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Barnabé ou l’optimisme

Publié le 16/09/2018

Extrait du document

Les sept hommes s’assirent en rond autour du cercle, symbole de la secte. Ils ordonnèrent à Sylvain Durif de se placer au centre du cercle, ce dernier leur demanda pourquoi. Il reçut des regards noirs comme réponse et exécuta l’ordre. Barnabé observa et fût à la fois terrorisé et émerveillé lorsqu’un portail de l’espace temps apparût. On voyait, à travers ce portail, une silhouette de vaisseau spatial, qui était sûrement un des vaisseaux de la Vierge Marie dont parlaient les hommes. Un des bras croisés donna l’ordre à Barnabé et à Sylvain Durif de passer dans le portail, seuls, puisque la secte devait maintenir le portail ouvert. Ils y allèrent, en remerciant encore les hommes pour tout et dirent « adieu » avant de se téléporter. Ils arrivèrent dans le vaisseau, Sylvain Durif avait l’air normal tandis que Barnabé n’en revenait pas. L’intérieur était d’un blanc éblouissant, cela donnait presque mal aux yeux. On se serait crut au paradis. Barnabé regarda par un des hublots du vaisseau, ils étaient bel et bien dans l’espace. Il distingua une chose qui se rapprochait de plus en plus d’eux, mais impossible de savoir ce que c’était. Il commençait un peu à s’inquiéter et prévenu Sylvain Durif. Ce dernier regarda à son tour à travers le hublot et aperçût un météore foncer droit sur le vaisseau. Ils prirent panique, mais rien dans le vaisseau ne semblait pouvoir le piloter. Quand le météore se rapprochait, ces deux là paniquaient encore plus, et ils n’arrivaient à rien. Toute chose à une fin, et c’est le cas pour la vie de nos deux protagonistes. Barnabé peut à présent reposer en paix, sans tourment, sans injustice. Demain sera un autre jour…

« Barnabé finit par rentrer chez lui, en repensant au sans-abri.

Il alluma son ordinateur et essaya de se vider l’esprit et de se détendre.

Il alla de sites en sites, découvrant parfois des choses intéressantes, parfois totalement inutiles… Barnabé commençait un peu à s’ennuyer jusqu’au moment où il tomba sur un site incitant les gens à devenir des terroristes, mais de façon totalement inaperçue pour les jeunes surtout.

Il continua de lire tout ce qu’il y avait écrit, et malheureusement, sa naïveté l’emporta : il finit par tomber dans les griffes du loup.

Il fallait inscrire son nom, prénom, adresse, numéro de téléphone,… tout ce qui pouvait identifier la victime.

Une fois toutes ces données rentrées sur le site, il se posa quand même quelques questions, mais se dit qu’il réfléchissait trop et alla se reposer.

Une heure plus tard, il reçu un e-mail venant du site l’invitant à se rendre dans une rue non loin de chez lui.

Comme il était en week-end, il avait tout son temps.

Barnabé finit donc par arriver à destination lorsqu’il vit un groupe de personnes cagoulés venant vers lui.

Ils étaient cinq en tout et lui demande : -« T’es qui toi ?, répond le leader du groupe. -Je m’appelle Barnabé, on m’a dit de venir ici. -C’est donc bien toi.

Suis-nous, on va te montrer quelque chose. -Euh… d’accord, j’arrive, dit-il en hésitant.

» Ils arrivent donc vers un logement très abîmé, voire même cassé à certains endroits.

L’ambiance est assez froide, aucun des cinq hommes ne parle.

Au bout d’un moment, Barnabé aperçoit d’autres hommes, plus ou moins masqués, faisant sûrement partie du groupe.

Ils échangent quelques mots, à voix basse, et se retournent vers Barnabé en lui tendant un pistolet.

Il se demande pourquoi ils font cela et refuse l’arme.

À ce moment là, le groupe commence à s’énerver et intimident Barnabé.

Il a à ce moment précis un déclic dans la tête et comprend que c’était un piège.

Il courut le plus vite qu’il put vers la sortie la plus proche jusqu’à atteindre l’extérieur.

Les hommes le poursuivirent mais il arriva à les semer.

Comme il avait couru dans une direction inconnue, il était perdu.

Sur sa route, dans une petite ruelle, il croisa des hommes, sept en tout, totalement différents des précédents, vêtus d’une longue veste noire.

Barnabé, dans la panique, leur demanda de l’aide. Chapitre 4 : La secte des bras croisés Les hommes regardèrent Barnabé avec un regard perçant, mais ils n’avaient en aucun cas l’air malveillants, il le ressentait.

Ces hommes lui demandèrent : -« Qui es-tu ? -Je m’appelle Barnabé et je suis perdu car j’ai fuis des terroristes.

Je vous en supplie, aidez-moi ! -Bien, viens avec nous.

Nous sommes la secte des bras croisés, tu ne dois sûrement pas la connaître. -Pas du tout, je n’en ai jamais entendu parler. -Ne t’inquiètes pas, nous ne sommes pas n’importe quelle secte.

Nous te protègerons. -Je vous remercie infiniment.

». »

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