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FICHE DE LECTURE: Le père Goriot

Publié le 12/03/2012

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Première partie : une pension bourgeoise 1ère séquence  Madame Vauquer , née de conflans, est une vielle veuve âgée d’environs cinquante ans . Elle est propriétaire  d’une pension bourgeoise située dans le bas de la rue Neuve-Sainte-Geneviève, à l’endroit où le terrain s’abaisse vers la rue de l’Arbalète par une pente.  La pension est constituée d’un rez-de-chaussée et d’une façade élevée de trois étages. Au rez-de-chaussée il y a une cour large d’environ vingt pieds, une cuisine, une salle a mangé et un salon. Le premier étage est occupé par madame Vauquer et madame Couture veuve de commissaire-ordonnateur de la république française.  Madame Couture a aussi à sa charge une jeune fille nommée Victorine.  Au deuxième il y a étage monsieur Vautrin (ancien négociant), monsieur Poiret , le père... 

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« Première partie : une pension bourgeoise 1ère séquence Madame Vauquer , née de conflans, est une vielle veuve âgée d’environs cinquante ans .

Elle est propriétaire d’une pension bourgeoise située dans le bas de la rue Neuve-Sainte-Geneviève, à l’endroit où le terrain s’abaisse vers la rue de l’Arbalète par une pente.

La pension est constituée d’un rez-de-chaussée et d’une façade élevée de trois étages.

Au rez-de-chaussée il y a une cour large d’environ vingt pieds, une cuisine, une salle a mangé et un salon.

Le premier étage est occupé par madame Vauquer et madame Couture veuve de commissaire-ordonnateur de la république française.

Madame Couture a aussi à sa charge une jeune fille nommée Victorine. Au deuxième il y a étage monsieur Vautrin (ancien négociant), monsieur Poiret , le père Goriot(ancien fabriquant de vermicelles , de pâtes d’Italie et d’amidon ) , mademoiselle Michonneau et Eugène de Rastignac (étudiant en droits ).

Au-dessus de ce troisième étage, il y a un grenier où couchaient Christophe(le gardien) et la grosse Sylvie (la cuisinière).

Madame vauquer se fait dupé par une fausse comtesse d’Ambermesmil et prit pour responsable l’honnête vermicellier.

Monsieur Goriot recevait la visite de plusieurs jeunes femmes qui prétendaient être ces filles.

Mais il fut où il recevait des visites il avait l’air de devenir pauvre et il baissait de plus en plus ce qu’il payait pour son logement 2ème séquence Madame de Marcillac , cousine de Eugène , qui autre fois avait connu les sommités aristocratiques , ecrivit une lettre a la vicomtesse de Beauséant et la remit a Eugène en lui disant que s’il réussissait auprès de la vicomtesse , elle lui ferait retrouver ses autres parents .Eugène envoya la lettre à madame de Beauséant et celle-ci répondit par une invitation de bal le lendemain.

Au bal, Eugène dansa avec la comtesse Anastasie de Restaud dont il tomba amoureux.

Il en fait part à tous les pensionnaires lors d’un dîner.

Elle disait de la comtesse qu’elle était la plus belle femme au monde et a chaque compliment qu’Eugène fait sur la personne de Restaud, le visage du père Goriot s’allume. 3ème séquence Le lendemain du dîner a la pension Vauquer, Eugène s’habilla fort élégamment pour aller rendre visite à madame de Restaud.

Il s’y rendit à pieds et tout le long de son trajet il était de bonne humeur.

A son arrivée, il était obligé d’attendre d’être reçu par la comtesse car cette dernière était fort occupée.

Il devait attendre que Maurice le valet de chambre dise a la comtesse qu’il attendait pour la voir.

Pendant son attente, Eugène a entendu la voix du père Goriot et cela l’intrigua.

En revoyant madame de Restaud , il fait aussi connaissance avec monsieur de Restaud et le comte Maxime de Trailles un hôte de la comtesse.

Eugène sympathisa avec monsieur de Restaud mais en prononçant le nom père Goriot, Eugène réussit à mettre de mauvaise humeur le comte de Restaud et à rendre mal à l’aise madame de Restaud .

Conscient qu’il venait de dire une sottise, il décide de partir et d’aller rendre visite a sa tante madame de Marcillac liée depuis trois ans au marquis d’Ajuda-Pinto, pour en savoir plus sur l’ampleur de la bêtise qu’il venait de commettre.

Pendant qu’il discutait avec sa tante, celle-ci a reçu la visite de la duchesse Langeais et c’est en présence de ses deux femmes que Eugène explique en détails tout ce qui s’était passé chez les Restaud.

C’est ainsi. »

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