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Pêche et aquaculture en Égypte

Publié le 09/10/2013

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L'aquaculture (14,5 % de la production totale) se déve­loppe de plus en plus. Les éle­vages de carpes, de mulets et de tilapies (en majorité des petites exploitations) sont en plein essor. L'Égypte tente de combiner aquaculture et irri­gation par le peuplement en alevins des étangs et des ca­naux, et elle est le seul pays à élever des poissons dans les rizières. Les poissons élevés en étang sont « récoltés « en hiver par drainage ou par pê­che à l'épuisette, tandis que ceux qui font l'objet d'une culture extensive dans les lacs, les rivières ou les réser­voirs (retenues de barrages et bassins d'irrigation) sont cap­turés de nuit au filet, à bord d'embarcations à rame.

« dines (20 %), les crevettes et les crabes (11 %).

En mer Rouge, où les tonnages dé­ barqués sont légèrement in­ férieurs, crevettes et crabes viennent au premier rang, suivis par l'anoli et le bogue, la dorade, la sardine et le rouget de roche.

Pêche en eau douce et aquaculture L 'immense lac Nasser est le premier réservoir de pê­ che d'Égypte, puisqu'il fournit en moyenne 35 000 t de pois­ sons par an.

La perche du Nil (samos pour les Égyptiens) est la reine du lac par sa taille im­ pressionnante (autour de 1 m) et la qualité de sa chair.

L es amateurs viennent de loin pour des « safaris de pêche » sur le lac, organisés par cer- taines agences de voyage .

Les pêcheurs professionnels tra­ quent volontiers les bancs de ti la pies (poissons voisins du saint-pierre), et la flottille est essentiellement constituée de bateaux à voile .

Sur le Nil et dans les lagunes côtières du Delta, la pêche se pratique au moyen de filets fixes de 200 à 250 m de lon­ gueur.

Dans le Fayoum, on capture environ 700 t de pois ­ sons chaque année dans le lac Qaroun .

Ses eaux devenant de plus en plus saumâtres, on y a introduit avec succès des espèces marines comme le Pêcheurs sur le lac Qaroun, dans l'oasis du Fayoum, où, les eaux devenant saumâtres, des espèces marines ont été introduites avec succès.

mulet, la dorade et même les crevettes.

L'aquaculture (14,5 % de la production totale) se déve ­ loppe de plus en plus.

Les éle­ vages de carpes, de mulets et de tilapies (en majorité des petites exploitations) sont en plein essor.

L'Égypte tente de combiner aquaculture et irri­ gation par le peuplement en alevins des étangs et des ca­ naux, et elle est le seul pays à élever des poissons dans les rizières.

Les poissons élevés en étang sont « récoltés » en hiver par drainage ou par pê­ che à l'épuisette, tandis que ceux qui font l'objet d'une culture extensive dans les lacs, les rivières ou les réser­ voirs (retenues de barrages et bass ins d'irrigation) sont cap­ turés de nuit au filet, à bord d'embarcations à rame.. »

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