rose et la langue de Vache violette. Le credo du réserve, c’est la conservation et l’augmentation de la population des animaux rares.

Sans doute, dès premières années de l’existence du réserve on travaille beaucoup à l’étude et défense du desman, ce qui est très difficile à cause de ses mœurs cachottières.

La quantité du desman est stabilisée au niveau de 500-1000 individus.

Puis les biens du desman ont étés exclus de la composition du réserve.

Pour la reproduction du desman on utilise le réserve « Krasnokholmski ». En 1937 -40 on a réalisé l’acclimatation du castor, qu’on a exterminé totalement dans la région de Riazan au début du 18 siècle.

Pendant 10 ans les castors ont rendu les nouvelles terres exploitables et se sont fixés hors des limites. Grâce au régime de la l’aborigène unique, l’habitant traditionnel des forêts de Mechera – élan – a augmenté son nombre de 10-15 fois. Sur la territoire du ré serve il y a 5-7 colonies des blaireaux, 8-12 terrains individuels de la loutre qui ne s'établissait jamais dans ces places.

Des sangliers, qui aussi manquaient ici, ont apparu dans le réserve en 1950-51; maintenant leur quantité est plus que 400.

Ce qui est interessant, c’est l ’attitude envers le loup dans le réserve.

A partir des premières années de la formation du réserve ce carnassier était au centre des préoccupations.

A côté de son étude on faisait son extermination: après la guerre, jusqu'aux 60 anées, on exterminait les loups partout, y compris le réserve.

Puis on le réhabilitait, même si parfois ce n’était pas juste.

Maintenant on lutte contre le loup hors du réserve, alors qu’à l'intérieur du réserve ce bête est un élément indispensable de l’espace naturel.

On entretient constamment une bande de loups qui remplit une fonction de la sélection naturelle. 1959, c’est une ann ée notable.

C’est cette époque-là, où la pépinière des bisons d'Europe pur sang a été créée.

Maintenant c’est un centre du pèlerinage de plusieurs tourites et explorateurs .. »

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