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Fortune et Infortune de la femme mariée DE SINGLY François

Publié le 20/12/2018

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Présentation générale de l’ouvrage Fortune et Infortune de la femme mariée est un ouvrage sociologique écrit par François de Singly, publié pour la première fois en 1987, et de nouveau édité en 2004. Ce livre appartient à la maison d’édition PUF (Presse Universitaire de France) et plus particulièrement à la collection Quadrige, livre d’essai. 225 pages le composent comprenant introduction, le corps du texte, une postface ainsi que les annexes. Contenu Auteur François De Singly, né en 1948, est un sociologue français. Il est professeur de Sociologie de la Famille à l’Université de Paris Descartes, spécialisé en sociologie de la famille, de l’éducation et des rapports hommes/femmes. Il est à l’origine de nombreuses études sur les rapports entre les hommes et les femmes. Il a été le maitre à penser de référence pour une génération d’étudiant en sociologie/sciences humaines. Il a également travaillé au CNRS, où il dirigeait un centre de recherche sur les liens sociaux. La majorité de ses travaux sont consacrés à l’évolution de la famille contemporaine et à la place centrale du processus d’individualisation comme on peut le voir avec Le Soi, le couple et la famille, ou encore avec Les femmes ont toujours travaillé. Thème Cet ouvrage traite de manière objective les gains et pertes que peut subir une femme lors de son mariage, en terme de capitaux économiques, et principalement immatériels. Cette étude prend en compte de nombreux paramètres, tel que le capital culturel de la femme et de l’homme avant le mariage, la présence d’enfants ou encore le capital financier, dans le but d’avoir une vue d’ensemble. Thèse Cet ouvrage sociologique de la fin du XXème s. aborde ce thème en analysant factuellement le comportement de la femme dans le couple, du couple vis-à-vis de la femme, ainsi que tous les autres facteurs externes qui vont moduler le comportement. Il n’y a pas vraiment de thèse de la part de F. de Singly. On ne part pas d’une hypothèse, mais il construit son raisonnement par les observations, et autres études. Cependant, il s’appuie à quelques reprises sur l’avis de féministes, et se questionne sur la véracité de ce dire. 1 Fortune et Infortune de la femme mariée DE SINGLY François Méthodes La méthode de l’auteur est très rigoureuse. En effet, il base son discours sur de nombreuses études décrites et annexées permettant de suivre son raisonnement. Il a de très nombreuses sources, d’origine diverse permettant de mettre en lumière que cette étude factuelle est partagée par de nombreuses personnes. Il s’appuie tant sur l’INSEE que sur des données américaines tel que le Journal of Marriage and the Family, en passant par des contes et les revues comme Le chasseur français. Cette une étude poussée qui exploite les documents pour en sortir une idée, articule sa thèse sur cette.

« Méthodes La méthode de l’auteur est très rigoureuse.

En effet, il base son discours sur de nombreuses études décrites et annexées permettant de suivre son raisonnement.

Il a de très nombreuses sources, d’origine diverse permettant de mettre en lumière que cette étude factuelle est partagée par de nombreuses personnes.

Il s’appuie tant sur l’INSEE que sur des données américaines tel que le Journal of Marriage and the Family , en passant par des contes et les revues comme Le chasseur français .

Cette une étude poussée qui exploite les documents pour en sortir une idée, articule sa thèse sur cette.

Chapitres Première Partie : Perte et profit de la vie conjugale Il est important de définir la valeur sociale d’une femme.

Celle-ci dépend de nombreux facteurs, à commencer par ses origines, puis son mari, puis sa gestion personnelle de capitaux (fructification) et enfin les capitaux créer par le mariage tel que les enfants.

Le mari est le plus important dans un mariage car c’est de lui dont va dépendre l’avenir de la femme.

Alors que cette dernière n’influence aucunement le statut social de son mari. En effet l’identité de la femme dépend de la profession du père, de celle du mari et de sa propre profession.

De l’importance de la profession du mari, découle l’homogamie, une femme va choisir un partenaire au moins égale à son rang social. La femme est caractérisée selon sa dot scolaire, soit le niveau d’étude et selon sa beauté.

Les hommes sont plus sensibles au capital beauté.

Le niveau scolaire, quant à lui, influence le choix du niveau social du futur mari. La femme est la pour secondé, pour accompagné le mari, lui facilité le quotidien, dans le but que lui réussisse professionnellement, et ce sera donc une élévation du rang social construit à 2.

En accroissant, le niveau social du mari, la femme accroit son propre statut.

L’enfant a un impact non négligeable pour la femme.

La femme-mère apporta à l’enfant un capital scolaire, un capital intellectuel.

Et lui en retour lui apporte une autre facette à son statut.

Il peut lui permettre de ne plus travailler quelque soit sa dot scolaire.

Le nombre d’enfant et les années d’études déterminent le capital culturel attribué à l’enfant. Plus la femme appartient à une classe sociale élevée, plus elle a de moyens financiers, et moins elle a d’enfant alors plus elle va investir pour la réussite de l’enfant. Le mariage dévalue les diplômes de la femme.

Il diminue la valeur de la dot scolaire.

A l’inverse les hommes en sortent plus fort, avec une révision à la hausse de leur capacité scolaire.

Cette dévaluation féminine s’explique pour une part, par la présence d’enfant. Les grossesses, les temps consacrés aux enfants font que la femme est moins présente pour le travail, à l’inverse du mari.

Les temps consacrés à ces enfants sont des absences pour les promotions professionnelles. Le mari lui aussi est pénalisé par les femmes salariées.

En effet, l’homme a un rendement plus faible de son capital scolaire.

Il y a donc une incompatibilité entre la valorisation professionnelle de la femme et la valorisation indirecte de l’homme.

Il y a pourtant des cas où le fait que la femme travaille est un avantage.

Dans le cas ou le revenue de l’homme, donc dans les milieux majoritairement ouvriers, la femme travaille 2. »

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