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Emund Burke: Critiques Sur La Révelution Française

Publié le 14/09/2011

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Il ne date pas d’hier que le 18e siècle porte le nom du siècle des Lumieres. À cette époque, de nouvelles idéologies traversent l’occident européen et se finalisent en révolutions jusque dans les colonies territoriales des puissances telles que l’Angleterre et bien sûr, la France, pour nommer que ceux-là. Il ne serait pas entièrement incorrect de prétendre que la révolution en France s’est basée sur celle des Américains et même de celle des Anglais, mais selon Emund Burke, celle-ci ne s’est pas déroulée comme les précédentes malgré ses intentions similaires. En analysant les Réflexions sur la révolution de France, la Révolution française, selon l’auteur Edmund Burke, a été le produit de réformes innutiles, exccessives et illégitimes qui ont finalisé en la destruction de tous les anciens fondements déjà établies qui faisaient de la France, un exemple occidental à suivre. L’erreur fut que les Français de l’époque ont oublié les fondements de leur nation. À travers ses Réflexions, Burke nous prouve cette théorie en nous expliquant plusieurs concepts du passé de la France à travers le travail de leurs ancêtres, l’héritage des vraies valeurs morales traditionnelles de liberté et d’égalité, puis enfin, l’oublie de leur propre nature humaine.

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« l’Angleterre partage les mêmes désirs, clairement ce n’est pas l’Angleterre qui tire exemple de la France.

En réalité,l’esprit de liberté française n’est point libérale.

Il semble une fois de plus que la France oublie le passé, celui desAméricains et Anglais qui, tout les deux, représentent beaucoup mieux un peuple libre.Burke rappel aux français qu’ils n’ont pas besoin de désirer plus d’égalité.

Ils l’ont déjà : l’égalité dans leurs droits.Ansi jaimais un paysans n’aura plus de droit qu’un autre et un souverain plus qu’un paysan, si ce n’est que des droitsde propriété clairement hérités légitimement par ses ancêtres.

Ansi tous sont égaux devant leurs droits, ils n’onttout simplement pas droit à l’égalité dans les parts.

Tous ont droits, par contre, de posséder autant de biens qu’il luiplaiera, mais ces biens ne peuvent être protégé que par la fortune d’un autre qui désirera de profiter de ce dernier.Ansi l’égalité d’un est aussi l’égalité de l’autre et les Français semblent rechercher une égalité qu’il n’est pasmoralement correcte c’est-à-dire une égalité au roi.

Mais, le roi ne peut être placé sous les mêmes lois que lesautres puisque c’est lui qui les assurent.

À défault d’avoir plus de droits, autrement dit l’autorité suprême, le roiserait au même pied d’estale que les paysans et pourrait être tenu responsable de ses actes.

Mais personne n’auraitle droit de rien lui repprocher car il ne pourrait être arrêté par quelqu’un de même statut que lui.

Ansi s’établieraitune anarchie.

Voila pourquoi les rois sont rois et leurs officiers ainsi.

C’est pour mieux guarrantir l’égalité de sessujets.

Le troisième point défendu par Edmund Burke pour expliquer comment la Révolution française fut entreprise dansl’oubli de leurs fondements est qu’ils n’ont pas tenu compte de leur propre nature humaine.

À propos des desseinsqu’ont la révolution de France, Brke s’exprime : Burke affirme que les motifs révolutionnairessont basés sur des théories des droits de l’homme qui contredisent leur nature.En démontrant l’importance de classes sociales supérieur et inférieur, comme en a voulu la nature des hommes,Burke utilise une métaphore claire et précise qui exprime très bien l’argument : Dans ce dernier passage, Burkeexplique que les classes sociales sont tout à fait naturel dans une société.

Vouloir une égalité parfaite est vouloirtout fouttre par la fenêtre.

Il est normal d’avoir des gens plus éduqué que d’autres, plus riches, mieux instruits outout simplement meilleur sans quoi il n’y aurait rien pour commander, pour juger, pour payer, pour entreprendre, etc.Ces notions n’exsiteraient même pas puisqu’elles évoquent déjà une autorité, une autorité qui est, une fois de plus,naturelle.Quant à la pensée morale de Burke, celle-ci se doit d’être naturellement contre ces principes révolutionnaires.

Selonlui, la France a détruite toute chose digne de respect de son peuple.

C’est une révolution des sentiments, desmœurs et des opinions morales.

Il est donc naturel, lorsque on est oubligé de s’excuser d’éprouver les sentimentshumains les plus ordinaires, d’avoir ces sentiments et ces opinions.

Ansi continue-t-il, il tout aussi naturel d’avoir son sentiment de bien et demal.En abordant l’aspect naturel du désir de progrès humain, Burke voit en la révolution de France, l’image d’une nationqui empèche la perfectibilité.

Ce raisonement est très normale si nous continuons de défendre comme Burke que lesrévolutionnaires détruisent tout ce que leurs ancêtres avaient bricolés et améliorer avec le temps.

Cela démontrequ’ils n’acordent aucune place au progrès.

Pour conclure le tout, il est éviden, d’après moi, que Burke semble nous expliquer clairement dans son œuvre portantsur la Révolution française, que l’erreur principal de la révolution de France est qu’elle fut entreprise en oubliant,voire ignorant les fondements premiers de la raison d’être de la nation ce qui resulta en la destruction du patrimoinefrançais, de ses institutions et de ses vertues qui, selon Burke, pourrait entrainer des conséquences grave dansl’avenir du pays tant sur le plan politique, économique et social.

Burke nous fait comprendre cette thèse endéveloppant sur l’importance de l’héritage des français, l’oubli des vrais concepts de liberté et d’égalité ansi quel’oubli de la nature humaine elle-même.

La révolution fit l’objet de réformes trop excessives qui ont chuté le paysdans l’éventuelle misère et la confusion qui est déjà apparente. BIBIOGRAPHIE : Livre : BURKE, Edmund.

Réflexions sur la révolution de France.

Paris.

Pluriel.1989. --------------------------------------------[ 1 ].

E.

Burke., Réflexions sur la revolution de France., Pluriel.

1989, p.120.[ 2 ].

E.

Burke., Ibid., p.28[ 3 ].

E.

Burke., Ibid., p.167[ 4 ].

E.

Burke., Ibid., p.104[ 5 ].

E.

Burke., Ibid., p.199[ 6 ].

E.

Burke., Ibid., p.64. »

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