EMBRASSONS-NOUS, FOLLEVILLE. (résumé) d’Eugène Labiche

EMBRASSONS-NOUS, FOLLEVILLE.

Vaudeville en un acte d’Eugène Labiche (1815-1888). Il traite d’un sujet classique de comédie : le père qui veut marier sa fille à quelqu’un qu’elle n’aime point. Voici l’intrigue : le marquis de Manicamp déborde de gratitude pour le chevalier de Folleville, parce que ce dernier l’a tiré d’un mauvais pas au cours d’une partie de chasse aux canards. A tel point qu’il ne peut rencontrer le chevalier sans le serrer dans ses bras en criant : « Embrassons-nous, Folleville ». C'est dire qu’il veut à tout prix lui faire épouser sa fille Berthe. Fort bien, mais Berthe est une jeune personne assez Vive que Folleville n’a nulle envie d’épouser, car il est fort épris de sa cousine Aloïse. De son côté, Berthe a séduit au bal le vicomte de Châtenay : du fait qu’elle l’a souffleté parce qu’il dansait mal le menuet, celui-ci la veut pour épouse. Elle accepte, car le vicomte lui plaît beaucoup.