ARBRE DES FOLKUNGAR (L’) (résumé & analyse) de Verner von Heindenstam

ou « verrou des granges », et le tient pour son plus puissant défenseur. En composant cette œuvre, l’auteur a surtout obéi à des considérations morales. Dans la première partie, il entend démontrer comment la force d’un idéal dirige et soutient une grande entreprise, à l’origine de laquelle sont toujours mêlées les idées les plus nobles et les plus basses passions ; et combien il est difficile de demeurer pur

pour celui qui doit accomplir une grande mission. La vie ordonne et juge ensuite, selon sa loi, propice aux forts. Par la bouche de Magnus. l’auteur proclame sa dernière aspiration envers ce qu’il considère désormais comme le prix de toute existence : la vieillesse ; car, dit Magnus « elle embellit et couronne la vie ».