Ce que le jour doit à la nuit fiche de lecture

« Dans une Algérie des années 1930, Youssef un garçon désabusé par la vie va devoir quitter ses terres après que celle-ci ai brûlé dès l’age de 10ans avec sa famille pour tenter d'avoir une vie meilleur en ville, à Oran.

Une fois à Oran son oncle pharmacien va leur tendre la main en leproposant un endroit où loger et de l'argent que son père, homme fière va refuser.

Installé dans le quartier miteux de Jenane Jato, le père vatravailler dur pour offrir une vie meilleur à son fils et sa fille ainsi qu'à sa femme.

Effort réduit à néant lorsque qu'il va se faire violemment dépouilleret perdre toute ses économies sous les yeux impuissant de son fils.

Ce peur va alors sombrer, et pour le bien de son fils confier celui-ci à son frèreMahi et à sa femme Germaine, pharmaciens ayant réussi.

Younes va alors se faire appeler Jonas, aller à l'école pour apprendre à lire et écrire pourpouvoir devenir apothicaire.

Il rentrant chez lui il va alors croiser son père saoul et misérable, cette image va alors le hanter et le changer.

Par lasuite Jonas va devoir quitter Oran pour Rio Salado et laisser derrière lui sa mère et sa sœur.

Une fois à Rio Salado à l'âge de 13ans, il va faire laconnaissance d’Émilie, et s'intègrer à la communauté de pied-noire, cette même Emilie qui 4ans plus tard va réapparaître et désunir la bande d'amisque Jonas c'est faite, constitué de Jean Christophe Lamy, Fabrice Scamatoni et Simon Benyamin vient s'ajouter à cela les violences augmentantopposant les colonisateurs aux colonisés, les uns voulant une Algérie Française et les autres une Algérie libre. Structure : Le récit est au passé mélangeant des passages très précis aux passages flous et jouant entre fiction et réalité.

Le narrateur est vieux quand ilraconte, « Aussi loin que je m'en souvienne », p.95 et « aujourd'hui encore je me demande » p.96.

Ce n'est qu'au dernier chapitre que le récit estraconté au présent .

L'auteur porte quelque fois un œil critique sur se qu’il c'est passé, en utilisant des prolepses « je crois que j'étais heureux chezmon oncle » et « si seulement j'avais su ».

Cependant chaque chapitre apporte quelque choses, des moments fort comme des momentsplatoniques. Sens du titre : Le sens du titre est flou certain se laisse à penser que celui-ci est plus commercial qu'autre chose.

Peut-être peut-on y voir le fait que les françaisdoivent beaucoup à l'Algérie en supposant que, « le jour » est une métaphore et signifie le peuple blanc, la France, et « la noit » , le peuple noir,les Algériens étant donné que les Algériens on joue un rôle important dans l'effort de guerre et sont souvent négligés. Thèmes abordés : La misère notamment celle des familles qui quittent tout espérant avoir une vie meilleure en ville, la misère de Younes et de sa famille qui ont tentésans réussir lynché par cette société vénale ainsi que la cohabitation entre Algériens et Européen jusqu'à jour où il va y avoir la guerreindépendance nourris par la xénophobie ambiante, notamment lorsque que Isabelle, fille aimant Jonas le laisse et ne veut plus lui parler lorsqu'elleapprend qui est enfaîte musulman, va alors commencer les déchirement entre les deux communautés, qui aimaient toutes les deux se même payes,tant qu'ils ne pouvaient le quitter.

A travers ce livre Yasmina Khadra veut essayer de faire de cette histoire commune de réconcilier les deux camps. Ce que le jour doit à la nuit 1ère de couverture 4ème de couverture Biographie: Yasmina Khadra (qui signifie « jasmin vert ») est un pseudonyme en réalité il révèle dans un entretien au Monde des Livres que sous cetteidentité féminine se cache un homme.

Dans L'écrivain , paru en 2001, le mystère est entièrement dissipé.

Yasmina Khadra s'appelle de son vrai nom Mohamed Moulessehoul, qui a déjà publié sous ce nom nouvelles et romans en Algérie.

Officier dans l'armée algérienne, il a participé à la guerrecontre le terrorisme.

Il a quitté l'institution en 2000, avec le grade de commandant, pour se consacrer à sa vocation: écrire.

Il choisit de le faire enfrançais.

Son livre Morituri le révèle au grand public.

Aujourd'hui écrivain internationalement connu, Yasmina Khadra est traduit en 33 langues. Diverses raisons l'ont poussé à écrire sous un pseudonyme mais la première que donne Moulessehoul est la clandestinité.

Elle lui permet deprendre ses distances par rapport à sa vie militaire et de mieux approcher son thème cher : l'intolérance mais aussi car il veut rendre hommage aux. »